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MERCREDI : Quelques douceurs horlogères dans un monde de brutes marketing

Une performance mécanique dont le record d'ultra-minceur tient depuis 1976 : qui a dit que l'horlogerie suisse ne cessait d'innover ? Le comble de l'identité ne serait-il pas celui d'une marque qui se contente d'un simple pont pour affirmer sa personnalité dans la haute horlogerie ?  ▶ LES QUESTIONS DE CE ZAPPING DU MERCREDILes réponses après l'égo promo ci-dessous...❏❏❏❏ PONT : à part Girard-Perregaux, qui peut se permettre d'honorer un simple …


Une performance mécanique dont le record d'ultra-minceur tient depuis 1976 : qui a dit que l'horlogerie suisse ne cessait d'innover ?

Le comble de l'identité ne serait-il pas celui d'une marque qui se contente d'un simple pont pour affirmer sa personnalité dans la haute horlogerie ?

 
 LES QUESTIONS DE CE ZAPPING DU MERCREDI
Les réponses après l'égo promo ci-dessous...
❏❏❏❏ PONT : à part Girard-Perregaux, qui peut se permettre d'honorer un simple composant ?
❏❏❏❏ MODE : d'accord pour la mode, mais qui est Harold ?
❏❏❏❏ PLAT : qui détient, depuis 1976, le record de minceur pour un mouvement automatique ultra-plat ?
❏❏❏❏ MARINE : pourquoi rééditer un grand classique de l'histoire du chronomètre de marine ?
❏❏❏❏ FAMILLE : combien de générations pour Mellerio, la plus ancienne joaillerie du monde ?
❏❏❏❏ BW 13 : Et si le Palace de Baselworld redevenait The Place To Be ?
❏❏❏❏ INDISCRÉTIONS : notées à la volée, en vrac, en bref et en toute curiosité (le retour du style Barbarella, les calibres ultra-plats de Piaget, une visite du musée Longines, un égo à la hauteur, la conversion suisse de Fossil, etc.)...
 
 
 GIRARD-PERREGAUX
Un pont d'or qui en vaut trois...
◉◉◉ Qui dit "Pont d'or" pense forcément Girard-Perregaux, dont les fameux tourbillons "sous trois ponts d'or" sont devenus un repère identitaire dans l'univers de la haute horlogerie. Ils ont été déclinés dans tous les styles et dans toutes les matières (on relira avec profit le petit livre à leur sujet dans la collection des Pocket Books d'Osvaldo Patrizzi). Dans l'horizon de la haute horlogerie, c'est même le seul marqueur génétique qui s'attache à l'esthétique d'un composant – une forme de pont – plus qu'aux qualités ou aux performances d'un mouvement. Le style a été si fortement affirmé – quoiqu'il approche de son siècle et demi – qu'on peut désormais se passer de sa sainte trinité, d'où cette 1966 "sous pont d'or" : un seul suffit à l'affirmation du style. 40 mm d'or rose ou gris pour le boîtier, cadran argenté comme pour les montres de l'âge d'or, aiguilles assorties à la couleur d'or du boîtier, balancier à vis ultra-classique et tourbillon Girard-Perregaux classique (remontage automatique) sous un pont "bassiné", bercé et anglé à l'ancienne, spectaculairement ouvert sur le cadran : une montre qui rassurera ceux qui doutaient des ambitions patrimoniales chez Girard-Perregaux. Etait-il indispensable de repréciser "Swiss Made" sur le cadran ? À ce niveau de prix et de qualité visible, le client qui en douterait ne serait pas un client Girard-Perregaux, surtout si on se contentait de le graver sur le fond...
 
 
 
 
 NOUVELLES MARQUES 2013
Harold est mode
◉◉◉ Tiens, une nouvelle marque qui s'affiche comme une marque suisse ! Une qualité rare parmi la vingtaine de marques déjà repérées depuis le début de l'année : Harold sera la référence #19/Génération 2013 de notre nomenclature des nouvelles arrivées sur le marché. Basée à Genève, la marque est dérivée d'une boutique de seconde main. Elle exposait pour la première fois au GTE de la dernière Wonder Week. Les boîtiers en 40 mm reprennent la forme coussin [c'est la mode], avec un mouvement baguette à remontage automatique, un fond saphir, une étanchéité à 30 m et quelques déclinaisons (couleur du boîtier, décoration) qui permettent à la montre de ne pas dépasser les 580 francs suisses – prix public qui relève de l'exploit au vu du Swiss Made en évidence sur le cadran...
 
