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PICTOCHRONIQUES #261
« Saisir le souffle d’un monde, au moment où il sombre dans l’abîme, et l’emprise glacée d’un autre qui prend sa place »

Pour bien profiter de ce printemps horloger 2025, voici le 261e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain et conseiller politique italo-suisse Giuliano da Empoli (né en 1973) pour la citation de son « Heure des prédateurs » (2025) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…


Nous avons entamé le second trimestre …
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