La communauté des montres a répondu positivement : il fallait « sauver le soldat GPHG », il est sauvé ! Jamais on n’avait vu autant de marques inscrire autant de montres pour un Grand Prix de Genève. Jamais les chances de remporter un prix n’avaient été aussi ouvertes que pour ce GPHG 2019. Des records battus qui sont très encourageants pour la grande mutation prévue pour 2020, mais, en attendant, il est déjà évident que le 7 novembre sera un grand jour pour l’horlogerie suisse…

Mais aussi une légende militaire qui dit « merde » à la reine d’Angleterre, les ailes d’un ancien horloger de la Marine et la nostalgie des fastes dorés de la branchitude parisienne… Images ci-dessous : Un globe terrestre réglé sur la rotation de la Terre, au rythme des évolutions de quatre tourbillons mécaniques …

Vingt-six montres pour les vingt-six semaines des six premiers mois de 2019 : ce sont celles dont il vaudrait mieux se souvenir, parce que bon nombre d’entre elles marqueront de leur force, de leur originalité ou de leur réussite le millésime 2019. Un choix forcément subjectif, mais clairement assumé (troisième séquence)…

Vingt-six montres pour les vingt-six semaines des six premiers mois de 2019 : ce sont celles dont il vaudrait mieux se souvenir, parce que bon nombre d’entre elles marqueront de leur force, de leur originalité ou de leur réussite le millésime 2019. Un choix forcément subjectif, mais clairement assumé (deuxième séquence)…

Fantastique numéro d’embrouille de Nick Hayek pour la présentation de ses comptes semestriels, marqués à la fois par la décroissance de son chiffre d’affaires et le recul de ses bénéfices, avec une augmentation assez hallucinante de ses stocks. Heureusement, « tout va très bien, Madame la marquise » ! Les analystes boursiers ont gobé tout ça et n’y ont vu que du feu, avec une incroyable envolée de l’action d’un groupe pourtant de plus en plus fragilisé. N’hésitons pas à le redire : Nick Hayek est un immense artiste capable de changer le plomb des chiffres en or des promesses…

Sans langue de bois, ni langue de coton, une grosse dizaine de questions à brûle-pourpoint que « Business Montres » a voulu poser à Vincent Perriard, le « couteau suisse » qui dépanne plus vite que son ombre les nombreuses marques qui le « consultent », soit pour relancer leur moteur, soit pour « fluidifier » leurs stocks. C’est le quatrième épisode de notre voyage estival en compagnie de ces acteurs de l’horlogerie qui parviennent à faire du buzz sans faire de publicité dans les médias – ceux qui savent faire parler d’eux sans ne parler que d’eux. C’est parti (remerciements à la génial graphiste Malika Favre pour les magnifiques illustrations qui ouvrent ces questionnaires)…

Vingt-six montres pour les vingt-six semaines des six premiers mois de 2019 : ce sont celles dont il vaudrait mieux se souvenir, parce que bon nombre d’entre elles marqueront de leur force, de leur originalité ou de leur réussite le millésime 2019. Un choix forcément subjectif, mais clairement assumé (première séquence)…

Ce qui n’était qu’une rumeur, clairement décodée par « Business Montres » voici quelques semaines n’en était pas une : il suffisait de bien lire entre les lignes – ce que nos lecteurs adorent faire… Chérie, j’ai rétréci le portefeuille du groupe !

Trentième séquence de découverte de l’offre horlogère de ce premier semestre. Avec les premiers jours de juillet, voici les sept montres de la semaine, racontées du point de vue des marques et commentées avec la délicieuse et la jamais trop fleurie langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se mitonne sur les marchés. Sept propositions, une par jour de la semaine (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Certina, H. Moser & Cie., Hysek, Louis Moinet, MeisterSinger, Michel Herbelin et Oris…

Sans langue de bois, ni langue de coton, une grosse (très grosse) dizaine de questions à brûle-pourpoint que « Business Montres » a voulu poser à Rick de la Croix, le plus remuant des grands distributeurs de montres suisses et l’organisateur des événements horlogers les plus décalés de toutes les Amériques. C’est le troisième épisode de notre voyage estival en compagnie de ces acteurs de l’horlogerie qui parviennent à faire du buzz sans faire de publicité dans les médias – ceux qui savent faire parler d’eux sans ne parler que d’eux. C’est parti (remerciements à la graphiste Malika Favre pour les illustrations de ces articles)…

Une marque qui a dû abandonner son public traditionnel au profit d’agioteurs qui profitent de l’actuelle « bulle horlogère » peut-elle renouer le dialogue avec ses anciens amoureux ? Vous avez toutes les vacances horlogères pour réfléchir là-dessus, ainsi que sur quelques rumeurs et quelques statistiques : le menu est copieux, mais on a plus de temps pour lire et pour réfléchir quand on est en vacances…

Dernier rendez-vous avec l’actualité des montres avant les vacances horlogères : une compilation de ce qu’il ne fallait pas manquer ces jours-ci dans notre « zéro bullshit zone » : comme toutes les semaines, tout ce qui compte pour la communauté horlogère, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres. Rendez-vous à la rentrée pour une séance de rattrapage de l'été...

Quarante-deuxième épisode d’une nouvelle séquence « Horlomania », qui fait suite à notre précédent tour des montres en 80 tests. Classées en cinq disciplines de base, nos cinq questions du jour relèvent de la culture générale sur les objets du temps, avec un coup de projecteur sur le millésime horloger 1992. Ce questionnaire à réponses multiples (quiz) vise à consolider les connaissances horlogères des primo-accédants à cette culture horlogère – mais aussi à retremper les connaissances de tous les amateurs.

C’était une de nos pages « Rock’n’horl » de l’été 2012 : l’amorce d’une tendance rétrofuturiste autour de l’apparition de nouvelles montres à affichage latéral (« en visière »), plus connues des amateurs sous le nom de « montres casquettes ». Nostalgies des années 1970 ou pulsions non conformistes ?

Depuis plus d’un siècle, les maisons de montres rivalisent de créativité et d’ingéniosité pour promouvoir leurs objets du temps. Il y aurait une thèse à écrire sur l’iconologie horlogère, qui témoigne de hautes pressions graphiques comme de basses pressions conceptuelles (ce qui serait plutôt le cas aujourd’hui) ! Histoire de continuer la discussion, voici une 134e séquence de belles créations d'inspiration horlogère – centrée cette fois sur la marque indépendante Ice-Watch (deuxième séquence)...