 
 
 
 ULTRA-PLAT
Le vrai record de minceur tient depuis 1976...
◉◉◉ N'allez pas forcément chercher chez Piaget le record du monde de minceur pour un mouvement automatique ultra-plat. Le record actuel, pour un tel mouvement sans seconde, reste celui de Jean Lassale(calibre 2000), avec 2,08 mm – record toujours invaincu depuis 1976. Si vous le préférez en version à remontage manuel (calibre 1200), il ne fait plus que 1,2 mm d'épaisseur (d'où son nom). Une plongée rapide dans l'histoire : « Au cours des années 1970, Pierre Mathys, maître horloger à La Chaux-de-Fonds, conçut, puis réalisa le prototype d’un calibre mécanique révolutionnaire, avec l’objectif de construire la montre la plus mince du moment. Il eut l’idée, pour ce faire, de recourir à des roulements à billes réduits à l’extrême pour assurer le pivotement des mobiles. Une idée originale, quand appliquée au mouvement complet, mais dont les prémisses furent les travaux de Robert Annen. Ce dernier préconisa au cours des années cinquante déjà l’utilisation de roulements à billes en horlogerie de petit volume. On lui doit, notamment, les travaux qui conduisirent à la réalisation des roulements à billes miniatures grâce auxquels Pierre Mathys put concrétiser son idée. Il imagina donc de supprimer ponts et contre-pivots, chaque élément du rouage devant tourner sur un seul palier chassé dans un roulement à billes, lui-même solidaire de la platine... (...) Le calibre 1200 et sa version automatique 2000 ont été produits de 1976 à 1979 dans l’usine que la société Bouchet-Lassale SA avait fait construire au 30 de la rue des Voisins à Genève. Les boîtes or provenaient des Ateliers réunis, entreprise sise également à Genève. Ces boîtes, de 
même que les cadrans – ceux à la feuille d’or tout particulièrement – sont d’un niveau qualitatif tout aussi exceptionnel que la technicité des mouvements qu’ils abritent. En 1978-79, une collaboration naît entre Bouchet-Lassale SA et Omega au travers de Lemania-Lugrin SA, L’Orient, alors toutes deux unités du groupe SSIH Société Suisse pour l’Industrie Horlogère, aujourd’hui disparue. Ainsi Lemania –Lugrin SA participa-t-elle à la fabrication des calibres 1200 et 2000, Omega possédant une licence non exclusive pour la production et la vente de ces mouvements. En septembre 1979, Bouchet-Lassale SA rencontra des difficultés financières telles que sa production fut interrompue. En décembre de la même année, Claude Burkhalter, alors directeur de Lemania-Lugrin SA, rappelle au cours d’une séance interne, qu’“Omega dispose de la possibilité de racheter la marque Jean Lassale“. C’est l’époque, en effet, où l’on étudie chez Omega l’opportunité de lancer, sous l’appellation Omega Louis Brandt, une collection haut de gamme dont les deux calibres ultra-plats auraient pu faire partie. Les événements se précipitant, la marque Jean Lassale se voit reprise par Seiko, alors que le dossier technique et les brevets associés aux calibres 1200 et 2000 sont rachetés par Claude Burkhalter au moment où il crée Nouvelle Lemania SA. Fondée en 1982, cette société reprendra les activités de Lemania-Lugrin SA et produira, dès ses débuts, les successeurs des 1200 et 2000 Jean Lassale : les calibres 1210 et 2010 Lemania. Elle les livrera en exclusivité à Piaget aussi longtemps que cette société restera indépendante. Son passage ultérieur sous le contrôle de Cartier libèrera Nouvelle Lemania SA de cette exclusivité, ce qui lui permettra, dès lors, de fournir ces calibres à Vacheron-Constantin notamment »...
◉◉◉ Commentaire de l'époque signé Gil Baillot, qui était rédacteur en chef de L’Impartial à La Chaux-de-fonds : « L’horlogerie mécanique, ces dernières années, a fait d’énormes progrès dans ses moyens de production dans la perspective d’une fiabilité et d’une précision accrue du produit mais on n’attendait plus guère, dans la discipline mécanique, d’inventions à inscrire dans la ligne des découvertes. Et pourtant ! Lors de la Foire Internationale de l’Horlogerie tenue à Bâle en avril 1976, un inconnu, ou presque, du milieu horloger, présentait une nouveauté qui capta l’attention des techniciens et des stylistes : il s’agissait d’un mouvement si plat qu’il défiait les règles logiques de la mécanique horlogère avec 1,2 millimètre d’épaisseur… (…)  Ce calibre est une construction ingénieuse autant qu’audacieuse. Il présente un grand nombre de solutions nouvelles qui pourraient intéresser l’ensemble de la production horlogère, mais évidemment pas dans l’épaisseur de 1,2 millimètre… Ce mouvement presque aussi plat que l’ombre qui traçait sur les antiques gnomons ne peut être réservée qu’au haut de la gamme horlogère, compte tenu du soin extrême qui doit être apporté à son montage. C’est donc naturellement qu’il est né à Genève où se perpétue depuis des siècles une tradition d’horlogerie fine de luxe où les mouvements extra-plats sont rehaussés de joaillerie »...
 
