Pour bien profiter de cet automne 2025 finissant, voici le 345e épisode de ces pictochroniques qui racontent (...)
En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont (...)
Pour bien profiter de cet automne 2025 finissant, voici le 344e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci à l’immense théoricien, écrivain et stratège situationniste français Guy Debord (1931-1994) pour la citation de ses « Commentaires sur la Société du Spectacle » (1988) qui compose le titre à cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité d’une horlogerie en crise, à son culte de la précision, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…
Mais aussi l’inspiration qui vient aux aventurières, le style militaro-sablé de la petite sœur, des altitudes étoilées à perpétuité, un salon qui démonétise les autres salons et l’élégance en tweed doré… Images ci-dessous : des heures, des jours, des mois et des années jusqu’en 2100 (recto et verso : De Bethune)…
En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 188e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Charlie Paris, Gérald Charles, Jaeger-LeCoultre, Nomos Glashütte, Norqain et Titoni…
On va s’autoriser à dire que le directeur n’a rien compris, que le courrier retarde de deux siècles, que le guide ne tient pas dans la poche, que le musée prend le temps de musarder, qu’on va encore taxer les montres et que le « fils de » et de retour…
En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 187e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Bovet, Frederique Constant, Furlan Marri, March LA.B, Mido, Nomos Glashütte et Perrelet…
Pour bien profiter de cet automne 2025 finissant, voici le 343e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci à l’homme politique, résistant et idéologue allemand Ernst Niekisch (1889-1967) pour la citation qui compose le titre à cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité d’une horlogerie en crise, à son culte de la précision, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…
En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 186e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Arnold & Son, Charlie Paris, Daniel Roth, De Bethune, Frederique Constant, Jaeger-LeCoultre et Omega…
En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 185e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Colorado Watch Company, De Bethune, Edox, Hublot, Louis Vuitton, Tudor et Vanguart…
Pour bien profiter de cet automne 2025 finissant, voici le 342e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand entrepreneur milliardaire américain Elon Musk (né en 1971) dont la citation compose le titre à cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité d’une horlogerie en crise, à son culte de la précision, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…
En toute transparence, avant d’être commentée et appréciée, cette nouvelle montre est expliquée dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Voici donc le 184e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur la grande double sonnerie de Blancpain…
La démonstration est sans appel ! C’est juste une petite opération arithmétique sur la base des statistiques officielles d’exportations des montres suisses. Rappelons qu’il ne s’agit que de « prix d’exportation », et non de prix public. En réel, c’est encore plus tragique ! Quoique les marques le nient, il y a un vrai problème de prix : l’horlogerie suisse est malade de ses prix… de malade !
Pour bien profiter de cet automne 2025 finissant, voici le 341e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain, philosophe et musicien franco-suisse Jean-Jacques Rousseau (1712-1778) pour la citation tirée de son « Emile, ou de l'éducation » (1762) qui compose le titre à cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité d’une horlogerie en crise, à son culte de la précision, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…
Mais aussi une parabole alpestre, une Schtroumpfette en talons blancs, une héritière toutes en courbes, une sportive chic en titane et une migration persique… Images ci-dessous : la ligne bleue du sport chic qui mise sur le titane (Louis Érard) et la Toccata qui nous touche (Raymond Weil)...
En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 183e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Franck Muller, Frederique Constant, Laurent Ferrier, Pequignet, Raymond Weil, Seiko et Zenith…
En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 182e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Arnold & Son, Eberhard & Co., Gérald Genta, Hermès, Maurice Lacroix, Oris et U-Boat…
