PICTOCHRONIQUES #218
« Découvrir, c'est bien souvent dévoiler quelque chose qui a toujours été là, mais que l'habitude cachait à nos regards »
Pour mieux accompagner la rentrée de janvier 2025, 218e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain, physicien et touche-à-tout américain Arthur Koestler (1905-1983) pour la citation de son « Cri d’Archimède » (1964) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…