 
 
 
 LE CHRONOMÈTRE DE MARINE
Un ouvrage de référence revu et corrigé...
◉◉◉ Initialement publié en 1923, Le Chronomètre de Marine entame son étude par les premières années de la longue quête d'une mesure précise de la longitude. Cette édition corrigée et augmentée est préfacée par Jonathan Betts, qui précise les apports de cette nouvelle édition [le texte initial, avec ses dessins techniques, est intelligemment distingué des apports contemporains et des nouvelles images]. Le défi était alors de déterminer avec précision la longitude d'un lieu, à partir d'un navire en mer ou à l'ancre, par tous les moyens imaginables, mais le plus souvent par la mise au point d'horloges assez précises au quotidien pour conserver une heure de référence – ce qui permettait de calculer la différence entre l'heure locale et cette heure de référence (le plus souvent celle de Londres). Le fameux John Harrison – qui était un autodidacte – n'était ni le premier, ni le dernier des inventeurs qui ont tenté de mettre au point une méthode mécanique pour déterminer cette longitude : Huygens, Thacker, Sully et Leibnitz, ainsi que des horlogers professionnels, comme Ditisheim, Ulrich, Earnshaw, Arnold, Berthoud, Mudge et Le Roy, se sont attelés à cette mission. Ce livre est un classique accessible à tous : son auteur, Rupert Thomas Gould (1890-1948), n'était pas un horloger, mais un chercheur typique de ces excentriques anglais qui touchent à tout (de la machines à écrire au monstre du Loch Ness et de l'horlogerie historique à l'histoire du tennis) ! On lui doit pourtant la restauration des chronomètres de marine réalisés par John Harrison et ce livre exceptionnel, qu'il a mis quatre ans à écrire. Le préfacier, Jonathan Betts, est le conservateur en chef de l'Observatoire royal de Greenwich (près de Londres). Spécialiste de la chronométrie, il s'est passionné par son utilisation dans la navigation et la détermination de la longitude en mer. Il est par ailleurs le créateur d'un catalogue complet des chronomètres de marine des collections du National Maritime Museum et l'auteur de nombreux articles et de livres comme Time Restored : The Harrison Timekeepers and R.T Gould (2006) et Harrison (2007)...
 
