Une nouvelle séquence de notre série « Rock’N’Horl » consacrée à la périphérie créative des objets du temps : craqueriez-vous pour une montre « hot dog » ? Les aiguilles donnent au moins envie d’en croquer. Elles vont même lutter contre le cancer…

La suite de notre série sur les six montres les plus épatantes de ces six derniers mois, en continuant par l’hommage rendu aux premiers aérostiers par Vacheron Constantin, manufacture née à l’époque des premiers pionniers français de l’envol dans les airs. Quand les métiers d’art se mettent au service de l’histoire et de la science, le rêve s’installe au poignet…

Quand une « information » revient en boucle dans les confidences de plusieurs sources généralement bien informés, on dresse forcément l’oreille. Avec d’autant plus d’attention qu’une telle simultanéité et une telle unanimité est le plus souvent un indice de désinformation. Ce qui était le cas avec cette rumeur sur l’abandon par TAG Heuer de ses collections de montres connectées. « Business Montres » a démonté pour vous cette « manip »…

Les six montres les plus épatantes de ces six derniers mois, en commençant par la plus contemporaine des montres de toujours : le classicisme essentiel de cette Defy Classic est un défi existentiel qui signe la victoire de l’être sur le paraître.

Toujours plus de nouvelles marques horlogères françaises : en moyenne annuelle, on compte désormais un à deux lancements de nouvelle marques « françaises » par mois, dans tous les styles et à tous les prix. Pour explorer les coulisses de ce baby boom horloger un peu inattendu, parlons aujourd’hui de Trilobe, une néo-marque française qui a opté pour la haute mécanique suisse, histoire de faciliter l’expression de ses ambitions horlogères…

Mais aussi ceux qui prendront place à bord de l’aéroplane le plus luxueux du monde (celui qu’emprunteront les vrais riches), les raisons de douter de la solidité de la croissance chinoise et ceux qui prennent très au sérieux les « chroniques de M. l’actionnaire » – peut-être qu’ils ont raison…

Dernière ligne droite avant les vacances horlogères : il faut maintenant vider le panier des nouveautés du printemps. Voici quelques nouveautés supplémentaires pour ce début d’été 2018. Avec des montres commentées du point de vue des marques, racontées avec la délicieuse et jamais trop fleurie langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se prépare sur les marchés. Sept propositions cette semaine, une par jour (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Eberhard & Co, Emporio Armani, Girard-Perregaux, Junghans, Louis Moinet, Luminox et Zenith…

Quand une « information » revient en boucle dans les confidences de plusieurs sources généralement bien informés, on dresse forcément l’oreille. Avec d’autant plus d’attention qu’une telle simultanéité et une telle unanimité est le plus souvent un indice de désinformation. Ce qui était le cas avec cette rumeur sur l’abandon par TAG Heuer de ses collections de montres connectées. « Business Montres » a démonté pour vous cette « manip »…

En mode estival, des informations publiées cette semaine, ici et nulle part ailleurs, en mode « zéro bullshit zone » : c’était à lire dans les pages d’actualité de votre Quotidien des Montres, avec le meilleur de l’information horlogère, le plus exclusif, le plus indépendant et le plus utile pour mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres. Une rétrospective rapide, en accès libre, pour relire tout ce qui a été publié en vrac, en bref et en toute originalité !

Dernière ligne droite pour notre tour des montres en 80 tests et fin annoncée du parcours avec la soixante-dix-neuvième (septante-neuvième) séquence de notre jeu inédit pour tester vos connaissances dans les arcanes de l’horlogerie : pour changer, six questions centrées uniquement sur les montres à multiples fuseaux horaires. Êtes-vous aussi fort que vous le prétendez dans ce domaine ? Prouvez votre culture en belles montres et votre expertise en « heures du monde » et en « heures universelles » !

Une nouvelle séquence « Rock’N’Horl » pour explorer la périphérie créative des objets du temps : cet été, pour faire de la plongée du côté de Porto Cervo, en Sardaigne, entre deux yachts de milliardaires, vous n’avez pas le choix ! Impossible de prendre l’eau sans cette Diving signée GaGà Milano au poignet.

Depuis plus d’un siècle, les maisons de montres rivalisent de créativité et d’ingéniosité pour promouvoir leurs objets du temps. Il y aurait une thèse à écrire sur l’iconologie horlogère, qui témoigne de hautes pressions graphiques comme de basses pressions conceptuelles (ce qui serait plutôt le cas aujourd’hui) ! Histoire d’ouvrir la discussion, voici une 92e séquence de belles créations horlogères, juste pour le plaisir des yeux…

Pour se décontracter entre deux grandes manifestations promotionnelles de l’horlogerie, amusons-nous avec quelques dessins détournés pour illustrer l’actualité horlogère. « Business Montres » vous propose chaque semaine une autre vision de la vie quotidienne des montres, en compagnie de ceux qui les font. C’est un autre regard sur la vie ordinaire des marques et de ceux qui les défont. Certains de ces dessins détournés sont d’ailleurs récupérés dans les pages quotidiennes de « Business Montres ». À l’occasion, proposez-nous quelques images qui vous paraîtraient illustrer cette actualité…

Mais aussi une ronde d’anneaux décentrés qui recréent les heures, le vrai chic néo-rétro qui rejoue les années 1970 et le retour des codes classiques chez un disrupteur siliconé qui redécouvre l’acier… Images ci-dessous : quand il vient aux marques des envies d'acier et deux bulles d’élégance féminine dans une mini-taille (17 mm) et sous une verre « bulle » qui joue les loupes…

À force de vouloir en faire beaucoup, le patron du Swatch Group finit par en faire trop : en excellent professionnel de l’enfumage, il a multiplié les affirmations étincelantes sur la santé de son économie horlogère et tout le monde a gobé l’appât. Sauf qu’il y a dans ses comptes quelques contradictions qui laissent planer le doute sur ces excellents résultats.