En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 172e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Louis Vuitton, Piaget, Reservoir, Saziu, Trilobe, Van Cleef & Arpels et Vanguart…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 171e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Andersen Genève, Celadon HH, Chaumet, Fabergé, Gucci, Hermès et Parmigiani Fleurier…

Le Grand prix d’horlogerie de Genève (GPHG) accuse la fatigue : il fêtera bientôt son premier quart de siècle ! Au fil du temps, il n’a cessé de perdre la fraîcheur pas toujours éthique de sa jeunesse sans vraiment gagner les galons d’une maturité responsable. Depuis des années, « Business Montres » fustige ces dérives, comme le prouve ce rétropédalage pictofictionnel – une compilation sélective pour cause de surabondance d'évocation du GPHG dans nos pictochroniques…

142e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au grand moraliste et biologiste français Jean Rostand (1894-1977) pour la citation de ses « Pages d’un moraliste » (1952) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler d’une prolifération alarmante des vraies petites marques au GPHG et d’une proportion inquiétante de fausses nouvelles marques au même GPHG, de nouvelles catégories officielles pour repenser le GPHG, d’un insolite Albanais, d’un Top 10 déserté, d’un bleu Tiffany qui se ternit, des vacances de la famille Hayek et de la seule marque horlogère qui vole au-dessus de Paris – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

Astrid Wendlandt assure l’avenir et l’indépendance de son média en ligne « Miss Tweed » grâce à un nouvel investisseur qui lui permettra d’accélérer le développement de son réseau et la création de nouveaux contenus éditoriaux.

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 170e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Fears, Raymond Weil, Saziu, Schneider & Co, TAG Heuer, Van Cleef & Arpels et Vieren…

141e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au grand humoriste français Fernand Raynaud (1926-1973) pour sa citation de son sketch « Ma sœur s’est mariée » qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 169e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Arnold & Son, Breitling, Bvlgari, Charriol, Chaumet, Chopard et Dior…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 168e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Chez Maman, Fabergé, Furlan Marri, Hublot, Swatch x Omega et Ulysse Nardin…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 167e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Citizen, Furlan Marri, Hublot, Piaget, Romain Gauthier, Sinn et Victorinox…

140e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au grand poète romantique français Alphonse de Lamartine (1790-1869) pour sa citation de ses « Méditations poétiques » (1820) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 166e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Bremont, Furlan Marri, Kelton, Lip, Mr Jones, Orient et Stowa…

Prêts pour les Geneva Watch Days de la rentrée ? Le rendez-vous est désormais institutionnalisé, avec toujours plus de marques et de passionnés attachés au rendez-vous de chaque rentrée horlogère à Genève. Un rendez-vous qui a toujours été soutenu par Business Montres, dès sa première édition, en 2020. Travelling arrière sur nos pictofictions passées…

139e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au grand écrivain Paul Morand (1888-1976) pour la citation de ses « Nouvelles » (1992) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…