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PICTOCHRONIQUES #289
« Les crimes de ceux qui mènent ne sont pas la faute de ceux qui sont menés : les gouvernements sont quelquefois des bandits, les peuples jamais »

Pour bien profiter des premiers jours de cet été 2025, voici le 289e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain français Victor Hugo (1802-1885) pour la citation de sa fameuse « Lettre au capitaine Butler » (25 novembre 1861) qui compose le titre de cette pictochronique (Victor Hugo s’y indignait du sac du Palais d’été de l’empereur Xianfeng, près de Pékin, par la soldatesque française et britannique). C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…


Nous allons terminer le premier semestre …
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