PICTOCHRONIQUES #189
« Étonnant paradoxe, c'est en acceptant le mal, sous ses diverses modulations, que l'on peut trouver une certaine joie de vivre »
189e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et qui décodent le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme... Merci à l’irremplaçable moraliste et sociologue français Michel Maffesoli (né en 1944) pour la citation de sa « Part du diable : précis de subvention postmoderne » (2004) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…