En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 87e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept pièces de sept marques : Aerowatch, Arnold & Son, Gustave & Cie., H. Moser & Cie., Luminox, Rado et Rolex…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 86e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept pièces de sept marques : Ba111od, Chanel, Chronofixe, Depancel, IWC, Maurice Lacroix et Poiray…

Pour bien profiter de ce printemps horloger 2025, voici le 268e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain, diplomate et académicien français Paul Morand (1888-1976) pour la citation de ses « Nouvelles complètes » (1992) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi, toujours en mode Fête des Mères, une tradition respectée jusqu’au platine, une vraie « plongeuse » pour les plongeuses, des grains de riz incontournables, une élégante octogonale et des exportations en point d’interrogation… Images ci-dessous : tous les codes subaquatiques au bon format à un prix accessible (Chronofixe)…

Dans sa mission d’informations sans langue de bois, ni phrases de coton, le Sniper va vous parler, entre autres, d’une indécence dans la cour des Papes, de pourcentages dont il n’y a pas de quoi se vanter lors de l’assemblée générale du Swatch Group et d’un milliardaire patriote – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

Pour bien profiter de ce printemps horloger 2025, voici le 267e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain et philosophe roumain Emil Cioran (1911-1995) pour la citation de ses « Syllogismes de l’amertume » (1952) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Pour bien profiter de ce printemps horloger 2025, voici le 266e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand physicien, moraliste et philosophe allemand Georg Christoph Lichtenberg (1742-1799) pour la citation de ses « Aphorismes » (posthumes) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Dans sa mission d’informations sans langue de bois, ni phrases de coton, le Sniper va vous parler, entre autres, de tableau noir, d’une chasse à courre chez les analystes financiers, d’un pudeur mafioso-politique, de réseaux sociaux toxiques et d’une renaissance – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 85e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept pièces de sept marques : Breguet, Chanel, Glashütte Original, Ralph Lauren, Suunto, Swatch et ZRC…

Pour bien profiter de ce printemps horloger 2025, voici le 265e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand philosophe allemand Arthur Schopenhauer (1788-1860) pour la citation de sa « Métaphysique de l’amour, métaphysique de la mort » (2002) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi une plongée biosourcée dans le grand bleu, une héritière fumée, une Italienne stylée, des records aux enchères, un conseil qui déconseille et le faux collier d’une vraie reine… Imagees ci-dessous : un guillochage « à la suisse », mais avec un délicieux accent italien (Venezianico)…

Dans sa mission d’informations sans langue de bois, ni phrases de coton, le Sniper va vous parler, entre autres, de blanchiment orageux, de naufrages dans la distribution horlogère, de la décoration hôtelière, d’un costume-cravate historique et d’une casquette ridicule, avec un adieu à un grand seigneur de la montre – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

Est-ce une panne d’imagination ou une totale absence de culture horlogère ? C’est en tout cas de la goujaterie ! Pour la promotion par la MoonSwatch de la première certification de la Speedmaster d’Omega par la NASA, en 1965, les narrateurs du Swatch Group ont tout simplement contrefait et piraté les montres de deux groupes concurrents. Sans leur autorisation, bien sûr…

Pour bien profiter de ce printemps horloger 2025, voici le 264e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci à l’immense philosophe allemand Friedrich Nietzsche (1844-1900) pour la citation d son « Gai savoir » (1887) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 84e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept pièces de sept marques : Chanel, Chronoswiss, Fossil, Girard-Perregaux x Bamford, Hamilton, Hublot et Swatch…