Les années 2020 s’annoncent clairement capitales dans l’histoire des montres traditionnelles. Ce sera tragique pour certaines maisons, mais sans doute positif pour d’autres si les planètes s’alignent correctement. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

On va vous parler de la différence entre les ampoules LED et les ampoules à incandescence, du classement provisoire de ceux qui ont le mieux tiré leur épingle du jeu pour ces premiers jours de « salon virtuel », du plus bel égo trip de cette semaine et de quelques autres choses vues dans les coulisses, virtuelles elles aussi…

2021, année de bonnes (et de moins bonnes) surprises dans les nouveautés lancées par les marques – lesquelles résistent tant bien que mal aux défis de la crise sanitaire. Voici une présentation des premières montres de ce deuxième trimestre 2021, racontées du point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, d’ici (Suisse) ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Baume & Mercier, Chanel, Franck Muller, Gucci, Piaget, Purnell et Speake-Marin…

Vous entrez ici dans une Zero Bullshit Zone – territoire où il est interdit de se prendre au sérieux, de se prendre la tête et de tout prendre au pied de la lettre. Le détournement situationniste de ces images permet de commenter très sérieusement l’actualité des montres, mais sans verser dans l’habituelle « langue de boîte » chère aux marques horlogères…

2021, année de bonnes (et de moins bonnes) surprises dans les nouveautés lancées par les marques – lesquelles résistent tant bien que mal aux défis de la crise sanitaire. Voici une présentation des premières montres de ce deuxième trimestre 2021, racontées du point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, d’ici (Suisse) ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : H. Moser & Cie., Panerai, Patek Philippe, Rolex, Tissot, Tudor et Ulysse Nardin…

Mais aussi un fétiche horloger en habit vert, une taupe en argent, un coussin en titane, un record circulaire, un salon numérique et une pluie de diamants… Ci-dessous : toujours dans le temps avec cette exploratrice des confins terrestres (Rolex)…

Saison 1, épisode 2 pour la série Watches & Wonders Geneva 2021 (WWG 21) : on va vous parler des pervers du rétroviseur, de l’infobésité horlogère, de l’enthousiasme un peu suspect des blogueurs, des maniaques de la couleur et de la propagande dans les cinémas chinois, avant de lancer un SOS Disparition inquiétante…

Vous entrez ici dans une Zero Bullshit Zone – territoire où il est interdit de se prendre au sérieux, de se prendre la tête et de tout prendre au pied de la lettre. Le détournement situationniste de ces images permet de commenter très sérieusement l’actualité des montres, mais sans verser dans l’habituelle « langue de boîte » chère aux marques horlogères…

On va vous parler du vrai vainqueur de la journée, de tous ceux qui veulent à tout prix « repousser les limites », de la gifle du jour, de ceux qui semblent ne pas trop y croire, des dissidents du jour, de quelques indiscrétions et des sous-titrages discriminants…

2021, année de bonnes (et de moins bonnes) surprises dans les nouveautés lancées par les marques – lesquelles résistent tant bien que mal aux défis de la crise sanitaire. Voici une présentation des premières montres de ce deuxième trimestre 2021, racontées du point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, d’ici (Suisse) ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Bell & Ross, Breitling, Briston, Chanel, De Bethune, Hublot et IWC…

L’imagination au pouvoir ! D’emblée, Ulysse Nardin frappe très fort pour ce début d’année : quand on a 175 ans, on a suffisamment de souffle pour se permettre de réinventer un chronomètre de marine « flottant », capable de culbuter les traditions. Quel culot génial…

On va aussi vous parler du contre-exemple au désastreux effet pervers de l’élitisme artistique chez Swatch, de la gaffe du Paneristi taquin qui n’a pas fait exprès de mettre en ligne une centaine de captures d’écran et des obsessions chromatiques chez les médias perroquets…

Vous entrez ici dans une Zero Bullshit Zone – territoire où il est interdit de se prendre au sérieux, de se prendre la tête et de tout prendre au pied de la lettre. Le détournement situationniste de ces images permet de commenter très sérieusement l’actualité des montres, mais sans verser dans l’habituelle « langue de boîte » chère aux marques horlogères…

Plus que trois jours et quelques heures avant la clôture de la campagne Furlan Marri, qui est pour l’instant la plus réussie des souscriptions horlogères de ce début d’année : pas loin d’un million d’euros et 4 000 montres précommandées pour cette nouvelle équipe totalement inconnue. Il n’est pas trop tard pour en profiter…

On va aussi vous parler de l’art contemporain qui n’est pas un marqueur populaire, des chaises musicales à la tête de l’empire Seiko, de l’étrange « affaire Hengdeli » et de la non moins troublante « affaire Flexous » chez Frederique Constant…