 
 
 
 BASELWORLD
Et si le Palace (re)devenait The Place To Be ?
◉◉◉ La direction de Baseworld a fini par comprendre quelle pépite constituait le Palace, cet espace d'exposition de créateurs indépendants dont les lecteurs de Business Montres ont beaucoup entendu parler depuis la première Watch Factory de 2009. Époque héroïque, avec une Watch Factory qui avait été installée dans la... cafeteria du Palace, transformée pour la circonstance en nurserie pour douze très jeunes marques ! Devenue depuis le Baselworld Palace, la "grande-tente-blanche-à-côté-du-parking-en-face-de-la-tour" sera, pour la cinquième année, le rendez-vous de la nouvelle génération, avec une sélection encore plus homogène et pointue de jeunes marques, de petites maisons et d'horlogers créateurs, bref de trublions horlogers et de joyeux briseurs de codes, qui ont envahi tout l'espace, les marques "classiques" qui s'y trouvaient encore en 2012 ayant été réparties vers d'autres halles à la faveur du grand chambardement de Baselworld. Parmi les dernières nouvelles recrues du Palace, la mini-manufacture biennoise Armin Strom : bienvenue au club ! Ce ne sera qu'une bonne raison de plus de retrouver, sous la tente, les piliers du Palace (MB&F, Urwerk, HYT, Laurent Ferrier et tous les autres) : si c'est amusant, impertinent, décalé ou loufoque, c'est au Palace que ça se passe...
 
 
 
 
 MELLERIO DITS MELLER
Quatre siècles de tradition familiale...
◉◉◉ Pour son 400e anniversaire, Mellerio dits Meller (la plus ancienne maison de joaillerie du monde : pour une fois, ce n'est pas du storytelling !)  organise, dans ses locaux de la rue de la Paix, une soirée en hommage à une grande dame : l'impératrice Eugénie. Une initiative qui fait écho à la grande exposition qui s'est terminée le 20 janvier au musée d'Orsay, à un "Salon de thé pour Eugénie" (opération orchestrée au château impérial de Compiègne) et aux fêtes "Napoléon III, Vichy explore le temps"n du 27 au 29 avril. Animateur de la soirée : Nicolas Personne, écrivain et orateur de talent, auteur de Napoléon III et Eugénie reçoivent à Fontainebleau, ouvrage publié à l'occasion de l'exposition "L'art de vivre sous le Second Empire" organisée au Musée des arts décoratifs de Bordeaux l'année dernière. Une bonne occcasion pour redécouvrir les toilettes les plus élégantes portées à Compiègne, ces bals où les élégantes, entraînées par Eugénie, rivalisaient de toilettes, d'accessoires, de diadèmes et de colliers, de bracelets, de broches ou de bagues... Cette soirée exceptionnelle est organisée en faveur de la restauration des archives de la maison Mellerio dits Meller [14 générations depuis 1613 pour la plus ancienne entreprise familiale d'Europe !]. Elle sera accompagnée d'intermèdes musicaux, avec la violoncelliste Axel Salmona accompagnée au piano par Tatsiana Dahan, qui rendront hommage à Émile Waldteufel, à Camille Saint-Saens, à Ernest Chaussson et à Charles Lefebre, dans un décor de joyaux impériaux (renseignements : + 33 6 19 73 07 06)...
 
 
 
◀▶ LES INDISCRÉTIONS DU JOUR
Notées à la volée, en vrac, en bref et en toute liberté...
 
◉◉◉ LAURENT FERRIER : les petites marques aiment les grands espaces. En haut de la page, sous le sommaire, un affichage Laurent Ferrier au Hankow Centre, sur Tsim Sha Tsui, à Hong Kong : 13 m de haut ! Un nouveau parangon pour l'égo des jeunes marques ?
 
◉◉◉ FOSSIL : un grand retournement, ce nouveau Fossil Swiss Made ! Et une collection plutôt réussie, dans le goût classique (trois aiguilles, jour-date et chronographe trois-compteurs : ci-contre) et aux normes de qualité suisses, dans le travail du boîtier et du cadran, le style traditionnel modernisé des lignes choisies, le choix des couleurs (aiguilles et cadrans), le travail des bracelets (jolies surpiqûres) ou la précision garantie du mouvement (mécanique ou électronique). Même les écrins ont été revus dans l'esprit des montres proposées par les grandes marques ! Fossil Swiss ? Une option intéressante sur le nouveau marché d'un classicisme accessible, indémodable, avec le parfum des montres suisses sans l'ivresse des tarifs à la suisse (tout de même entre 700 et 1 000 euros selon les modèles, pour des boîtiers poussés à 38 mm, 43 mm et 45 mm). Pourquoi réserver les aiguilles bleuies, le SuperLumiNova patiné, les poussoirs "champignons", les bracelets métalliques à maillons "Oyster" et toutes les émotions du style vintage à la seule haute horlogerie ? Fossil n'a plus qu'à intervenir à Genève pendant la Wonder Week pour parfaire l'illusion. Ces montres sont disponibles en e-boutique sur le site Fossil (lien ci-dessus)...
 
