PICTOCHRONIQUES #256
« Le spectacle est le moment où la marchandise est parvenue à l’occupation totale de la vie sociale : non seulement le rapport à la marchandise est visible, mais on ne voit plus que lui – le monde que l’on voit est son propre monde »
Pour bien entamer ce printemps horloger 2025, voici le 256e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain, poète et moraliste situationniste français Guy Debord (1931-1994) pour la citation de ses « Commentaires sur la société du spectacle » (1988) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie et à la situation économique de son industrie ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…
