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REPÉRAGES #103-2022 (accès libre)
Sept montres qui ne craignent pas les complications pour se faire une place au poignet

103ellie, la tempête ? Les montres qui entrent en campagne pour cette rentrée sont toutes présélectionnées pour le prochain Grand Prix d’horlogerie de Genève : elles sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » (manufactures) d’horlogerie. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Bovet 1822, Bvlgari, Chopard, Ferdinand Berthoud, DRT, Sarpaneva et Ulysse Nardin…


DRT Tempus Fugit

Tempus Fugit est une ode au temps qui passe et une incitation à matérialiser ses ambitions, ses rêves. Fruit d’une rencontre exceptionnelle entre des représentants du monde médical, scientifique et horloger, le Dr. Benoît Dubuis, Président de l’Académie des Sciences Techniques, Dominique Renaud, créateur renommé, et Julien Tixier, horloger prototypiste indépendant. Ne nous laissons-nous pas tous surprendre par le temps qui passe ? Et quand nous le réalisons n’est-il pas trop tard pour entreprendre nos projets les plus intimes. Tempus Fugit est là pour nous le rappeler en intégrant une complication unique, une réserve de marche de sa propre vie, permettant de visualiser l’espérance de vie, non pas celle populationnelle, mais celle personnelle. L’armement du mécanisme visualisant la réserve de vie se fait sur la base d’indications personnelles fournies à un algorithme intégrant les dernières avancées scientifiques relatives au risque relevant notamment de son environnement, de sa physiologie et de son patrimoine génétique. A complication unique, pièce d’Horlogerie remarquable, fruit du savoir-faire exceptionnel d’artisans-horlogers ayant conçu et intégré le quantième perpétuel séculaire le plus complexe tenant compte des 4, 100 et 400 ans, avec un compteur affichant les années jusqu’à l’an 9999. Il s’agit également du quantième perpétuel séculaire le plus compact conçu à ce jour, l’ensemble du calculateur multimillénaire tenant intégralement dans un mobile suspendu. La maîtrise du savoir-faire horloger s’exprime aussi bien dans les finitions appliquées à chaque élément que dans un module qui ne fait que 8.3 mm de diamètre sur 1.85 mm de hauteur, et qui ne comprend pas moins de 51 composants. En plus des finitions et complications horlogères se trouve au sein du mouvement, une puce dépositaire de l’ADN du détenteur, mais également un message secret qui n’est révélé qu’à la fin de la réserve de vie. Aucun fatalisme dans cette complication nous interpelant sur notre réserve de vie, bien plus un appel à l’action et une intime conviction que la prise de conscience du temps qui passe est un encouragement à la réalisation de soi, à l’affirmation du sens de notre vie et à l'importance de notre engagement pour changer le monde. (376 000 CHF)

CHOPARD L.U.C Full Strike Tourbillon

La collection L.U.C s'enrichit d'un nouveau prodige technique. Ce modèle L.U.C Full Strike ajoute un tourbillon à pont saphir à la répétition minutes sur timbres en saphir monobloc inhérente à la série L.U.C Full Strike. Cette pièce de 42,5 mm en or éthique rose 18 carats est équipée du nouveau mouvement L.U.C 08.02-L, certifié Chronomètre. Le niveau extrêmement abouti de ses finitions, tant sur le mouvement que le boîtier, lui valent également de porter le Poinçon de Genève. Son cadran, en or rose guilloché à la main et teinté gris ruthénium, s'ouvre pour dévoiler les deux complications qui font toute la sophistication de cette édition limitée de 20 exemplaires. La richesse acoustique de ce garde-temps atteint un niveau de qualité exceptionnel. Son homogénéité parfaite en fait une pièce sans équivalent conjuguant défi conceptuel et capacité de réalisation. En 2013, Chopard a entrepris un ambitieux Voyage vers le luxe durable, un engagement à long terme guidé par un sentiment d'humilité, destiné à amorcer un changement significatif dans le monde du luxe. Ce Voyage vise à protéger la Terre, qui nous fournit nos matières premières, ainsi que les personnes impliquées dans notre chaîne d'approvisionnement. 100 % de l'or raffiné utilisé pour cette montre provient de sources qui respectent les normes environnementales et sociales selon les meilleures pratiques internationales. Chopard dispose de sa propre fonderie qui est, non seulement en mesure de garantir l'origine de l'or utilisé dans la production, mais surtout capable de refondre et recycler directement les chutes d'or et les déchets de production. (380 000 CHF)