◉◉◉ CORUM : intéressante querelle entre grands amateurs (Horlogerie suisse) sur la légitimité du mouvement recyclé AS recyclé par Corum dans sa nouvelle montre Chargé d'Affaires (Business Montres du 2 février). Fallait-il rebaptiser CO286 le bon vieil AS 1475, tellement reconnaissable à travers le fond saphir, même en remplaçant l'ancien pont (un peu rustique) par un nouveau pont mieux anglé ? Ce n'était pas forcément adroit... Fallait laisser le mot "Unajusted" sur un autre pont d'époque, hérité du stock de mouvements retrouvés et non remplacé parce qu'il aurait été trop coûteux de le refaire ? Ce n'était sans doute pas malin... Fallait-il klaxonner que ce mouvement historique "a été entièrement restauré avec les outils et les techniques de l’époque, mais en répondant à tous les standards de qualité et de finition actuels" – c'est-à-dire en anglant un pont, en refaisant le coq et en changeant les vis, avec un bon coup de repolissage sur le tout ? Ce n'était pas forcément habile, avec des piliers de réseaux sociaux toujours à l'affût des bêtises étalées par les dossiers de presse... L'exhumation de mouvements vintage – qu'on achète aujourd'hui sur étagère à des courtiers spécialisés – est tout-à-fait légitime, et même recommandée, pour la réédition des montres "historiques" : encore faut-il rester transparent...
 
◉◉◉ LONGINES : une visite virtuelle du musée Longines, à Saint-Imier. Quatre épisodes à découvrir sur la chaîne images Business Montres Vision : première séquence (02:44), deuxième séquence (02:28), troisième séquence (02:44) et quatrième séquence (02:22)...
 
◉◉◉ OMEGA : grosses rumeurs autour d'une nouvelle couleur d'or rose, qui permettrait à Omega de se positionner face au Rolesor de Rolex ou au Magic Gold de Hublot sur le segment des "alliages propriétaires". Coquetterie marketing ou percée métallurgique ? On en saura plus à Baselworld...
 
◉◉◉ FREELOOK : une bouffée de nostalgie seventies dans la nouvelle collection Freelook, entre Pucci et Barbarella (ci-contre). Beaucoup de bonne humeur dans ces couleurs franches et fraîches, dans un style pop rehaussé par la lunette strassée Swarovski, avec des teintes chaudes et festives en accord sur le cadran : "Pour un style infiniment girly et funky", nous assure Freelook. Pour 129 euros, c'est plutôt rigolo (mouvement à quartz)...
 
◉◉◉ BASELWORLD : condamné par le réaménagement total du Hall 1, l'ancien Media Center et les anciens centres de presse des pays associés (au-dessus de l'ancien hall d'entrée) ont été déménagés dans le Hall 5 – au fond du nouveau Hall 1. Le Swiss Press Centre (SPC) proposera cette année, comme l'année dernière, une très utile clé USB contenant tous les dossiers de presse (pas loin de 200) des exposants suisses du salon...
 
◉◉◉ PIAGET : une présentation en images de quelques mouvements de la manufacture sur la chaîne images Business Montres Vision, dont le calibre Piaget 1270P (mouvement automatique à micro-rotor et tourbillon), le calibre Piaget 1208 (mouvement automatique à petite seconde le plus mince du monde : 2,35 mm – voir ci-dessus notre information sur le calibre Jean Lassale) et le mouvement à grande lune Piaget 860P (lune de précision)...
 
 
 
D'AUTRES SÉQUENCES RÉCENTES
DE L'ACTUALITÉ DES MONTRES...
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