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BONNETS D’ÂNE #1
Dix grossières fautes de design horloger – qu’on s’étonne de rencontrer chez des marques de ce niveau (première partie)…

C’est la discordance des temps : une faute – péché mortel ou péché véniel – qu’un peu d’attention ou de résolution horlogère aurait pu corriger. Le problème est que les marques de montres, généralement si tatillonnes dans leur approche mécanique ou si minutieuses dans leur planification industrielle, ont tendance à penser qu’elles peuvent facilement se passer des seuls vrais professionnels de l’esthétique horlogère : les designers de montres ! Un peu comme si les éditeurs de littérature estimaient pouvoir s’exonérer de faire appel à des écrivains. SOS vrais designers horlogers : il y en a de moins en moins, même si les « graphistes » et les imagiers numériques tout juste sortis d’école se ramassent à la pelle – ne pas confondre les deux, c’est une question d’œil, de talent, mais aussi d’expérience et de culture. Voici quelques fautes courantes récemment constatées (par ordre alphabétique de marques, et non de gravité de la faute)…


L’esthétique horlogère est un langage : c’est un système de signes, qui obéit à des règles grammaticales élémentaires, avec un vocabulaire précis, stratifié et codifié au fil des cinq siècles d’élaboration en Europe des beaux-arts de la montre et des objets du temps …
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