ULYSSE NARDIN Freak S

La première Freak, lancée en 2001, a révolutionné l’horlogerie contemporaine. Dernière-née de cette saga, la Freak S place la barre au plus haut. Fidèle au principe même de la collection Freak, la machinerie micromécanique mise en scène avec la Freak S est un carrousel volant, sans aiguilles, sans cadran et sans couronne. La Freak S indique l’heure grâce à la rotation de son mouvement. Deux ponts tournent à partir de son centre et indiquent respectivement les heures et les minutes. Une flèche montre l’heure, tandis que le nez de la fusée, qui porte deux balanciers en silicium et deux échappements en DiamonSil, indique les minutes. Alors que dans les tourbillons traditionnels le balancier-spiral effectue une rotation par minute à l’intérieur d’une cage, dans la Freak S c’est le mouvement entier– y compris sa partie réglante – qui effectue un tour complet sur lui-même en une heure. La Freak S se met à l’heure par rotation de la lunette dans le sens des aiguilles d’une montre ou dans le sens contraire. De plus, la Freak S intègre les innovations 2022 suivantes : un double oscillateur en silicium et double échappement en DiamonSil, un différentiel vertical, un système de remontage automatique « Grinder » (deux fois plus performant qu’un remontoir traditionnel), et une nouvelle boîte librement inspirée de la première Freak de 2001 avec une construction permettant un mix de matériaux dont la céramique, le titane et l’or. L’effet tridimensionnel caractérisant la collection Freak est poussé au maximum dans cette Freak S. Cet effet est créé grâce au double oscillateur incliné : les deux balanciers extra-larges en silicium (fréquence de 2,5 Hz chacun), reliés par un différentiel, permettent d’atteindre une meilleure régulation de la marche du mouvement, et sont positionnées sur deux plans inclinés à 20° l’un par rapport à l’autre. Un pont en or rose en forme d’aile de fusée renforce leur dimension scénique.

Ayant été une des premières maisons horlogères à utiliser le silicium dans la première montre Freak en 2001, Ulysse Nardin utilise également ici le DiamonSIL (breveté en 2009), un procédé de traitement de surface au plasma associant silicium et diamant de synthèse. Cette technologie plasma du DiamonSIL, est l’une des technologies emblématiques du savoir-faire de la marque. Les composants de l’échappement en silicium de la Freak S sont revêtus de cette couche de diamant artificiel qui optimise sa performance, augmente sa résistance au magnétisme, ainsi qu’aux frottements et aux quelques millions de chocs par an. Le système de remontage automatique « Grinder » intégré dans la Freak S permet une transmission d’énergie deux fois plus efficiente qu’un système de remontage automatique classique car il utilise les moindres mouvements du poignet. Pour ce faire, la masse oscillante est reliée à un cadre comportant quatre cliquets, ce qui offre au système automatique deux fois plus de course angulaire. Un mécanisme de guidage flexible limite considérablement les frottements. De plus, le système de remontage Grinder rend possible l’intégration d’un double oscillateur, permettant d’atteindre une meilleure régulation de la marche du mouvement. La Freak S a une réserve de marche de 72 heures et incorpore un disque en aventurine noire scintillant de particules dorées qui tourne sous les index, rappelant une nuit étoilée. La boîte de 45 mm constituée de céramique noire, titane et or rose 5N est étanche à 30 mètres.  Ce garde-temps est disponible sur un bracelet en alligator décoré d’une découpe en veau doré et est équipé d’une boucle auto-déployante en titane DLC noir utilisant un nouveau système breveté à trois lames qui opère de façon synchronisée (SYNC). La Freak S est une édition limitée de 75 pièces proposée au prix de 130'000 CHF.

