PICTOCHRONIQUES #211
« Le coeur sur la main quand il faut, et la main sur la figure quand c'est nécessaire ! »
Pour bien préparer cette rentrée de janvier 2025, 211e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand journaliste, dramaturge et dialoguiste français Henri Jeanson (1900-1970) pour la citation d’un dialogue de « Pas de caviar pour Tante Olga » (film de Jean Becker, sorti en1965) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…