De même que la fête chrétienne de Noël est laïcisée, sinon plébiscitée par les peuples du monde entier, le Nouvel An chinois semble échapper à la culture asiatique et s’imposer comme une célébration à vocation planétaire…

Mais aussi la douceur nacrée d’une certaine élégance française, les maillons métalliques qui font leur révolution, le cube magique qui tourne rond par passion et une revenante de l’épopée spatiale… Images ci-dessous : l’énigmatique sourire d’une « souris » pour associer un conte fantastique d’Hoffmann et le Nouvel An du zodiaque chinois et le charme vintage d'une aventurière des années 1960...

Ce ne sont pas des initiatives « sauvages », mais des tentatives très officielles de renouveler l’imaginaire lié à l’achat d’une montre : quand les jeunes femmes dénudées, les artisans chenus de nos vieilles vallées, les footballeurs ballots et les baroudeurs de talk-show ne font plus vendre, il faut bien avoir un peu d’imagination…

Quand Bernard Arnault va lancer la bataille des quatre mousquetaires LVMH contre le pack Cartier-Van Cleef & Arpels, les vitres du temple feutré de la haute joaillerie internationale vont trembler. Le tout est de savoir si le groupe Richemont a encore les moyens de ses ambitions, ainsi que les ressources créatives pour mener une guérilla d’attrition contre l’ogre de l’avenue Montaigne…

On ne va pas se prendre la tête, ni tout prendre au pied de la lettre ! Une série de dessins et d’images « piratées » pour commenter une semaine de la vie des montres et pour échapper aux communiqués officiels – histoire d’illustrer, sans se prendre au sérieux, une vision de l’industrie tout ce qu’il y a de plus sérieuse. « Business Montres » vous propose chaque semaine une autre vision de la vie quotidienne des montres et des marques – certains de ces dessins « piratés » sont récupérés dans nos pages quotidiennes d’actualité horlogère.

Deuxième séquence de découverte de l’offre horlogère pour ce début 2020. Avec les premiers jours de janvier en perspective, la machine horlogère tourne déjà à plein régime : voici les sept montres de la semaine, racontées du point de vue des marques et commentées avec la délicieuse et la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se mitonne sur les marchés. Sept propositions, une par jour de la semaine (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Bvlgari, Charlie Paris, Émile Chouriet, Frederique Constant, Hublot, Tissot et Zenith…

Il ne faut pas trop jouer avec les affects symboliques profonds des peuples, surtout par ces temps de recentrage socio-culturel généralisé. Le zodiaque chinois en fournit un bon exemple. Pour le reste, on va reparler du funeste destin qui attend De Grisogono, des lacunes météoritiques du « Figaro », des boutiques qu’on ferme et du tournevis Cartier de Claude François…

Et le goût de la corruption finit toujours par tout corrompre, même les plus belles idées créatives. On pourrait énumérer ainsi les tautologies, en terminant par cette évidence : quand une situation part en vrille, on n’arrive que très rarement à la redresser. Pour De Grisogono, il faut maintenant redouter le pire…

On va aussi vous parler du possible retour sur le marché de marques précédemment éliminées et vous reparler de Jacob & Co, d’une bombe démographique qui va désillusionner beaucoup de naïfs et de quelques autres petites surprises…

Oui, c’est le bon compte qui ne fait pas les bons amis : pour le début 2020, la communauté horlogère n’organisera pas moins de quinze salons professionnels pour présenter ses nouveautés ou reprendre contact avec ses réseaux de distribution. On marche sur la tête ! Et c’est d’autant plus grave que la montre sort lentement mais sûrement du paysage mental de ses publics traditionnels : au lieu de frapper fort, on, se disperse, on ventile, on éparpille façon puzzle... La maison brûle, mais on en est encore à se chamailler doctement pour choisir la couleur du casque des pompiers…

Cette année 2020 sera décisive pour l’avenir de l’horlogerie au cours de la décade qui vient de s’ouvrir. Pour différentes raisons, elle marquera l’histoire des montres : dans notre « zéro bullshit zone », nos lecteurs étaient aux premières loges. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a compté pour la communauté horlogère, au cours de ces deux dernières semaines, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

Cinquante-troisième épisode d’une nouvelle séquence « Horlomania », qui fait suite à notre précédent tour des montres en 80 tests. Classées en cinq disciplines de base, nos cinq questions du jour relèvent de la culture générale sur les objets du temps, avec un coup de projecteur sur la marque japonaise Citizen. Ce quiz vise à consolider les connaissances horlogères des primo-accédants à cette culture horlogère – mais aussi à retremper les connaissances de tous les amateurs.

On ne va pas se prendre la tête, ni tout prendre au pied de la lettre ! Une série de dessins et d’images « piratées » pour commenter une semaine de la vie des montres et pour échapper aux communiqués officiels – histoire d’illustrer, sans se prendre au sérieux, une vision de l’industrie tout ce qu’il y a de plus sérieuse. « Business Montres » vous propose chaque semaine une autre vision de la vie quotidienne des montres et des marques – certains de ces dessins « piratés » sont récupérés dans nos pages quotidiennes d’actualité horlogère.

Sacré Jorg ! Hier ici, aujourd’hui là, demain ailleurs. Toujours avec inventivité : quoi de plus normal pour un redresseur de torts et un agitateur d’idées horlogères jamais comme les autres. Il a mis l’imagination au pouvoir. S’il a quitté l’horlogerie par une petite porte, il y revient toujours : qui sait si ce ne sera pas par une grande porte, lui qui a dessiné des montres – officiellement ou secrètement – pour les plus grandes marques. Pour importe le pavillon qu’il arbore, pourvu qu’elle soit créative – ce qui est généralement le cas. La preuve par l’ingénieuse proposition « La Toupie », son dernier délire, celui d’un des derniers géants du design horloger…

Un article du magazine « M Le Monde » consacrait récemment un « reportage » (sic) au sulfureux Monsieur Arabo, présenté comme le « King of bling » et comme le héros d’une série qui sort ces jours-ci sur Netflix, « Uncut Gems ». Mais qu’est-ce qu’ils ont tous contre Jacob the Jeweler ?