Attention, signal fort : sous le marteau, à Monaco, 110 000 francs suisses pour la monoplace (F3) du grand champion Ronnie Peterson (1944-1978, dix victoires entre 1970 et 1978, année de son accident mortel au Grand Prix d’Italie). Mais 117 000 francs suisses pour un chronographe en or tout neuf dédié au champion – montre qui devient la TAG Heuer neuve la plus chère de ces dernières années…

« Magic Aurel », qui ne laisse jamais rien au hasard, avait posé un vrai ultimatum à ses concurrents : 32 Daytona qui étaient à la fois honorablement connues et dotées de tout ce qui peut séduire un collectionneur. Une fois de plus, on a explosé les compteurs et replacé la barre encore plus haut…

Mais aussi le rendez-vous astronomique qui écrit le temps, la grande classe sans frisson financier et le grand vert du chic anglais… Image ci-dessous : la bouffée d’Oxygen du style français qui se contente d’être élégant tout en restant accessible…

Quand on fait le plein à Baselworld, il faut du temps pour épuiser le réservoir : voici quelques nouveautés supplémentaires de ce printemps 2018. Avec des montres commentées du point de vue des marques, racontées avec la délicieuse et jamais trop fleurie langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se prépare sur les marchés. Sept propositions cette semaine, une par jour (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Anonimo, Bvlgari, Carl F. Bucherer, Casio, Fendi, Hamilton et Victorinox…

Depuis plus d’un siècle, les maisons de montres rivalisent de créativité et d’ingéniosité pour promouvoir leurs objets du temps. Il y aurait une thèse à écrire sur l’iconologie horlogère, qui témoigne de hautes pressions graphiques comme de basses pressions conceptuelles (ce qui serait plutôt le cas aujourd’hui) ! Histoire d’ouvrir la discussion, voici une quatre-vingt-deuxième séquence de belles créations horlogères, juste pour le plaisir des yeux – en mettant cette fois un coup de projecteur sur les publicités de la manufacture Hamilton…

Histoire de détendre un peu l’atmosphère et de se décontracter entre deux rendez-vous à Bâle, amusons-nous avec quelques dessins détournés pour illustrer l’actualité horlogère. « Business Montres » vous propose chaque semaine une autre vision de la vie quotidienne des montres, en compagnie de ceux qui les font. Avec un autre regard sur la vie ordinaire des marques et de ceux qui les défont. À l’occasion, proposez-nous quelques images qui vous paraîtraient illustrer cette actualité…

Mais aussi une carte blanche pour un été immaculé, l’audace d’un futur classique du XXIe siècle, les 550 vagues à l’heure des marées et l’épopée militaire qui s’invite sur un cadran… Image ci-dessous : on va pouvoir reconnaître les vrais chevaliers de la vague à leur poignet de surfeur…

Maintenant qu’on a un nouveau cadre réglementaire et un nouveau jury, en attendant le palmarès final, il reste quand même beaucoup de détails à régler pour que la cérémonie du 9 novembre soit une réussite marquante…

Après Alpina ou ZRC et quelques autres marques Swiss Made, Bomberg se lance dans le sociofinancement, moins pour y lancer une montre (le modèle existe déjà) que pour y tester les capacités relationnelles et les limites communautaires de la marque. Un exemple de disruption à suivre ?

Dix-huit ans : l’âge de la majorité ! Le GPHG sort de son enfance (qui s’est parfois avérée malheureuse) et s’apprête à entrer dans son âge adulte, avec des nouveaux prix et l’amorce d’une mutation générationnelle.

Dix coups de projecteur sur les tendances climatologiques de l'horlogerie pour le mois d’avril 2018 : notre Baromontres exclusif évalue, comme tous les mois, les hautes pressions et les dépressions de la barométrie pour ce qui concerne les montres. En toute liberté et sans la moindre révérence, mais avec le souci d'y voir plus clair avec l’arrivée du printemps…

Quand on fait le plein à Baselworld, il faut du temps pour épuiser le réservoir : voici quelques nouveautés supplémentaires de ce printemps 2018. Avec des montres commentées du point de vue des marques, racontées avec la délicieuse et jamais trop fleurie langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se prépare sur les marchés. Sept propositions cette semaine, une par jour (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Emporio Armani, Citizen, Diesel, Laurent Ferrier, Omega, Richard Mille et Ulysse Nardin…

Un jury plus étoffé, avec encore plus de « vrais » horlogers, un peu plus de femmes, à peine moins de journalistes, une grande star de la scène horlogère, deux célébrités invitées et une représentation intelligente des détaillants : le nouveau jury du GPHG s’annonce plus équilibré, mais avec quelques lacunes criantes. Sa composition pourra-t-elle influencer la sélection finale ?

M. l’actionnaire de référence du Kernault Richewatch Group (leader mondial des maîtres du temps) a une passion : tenir quotidiennement son journal intime pour y raconter son expérience du monde horloger. Il nous assure : « C’est sûr, je suis un peu largué. J’ai des doutes sur ce qu’on me raconte. Je me dis pourtant que, si je n’ai pas encore tout compris, c’est sans doute qu’on ne m’a pas bien tout expliqué »…

C’était publié cette semaine, dans les pages d’actualité suivie de votre « Quotidien des Montres » – ici et nulle part ailleurs, en mode « zéro bullshit zone ». Le meilleur de l’information horlogère, le plus exclusif, le plus percutant et le plus original, bref le plus indépendant et le plus utile pour tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres. Une rétrospective rapide, en accès libre, pour relire tout ce qui a été publié en vrac, en bref et en toute originalité, comme en toute liberté de parole et de pensée !