C’était cette semaine, ici et nulle part ailleurs, dans nos pages et dans l’actualité suivie par votre « Quotidien des Montres » (avec un rappel sur la période des vacances horlogères, fin 2017). Le meilleur de l’information horlogère, le plus exclusif, le plus percutant et le plus original, bref le plus indépendant et le plus utile pour tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres. Une rétrospective rapide pour relire tout ce qui a été publié en vrac, en bref, le plus souvent en toute originalité et toujours en toute liberté de parole et de pensée !

Histoire de détendre un peu l’atmosphère, amusons-nous avec quelques dessins détournés pour illustrer l’actualité horlogère. « Business Montres » vous propose chaque semaine une autre vision de la vie quotidienne des montres, en compagnie de ceux qui les font Avec un autre regard sur la vie ordinaire des marques et de ceux qui les défont…

Dernière saison de notre tour des montres en 80 tests (nous abordons maintenant les deux-tiers du parcours), avec la cinquantième-sixième séquence de notre jeu inédit pour tester les connaissances en haute horlogerie. Vous n'avez à chaque fois que six bonnes réponses à formuler pour prouver votre niveau de culture en belles montres !

Depuis plus d’un siècle, les maisons de montres rivalisent de créativité et d’ingéniosité pour promouvoir leurs objets du temps. Il y aurait une thèse à écrire sur l’iconologie horlogère, qui témoigne de hautes pressions graphiques comme de basses pressions conceptuelles (ce qui serait plutôt le cas aujourd’hui) ! Histoire d’ouvrir la discussion, voici une soixante-sixième séquence de belles créations horlogères, juste pour le plaisir des yeux…

C'est une nouvelle directive de l'administration chinoise des changes (SAFE) : les retraits annuels de cash à l'étranger sont plafonnés à 100 000 yuans (15 000 dollars) par personne ! Ceci, bien sûr, dans le cadre de la lutte contre la corruption, l'évasion fiscale et le blanchiment d'argent. Est-ce une catastrophe pour l'horlogerie suisse ?

Mais aussi les dents pointues d'un clown transgressif, les triangles minimalistes d'un carré constructiviste et les malheureux chiens d'une rengaine zodiacale… Image ci-dessous : Les cadrans des grandes icônes de l'horlogerie rhabillent les amateurs…

Bien entendu, c’est du non-officiel et du non-autorisé : pire qu’une rumeur, c’est une hypothèse de travail et un chantier de réflexion stratégique ! Imaginons que toutes les grandes marques genevoises discutent et s’entendent avec les autorités genevoises pour instituer, un grand rendez-vous de la communauté horlogère à Genève, en début d’année. Un SIHH puissance dix, qui torpillerait définitivement Baselword. « Tout changer pour que rien ne change » : 2018 s’annonce plus que jamais comme une fantastique « année du Guépard »…

Il y aurait aussi quelques raisons de s'inquiéter de tout ce que 2018 – l'année où tout doit changer pour que rien ne change ! – peut apporter comme bouleversements dans un ordre du monde toujours fragile, dont les instabilités menacent gravement l'économie des montres…

Voici quelques nouveautés qui arrivent dans les vitrines médiatiques en prélude au SIHH et à Baselworld. Des montres commentées du point de vue des marques, racontées avec la délicieuse et jamais trop fleurie langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c'est toujours intéressant de savoir ce qui se prépare sur les marchés. Sept propositions cette semaine, une par jour (" Quand on aime, on ne compte pas ") et par ordre alphabétique d'apparition à l'écran : Anonimo, Cartier, Ebel, Glashütte Original, Parmigiani, Richard Mille et William L 1985…

C’est le bon jour depuis les derniers douze coups de minuit : bonne année 2018 à toute notre communauté de passionnés, d'abonnés, de lecteurs réguliers ou occasionnels ! Bonne année à toute la communauté qui soutient et encourage la survie de notre médiafacture indépendante d’informations horlogères, le seul média horloger de cette planète à refuser par principe toute publicité horlogère – le seul à préférer faire payer ses contenus par ses lecteurs plutôt que de vendre ses lecteurs à ses annonceurs. Bonne année à tous ceux qui ont au cœur la passion d’une information horlogère indépendante des puissances de l’argent ! Bonne année à tous les amis des montres et des marques, à ceux qui les font comme à ceux qui (parfois) les défont. Tant qu’on y est et pour commencer 2018 sur une note généreuse, bonne année à tous les perroquets des médias collabos du système et aux derniers lecteurs qui leur font confiance. Et bonne année à tous les pisse-vinaigre, aux ragoteurs qui ne savent jamais rien mais qui croient pouvoir tout commenter et à tous ceux qu’une vraie liberté de ton dérange, qui ne supportent pas nos analyses indépendantes (si souvent prémonitoires) et que notre curiosité toujours insatisfaite finit par mettre mal à l'aise : qu’ils soient assurés, pour 2018, que nous allons continuer à épingler tous les cafards des sacristies horlogères et à nous moquer des ravis de la crèche. En 2018, plus que jamais, nous resterons les empêcheurs de penser en rond…

Dix coups de projecteur sur les tendances climatologiques de l’horlogerie pour le dernier mois de 2017 : notre dernier Baromontres exclusif de l’année évalue, comme tous les mois, les hautes pressions et les dépressions de la barométrie pour ce qui concerne les montres. En toute liberté, sans la moindre révérence et avec le souci d’y voir plus clair…

La page 2017 se tourne définitivement et on réalise à quel point notre monde horloger aura plus changé au cours de ces derniers mois qu'au cours des années précédentes. Pour le meilleur mais aussi pour le pire. Ne conservons pour ces derniers jours de l’année que le meilleur, avec les séquences d’actualité que nous avons préférées au cours de douze derniers mois (douze séquences, une par mois et par ordre alphabétique de marque concernée)…

Mais aussi, en même temps que nos vœux de bonne année, le culte baroquisant de la virtuosité mécanique, les idées carrées des épigones de Richard Mille, l’audace stylistique d’un hommage à la démesure automobile et le tourbillon qui voit la vie en rose… Image ci-dessous : un mouvement mécanique vertical et un tourbillon pour un « moteur » automobile aux dimensions d’un poignet…

En voyant 2017 s'éloigner, on réalise à quel point notre monde horloger aura plus changé au cours de ces derniers mois qu'au cours des années précédentes. Ceci pour le meilleur comme pour le pire. Pendant ce temps, les dés de l’histoire horlogère roulent et de nouvelles marques apparaissent : quelles seront celles dont on va à coup sûr parler en 2018 ?

Voici quelques nouveautés qui arrivent dans les vitrines médiatiques en prélude au SIHH et à Baselworld. Des montres commentées du point de vue des marques, racontées avec la délicieuse et jamais trop fleurie langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se prépare sur les marchés. Sept propositions cette semaine, une par jour (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Armin Strom, Franck Muller, Girard-Perregaux, Longines, Luminox, Parmigiani et Piaget…