FERDINAND BERTHOUD Chronomètre FB 2RSM.2-1

Le Chronomètre FB RSM est une complication inédite développée dans la grande tradition de l’apprentissage horloger. Ce régulateur à tourbillon et transmission par fusée-chaîne, intègre pour la première fois un mécanisme de stop seconde ainsi qu’une seconde morte indépendante. Cette dernière a été élaborée avec un jeune apprenti horloger qui lui a consacré son mémoire de fin d’études. La conception du Chronomètre FB RSM s’inspire de l’Horloge Marine N°8, dite H.M.8 réalisée par Ferdinand Berthoud en 1768. Cette horloge possède un affichage de type « régulateur », c’est-à-dire que l’indication des heures, minutes et secondes n’est pas coaxiale. Ce type d’affichage permettait en effet d’améliorer la lecture du temps et ainsi de servir de référence lors des mesures effectuées pour la navigation en mer : tel est le rôle du garde-temps au sens propre. Le calibre FB-T.FC-RSM est doté d’une architecture en piliers, où le barillet et la fusée inversée sont tous deux suspendus et brevetés. Ce mécanisme à fusée-chaîne s’inspire de celui des chronomètres de marine de Ferdinand Berthoud. Il assure la distribution de l’énergie en délivrant une « force constante » au tourbillon à seconde directe breveté. Par son affichage et son fonctionnement, le Chronomètre FB RSM transpose cette notion de « régulateur » au temps présent. Les heures se lisent par l’intermédiaire d’un disque rotatif à 2 heures ; les minutes sont indiquées à 12 heures et, symbole de la précision, l’aiguille des secondes occupe une position centrale sur le cadran.  

Ce calibre est enrichi de la dénomination « SM », pour « Seconde Morte », ainsi que d’un stop balancier qui permet d’arrêter le tourbillon lors de la mise à l’heure à la seconde exacte. Suivant la tradition chère à Ferdinand Berthoud, cette complication a été élaborée avec un jeune apprenti horloger qui lui a consacré son mémoire de fin d’études : il a ainsi réuni dans son travail l’historique des horloges à seconde morte, l’identification des brevets, et le développement de la complication pour le calibre Tourbillon Régulateur à Force Constante qui devait l’accueillir. La Chronométrie Ferdinand Berthoud souhaitait également que cette complication s’insère dans les dimensions existantes du calibre, tout en garantissant des performances chronométriques dûment attestées par le COSC. La création d’une seconde morte est un défi de taille pour toute montre qui prétend à une certification chronométrique. En effet, immobiliser et relancer l’aiguille centrale par saut d’une seconde implique trois étapes : arrêter le rouage concerné, emmagasiner le couple qu’il continue à produire le temps de cette pause, puis le relâcher d’un seul coup au bout d’une seconde. La régularité du couple étant l’essence même d’un calibre à force constante, en interrompre 60 fois par minute le flux sans compromettre sa linéarité est une prouesse technique, raison pour laquelle la majorité des mouvements à seconde morte ne parvient pas à être certifiée COSC. Le Chronomètre FB RSM possède cette certification et constitue ainsi, à l’image des Horloges Marines du Maître Horloger, un véritable garde-temps. Le cadran en or 18 carats est gravé à la main et porte l’indication « N° 8 », comme l’Horloge Marine N° 8 originale, source d’inspiration du modèle FB RSM. Le mécanisme de seconde morte y est visible, grâce à une ouverture particulière à 9 heures, symboliquement réalisée en forme de « 8 ». Vingt mouvements seulement sont réalisés et l’habillage, quant à lui, est un choix qui reviendra au collectionneur. Le modèle FB 2RSM.2-1 associe un boîtier en or rose 18 carats de forme ronde à un cadran satiné avec traitement rhodium noir.  (270 000 CHF)

