PICTOCHRONIQUES #249
« Le temps ressemble à un hôte du grand monde, qui serre froidement la main à l'ami qui s'en va, et qui, les bras étendus, embrasse le nouveau venu »
Pour bien entamer ce second trimestre 2025, voici le 249e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain, poète et dramaturge anglais William Shakespeare (1564-1616) pour la citation de son « Troïlus et Cressida » (1602) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…
