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BILAN D’ÉTAPE #01 (accès libre)
Comment ça se passe, un an après le passage à la version payante par abonnement de « Business Montres » ? (première partie)

Voici à peu près un an, « Business Montres » redevenait payant, après quelques mois de rodage en accès libre de notre nouvelle formule. Première partie d’un rapide bilan d’étape, avant que la communauté horlogère ne prenne la route des sacro-saintes « vacances horlogères »…


••• CE QUI VA BEAUCOUP MIEUX

De l’avis unanime, la « nouvelle formule » de Business Montres est nettement supérieure aux précédentes, qui avaient vieilli et subi les dommages irréparables de piratages en série. Pour être le seul média horloger sur cette planète dont les contenus sont uniquement accessibles par abonnement et pour être le seul média horloger sur cette planète à refuser toute publicité, le meilleur des bilans économiques est la survie. Nous sommes encore là un an après : beaucoup de nos détracteurs initiaux ou des sceptiques de la première heure ne le sont plus et c’est déjà une belle victoire.

• L’accès aux informations est plus ergonomique : les lecteurs de notre Quotidien des montres s’y retrouvent mieux entre les différentes pages de notre flux régulier de contenus, avec les deux informations mises en avant en tête de la page d’accueil, les dix pages les plus récentes par ordre chronologique à l suite et la colonne de droite pour les vidéos et les réseaux sociaux.

• Le rythme de publication des contenus est apprécié : Business Montres vous propose une moyenne hebdomadaire de deux nouveaux articles par jour, avec des réactions ultra-rapides aux événements de l’actualité et des analyses qui ne sont disponibles qu’ici et nulle part ailleurs.

• La proportion des articles en accès libre (gratuit) a tenu ses promesses : beaucoup de ces articles sont publiés le week-end, plus rarement en semaine, sauf quand ils correspondent à des interventions publiques dans d’autres médias. En accès libre, notre Séance de rattrapage du dimanche soir reste très courue : elle compile le meilleur de ce qui a été publié au cours de la semaine écoulée et elle permet à ceux qui auraient raté un épisode de se remettre à niveau...en

• L’accès aux archives est plus facile, du moins pour celles qui ont pu être récupérées après différents crashes techniques et autres malfaisances (onglet « Archives » de la barre des menus). Il nous manque toujours malheureusement nos premières années (à peu près de 2006 à 2012), mais nous remettons en ligne, quand nous le pouvons, quelques pages disponibles (rubrique Business Montres Archives, qui reprend des articles datés d’il y a quatre ou cinq ans et plus). Sauf exception, nos articles repassent en accès libre au bout d’un an…

• Le moteur de recherches a été amélioré : s’il est loin d’être parfait, il fonctionne à peu près correctement, tant pour le flux des contenus du Quotidien des montres que pour les archives. Disons que ce n’est pas encore du niveau Sherlock Holmes, mais d’un honnête enquêteur de police. Certains lecteurs en font un usage intensif et ils ont bien raison…

• L’identité graphique de Business Montres s’est équilibrée autour des images purement horlogères et de nos fameux dessins inspirés par le pop-culture et souvent repris, mais commentés autrement, des comics de l’âge d’or de la presse papier populaire.

• Le fonctionnement des abonnements est à peu près satisfaisant, de même que les achats ponctuels des articles. Dès qu’on a compris que tout se trouve paramétrable à partir de l’onglet « Mon compte » (identifiant, mot de passe, formule et durée d’abonnement, enregistrement des trois outils de connexion, etc.), tout devient plus évident. La nouvelle règle du jeu (une seule connexion à la fois par abonné, avec déconnexion en cas de connexion simultanée) a été bien acceptée.

• Le prix des abonnements restera à peu près inchangé d’ici à la fin de l’année, à quelques francs près. Non qu’il soit particulièrement rémunérateur [merci tout de même aux abonnés qui souscrivent actuellement à notre offre de soutien à 400 CHF par an, au lieu des 240 CHF de l’abonnement normal], mais les temps sont durs pour toute la communauté horlogère et nous en avons pleinement conscience. Ceci posé, cet abonnement annuel reste particulièrement bon marché, puisqu’il correspond à un prix quotidien de 68 centimes (autant en centimes d’euros ou en cents) – pas même le quart d’une tasse de café dans un bistrot et à peine plus qu’une capsule de Nespresso (facturées entre 0,50 et 0,60 centimes). Pour la somme des informations proposées – le plus souvent introuvables ailleurs, sinon avec retard – et l’utilité stratégique [en termes d’intelligence économique] des analyses publiées, c’est même très peu coûteux pour ne rien rater d’essentiel dans l’actualité des montres…

••• À SUIVRE… 

Ce qui pourrait aller mieux et ce qui ne va toujours pas bien, mais que nous nous efforcerons de changer et d’améliorer dans les semaines qui viennent – avec, pour finir, quelques précisions sur notre ligne éditoriale (seconde partie de notre bilan d’étape : Business Montres du 5 juillet)…


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