BVLGARI Octo Finissimo Ultra 10e anniversaire

L'Octo Finissimo Ultra, avec une épaisseur totale de 1.80mm, représente le 8e record du monde d’affilée, dévoilé le 21 mars 2022. Cette prouesse exprime le désir de repousser les limites et de jouer avec les extrêmes. Arborant un look monochrome en titane sablé, ce garde-temps est assorti au boîtier extra-plat doté d’un bracelet intégré de seulement 1,50 mm d'épaisseur, et dont le cadran dévoile les profondeurs du mécanisme. Un code QR unique gravé offre une connexion avec un NFT et le métavers, faisant le lien entre le monde mécanique et la dimension numérique. Le mouvement mécanique de manufacture extra-plat de l'Ultra Finissimo Ultra est à remontage manuel, avec affichage régulateur, calibre BVL180, 28 800 VpH (4 Hz) et possède 50 heures de réserve de marche. Son boîtier de 40 mm (1,80 mm d'épaisseur) est en titane sablé, la platine en carbure de tungstène, le régulateur des heures et des minutes, les aiguilles en PVD noir, roue de seconde avec index noir, remontage et rouage de mise à l’heure en acier inoxydable, rochet en acier inoxydable gravé d'un code QR unique associé à une création NFT exclusive, bracelet en titane sablé avec boucle déployante intégrée. Édition limitée à 10 exemplaires. (427 000 CHF)

SARPANEVA Nocturne

Sarpaneva Nocturne salue la souveraine de la nuit et sa lueur magique. Elle révèle la beauté cachée de notre monde, et peut-être quelque chose sur nous-mêmes. La montre a été inspirée à l'origine par de vieux décors de théâtre, notamment ceux des petits théâtres ambulants, capables de créer de grandes illusions. L'illustration nocturne a été créée en collaboration avec Ville Tietäväinen, un illustrateur et romancier graphique finlandais primé. L'effet illusoire du cadran est réalisé par 233 ouvertures, peintes à la main en huit couleurs de Swiss Super-LumiNova. (23 900 CHF)

BOVET 1822 Récital 20 Astérium

Le Récital 20 Astérium (représentant le ciel vu de la Terre) est un garde-temps clé de la collection de complications astronomiques de Bovet, qui comprend également le Récital 18 Shooting Star (représentant la Terre avec 24 fuseaux horaires vue du ciel) et le Récital 22 Grand Récital (planétaire). Avec son boîtier « écritoire » signature de la Maison, l’Astérium, pièce unique associant or rouge et or blanc 18 carats, met son mouvement spectaculaire au centre de la scène, et quel mouvement ! Par où commencer ? Que diriez-vous de l’aspect le plus visuel du garde-temps ? Au centre de la face avant, la carte du ciel nocturne se compose d’étoiles et de constellations gravées au laser puis remplies de Super-LumiNova sur un dôme de quartz bleu transparent, fonctionnel, précis et intuitif à la fois. Pour un réalisme accru, les étoiles les plus hautes dans le ciel sont représentées au sommet du dôme, tandis que les étoiles les plus basses, plus proches de l’horizon, apparaissent à la périphérie. À cela vient s’ajouter un calendrier sidéral. La durée d’un tour complet de la Terre autour du Soleil (appelé « année sidérale ») est de 365 jours, 6 heures, 9 minutes et 9,77 secondes, soit 365,25 jours immuables. Pour des raisons évidentes, le calendrier grégorien a été obligé d’arrondir le nombre de jours composant une année à 365 et d’ajouter un jour supplémentaire tous les quatre ans (l’année bissextile) pour compenser le temps restant. Les calendriers habituellement employés en horlogerie sont tous basés sur le calendrier grégorien, mais l’utilisation de celui-ci pour suivre le ciel nocturne aurait entraîné une accumulation d’erreurs importante lors de l’affichage de l’équation du temps. C’est pourquoi le ciel nocturne et les indications sidérales sur l’Astérium sont régis par un calendrier annuel calculé sur un cycle de 365,25 jours pour refléter la durée réelle d’une orbite terrestre complète. En associant cet affichage à une telle exactitude horlogère, le garde-temps est capable de représenter la position instantanée des étoiles dans le ciel avec une précision inégalée. Si l’Astérium a bénéficié d’une ingénierie complexe, son mécanisme et son dispositif de remontage ont été conçus pour être simples, intuitifs et fiables, comme on peut le constater en retournant simplement le garde-temps et en regardant à travers le verre saphir transparent qui recouvre l’ensemble du mouvement. Celui-ci est jonché d’une multitude de graduations liées aux indications astronomiques, que parcourt une aiguille centrale unique. Cette aiguille est entraînée directement par le calendrier annuel et effectue donc une rotation complète une fois tous les 365,25 jours. Un calendrier annuel (jours et mois) apparaît sur la lunette du boîtier pour permettre de régler précisément la voûte céleste.

