Mais aussi un éléphant titanesque, une plongeuse certifiée en turquoise fumée, une malachite (...)
En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont (...)
Pour bien profiter de la fin de cet été 2025, voici le 304e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand chansonnier français Pierre-Jean Vaillard (1918-1988) pour la citation de son « Hérisson vert » (1970) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité trumpienne de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…
« Qui se sert du Chinois périra par le Chinois » : on peut détourner la célèbre sentence évangélique (Matthieu 26:52) pour l’appliquer à la marque Swatch, très exposée sur l’espace grand-chinois où elle réalise encore la moitié de son activité, et donc très fragile face aux moindres remous socio-communautaires. Aussi peu argumentée qu’elle soit, l’accusation de « racisme » est une arme de sidération massive. Les activistes des réseaux sociaux n’auraient-ils pas été manipulés, et par qui ?
Cette « montre de poche » ne donne pas l’heure, mais elle vous donne une chance de vous en tirer au mieux dans un autre plurivers ! Plus de 11 200 souscripteurs viennent d’apporter plus de 1,2 million de dollars de précommandes (un peu plus d’un million d’euros) à l’équipe californienne de Dragonstone Gaming, une start-up qui opère dans l’univers des jeux vidéo et les accessoires nécessaires aux gamers. Sa proposition : une version para-horlogère des bons vieux dés divinatoires utilisés par nos magiciens et nos sorcières depuis l’Antiquité. « Alea jacta est », le sort en est jeté, disait déjà Jules César…
C’est toujours plus agréable de tester les « plongeuses » en été, même s’il n’était pas question de descendre à 500 mètres de profondeur pour éprouver cette automatique Swiss Made qu’on pourrait qualifier de très généreuse dans son rapport qualité-prix…
Pour bien profiter de la fin de cet été 2025, voici le 303e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain irlandais Oscar Wilde (1854-1900) pour la citation de son « Éventail de Lady Windermere » (1892) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité trumpienne de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…
Cinq signaux faibles, seulement ? Parce que cinq fait un compte rond et que ça correspond aux doigts d’un main. Voici donc, entre deux séances de Sniper, de quoi réfléchir tous azimuts à l’actualité immédiate des montres…
La maison Titan présente sa première innovation technique brevetable à la lecture de son tourbillon Jalsa : une loupe en saphir intégrée au contrepoids de l'aiguille des minutes. Avec Jalsa, son second tourbillon, mais le tout premier à s’inscrire au Grand Prix d'Horlogerie de Genève, la manufacture indienne signe une première mondiale que l'industrie suisse a eu tort de ne pas voir venir…
Un établissement horloger tétanisé, une communauté d’amateurs sidérée, des autorités déconsidérées, des commentateurs égarés, des douaniers américains survoltés : un été pourri pour les montres ! D’autant qu’on nous raconte à peu près n’importe quoi sur ces 39 % de surtaxation pour les exportations vers les États-Unis…
Après notre « repérage » exhaustif des montres inscrites pour le prochain GPHG, qui a permis de critiquer les montres une par une (une première et une exclusivité mondiale de « Business Montres »), voici un avis raisonné sur les montres qui pourraient disputer la finale. Pour connaître les gagnants potentiels de 2025, mieux vaut attendre la composition du jury « physique » qui co-désignera les vainqueurs avec les académiciens…
Un établissement horloger tétanisé, une communauté d’amateurs sidérée, des autorités déconsidérées, des commentateurs égarés, des douaniers américains survoltés : un été pourri pour les montres ! D’autant qu’on nous raconte à peu près n’importe quoi sur ces 39 % de surtaxation pour les exportations vers les États-Unis…
En parallèle avec nos pages « Repérages » habituelles, nous proposons cet été un « repérage » des montres inscrites pour le prochain GPHG, dans l’ordre choisi par le GPHG, mais dans le cadre d’une revue critique, éclairée et commentée. De quoi aider les académiciens à faire leur choix. Voici donc, pour compléter notre recension globale de toutes les pièces du GPHG 2025, douze horloges mécaniques de douze créateurs en quête d’un prix au soir de la finale : Anton Suhanov, Carl Suchy & Söhne, Fiona Krüger, Guo Ming, Kubernet, L’Épée 1839, La Vallée, Louis Vuitton, Maystre, Miki Eleta, Trilobe et Utinam…
Pour bien profiter de cet été 2025, voici le 302e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci à l’immense femme de lettres française Marguerite Yourcenar (1903-1987) pour la citation qu’elle prête à l’empereur romain Hadrien dans ses « Mémoires d’Hadrien » (1951) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité trumpienne de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…
En parallèle avec nos pages « Repérages » habituelles, nous proposons cet été un « repérage » des montres inscrites pour le prochain GPHG, dans l’ordre choisi par le GPHG, mais dans le cadre d’une revue critique, éclairée et commentée. De quoi aider les académiciens à faire leur choix. Voici donc vingt-trois montres de vingt-trois marques en quête d’un prix au soir de la finale dans la catégorie « Challenge » (montres à moins de 3 000 francs suisses) : Ibarra, Kurono Tokyo, Lucky Harvey, Massena Lab, Maurice Lacroix, Metrical Watch, National Watch, Nectere, Nodus, Oris, Out of Order, Peacock, Ralph Lauren, Raymond Weil, Sea-Gull, Serica, Studio Underd0g, The Citizen, Thimetis, Venezianico, Version Watches, Wolbrock et Zbioland…
En parallèle avec nos pages « Repérages » habituelles, nous proposons cet été un « repérage » des montres inscrites pour le prochain GPHG, dans l’ordre choisi par le GPHG, mais dans le cadre d’une revue critique, éclairée et commentée. De quoi aider les académiciens à faire leur choix. Voici donc vingt-quatre montres de vingt-quatre marques en quête d’un prix au soir de la finale dans la catégorie « Challenge » (montres à moins de 3 000 francs suisses) : 11-11 Saat, 1776 Atelier, AEK Genève, Agelocer, Alcadus, Arcturus Watches, Astrolink, Atelier Wen, Bamford, Bangalore Watch Company, Bardswhisper, Beaubleu, Beda’a, Behrens, Christopher Ward, Ciga Design, D1 Milano, Dennison, Direnzo Watches, Favre-Bulle, Formex Watch, Haim Watch Company, Horizon Watches et Ianos…
En parallèle avec nos pages « Repérages » habituelles, nous proposons cet été un « repérage » des montres inscrites pour le prochain GPHG, dans l’ordre choisi par le GPHG, mais dans le cadre d’une revue critique, éclairée et commentée. De quoi aider les académiciens à faire leur choix. Voici donc dix-sept montres de dix-sept marques en quête d’un prix au soir de la finale dans la catégorie « Petite Aiguille » (montres entre 3 000 et 10 000 francs suisses) : Nalla Neram, Nomos Glashütte, Nukumi, Otsuka Lotec, Qannati, Rajamen Kellotehdas, Reservoir, Robot, Sartory Billard, Sea-Gull, Seiko, Sherpa Watches, TAG Heuer, The Cornell Watch Company, Toledano & Chan, Venezianico et Virage Watches…
