En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 155e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Cuervo y Sobrinos, Gucci, Hermès, Louis Moinet, Rolex, Seiko et Zenith…

132e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au grand écrivain humaniste français et prix Nobel de littéraire Romain Rolland (1866-1944) pour la citation de sa pièce « Le Quatorze Juillet » (1902) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler de chaises musicales, d’un cauchemar SAV, d’un nouveau cycle trentenaire, du nouveau culte chinois des citronniers et d’un arbitre des élégances – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 154e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Charlie Paris, Chronoswiss, Cuervo y Sobrinos, Frederique Constant, Gucci, Seiko et Unimatic x Morgan…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 153e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : ArtyA, Bell & Ross, B.R.M. Chronographes, Cuervo y Sobrinos, Hermès, Mido et Swatch…

Chez Richemont, on n’éjecte pas, on élimine avec un sens très subtilement mandarinal de l’humiliation. Après avoir mis à l’écart Jérôme Lambert, c’est au tour de Cyrille Vigneron, qui pilotait Cartier, d’être assigné sans le moindre ménagement (mais avec un énorme salaire) à une mission « philanthropique ». Son remplacement par Louis Ferla est une gifle pour le clan Perrin, de plus en plus clairement marginalisé par Nicolas Bos…

131e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au grand essayiste situationniste, cinéaste, écrivain et stratège métapolitique français Guy Debord (1931-1994) pour la citation de sa « Societé du spectacle » (1967) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Sixième Baromontres de l’année 2024, avec une quinzaine de coups de projecteur sur les grandes tendances climatologiques de l’horlogerie de ce sixième mois de l’année. Les incertitudes qui se dessinaient fin 2023 sont devenues des certitudes : le premier semestre 2024 s’est révélé difficile et exigeant, mais aussi terriblement périlleux ! Notre Baromontres exclusif évalue les hautes pressions et les dépressions de la barométrie pour tout ce qui concerne l’industrie horlogère. Un bulletin météo en toute liberté et sans la moindre révérence, avec le seul souci d’apporter un peu de lumière sur ce millésime 2024, qui ne nous réservera sans doute pas le meilleur de ces dernières années…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler d’un astrolabe, d’un nouveau grand prix d’horlogerie, d’un derby de crampons horlogers aux montres aussi lourdement tarifées que starifiées, d’un retropédalage présidentiel et d’un « loup en cachemire » – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 152e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Armin Strom, Bell & Ross, Chronoswiss, Hermès, Junghans, Norqain et Rolex…

En parallèle aux grands prix d’horlogerie bien propres sur eux, voici un podium dissident de grands prix horlogers que personne ne viendra réclamer. Pour être le meilleur, il suffit d’être le pire : la compétition est féroce dans les états-majors horlogers…

Pour l’industrie des montres, le premier semestre 2024 se termine dans un état de santé économique chancelant. Le millésime 2024 prend plaisir à chambouler tout le paysage horloger, avec ses guerres, ses crises économiques internationales et ses muaions socioculturelles ! Des bouleversements décisifs sont à l’œuvre. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques.

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 151e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Bell & Ross, Chronoswiss, Citizen, Junghans, Memorigin, Oris et REC Watches…

L’horlogerie vient de perdre un de ses plus grands esprits, un des plus affûtés comme un des plus disruptifs de ces dernières décennies. En assemblée générale, Jean-Daniel Pasche, l’ex-président de la FH suisse, vient de procéder officiellement à la passation de pouvoirs à son successeur. Ce qui tendrait à nous prouver qu’il avait encore un certain pouvoir ! En deux décennies, « Business Montres » n’a jamais manqué de rendre hommage à son talent exceptionnel…

130e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci à l’immense homme d’esprit, acteur et dramaturge Sacha Guitry (1885-1957) pour la citation de ses « Maximes, pensées et anecdotes » qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…