Le réglage du calendrier annuel à l’aide de la couronne déconnecte les aiguilles des heures et des minutes et permet d’ajuster rapidement et facilement la position des constellations et donc toutes les informations sidérales. Pour ce faire, le propriétaire de la montre n’aura qu’à faire avancer l’aiguille centrale jusqu’à la date correcte, avant de régler l’heure avec la couronne en position centrale. Cette opération est beaucoup plus rapide que le réglage d’un calendrier perpétuel et ne nécessite pas de correcteur. Cette même aiguille parcourt également une graduation indiquant les signes du zodiaque, symbolisés par les constellations que le Soleil semble traverser tout au long de l’année, d’où l’astre délicatement gravé à la main et riveté à son extrémité. Les saisons sont également indiquées au centre du garde-temps, tout comme les solstices et les équinoxes. Sur la face avant, la pièce dévoile quelques indications supplémentaires. Sur sa partie inférieure, la voûte céleste surplombe deux indicateurs hémisphériques doubles de part et d’autre. À gauche, la phase de lune de haute précision voyage à côté d’une échelle indiquant l’équation du temps. À droite, un double indicateur hémisphérique, symétriquement opposé à la phase de lune et à l’équation du temps, affiche la réserve de marche et ses dix jours d’autonomie à travers un dôme intérieur qui tourne sous une échelle fixe indiquant les minutes. L’aiguille rétrograde est positionnée au-dessus et pointe les minutes sur le pourtour de la pièce. Conformément au temps astral, les heures défilent de manière concentrique autour du ciel nocturne sur un cadran de 24 heures placé sous le quartz transparent, à travers lequel il est visible. Pour une utilisation intuitive et une lisibilité optimale, l’aiguille des heures a été conçue pour remplir simultanément trois fonctions : elle indique l’heure, pointe vers le Nord pour faciliter la lecture des cartes et montre la voûte céleste à travers son périmètre de forme elliptique. Épousant les courbes du dôme en saphir, cette aiguille triple symbolise à elle seule l’étendue des savoir-faire de la Manufacture. De son élaboration et de ses nombreux et délicats ornements artisanaux à la virtuosité haute technologie de sa fabrication, la création de cette aiguille est un concentré de prouesses techniques toutes réalisées de main de maître par les artisans de BOVET 1822. Enfin, l’aiguille des secondes, qui indique l’unité de base sur laquelle repose la précision de toutes les mesures du temps, est entraînée par le tourbillon volant double-face breveté. (…) – (500 805 CHF)

 

Coordination éditoriale : Eyquem Pons


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