Dernière saison de notre tour des montres en 80 tests (nous dépassons largement les trois-quarts du parcours), avec la soixante-huitième séquence de notre jeu inédit pour tester vos connaissances en haute horlogerie. À vous de trouver les six bonnes réponses qui s’imposent pour prouver votre niveau de culture en belles montres…

À quoi tiennent les records ? Au taux de change à la bonne date ! Le record de souscription pour une montre suisse proposée sur Kickstarter se joue à quelques milliers de francs près, selon qu’on parle des dollars de mars 2017 ou des francs suisses d’avril 2018. En toute objectivité, le record est maintenant détenu par Alpina…

Histoire de détendre un peu l’atmosphère et de se décontracter entre deux rendez-vous à Bâle, amusons-nous avec quelques dessins détournés pour illustrer l’actualité horlogère. « Business Montres » vous propose chaque semaine une autre vision de la vie quotidienne des montres, en compagnie de ceux qui les font. Avec un autre regard sur la vie ordinaire des marques et de ceux qui les défont. À l’occasion, proposez-nous quelques images qui vous paraîtraient illustrer cette actualité…

Depuis plus d’un siècle, les maisons de montres rivalisent de créativité et d’ingéniosité pour promouvoir leurs objets du temps. Il y aurait une thèse à écrire sur l’iconologie horlogère, qui témoigne de hautes pressions graphiques comme de basses pressions conceptuelles (ce qui serait plutôt le cas aujourd’hui) ! Histoire d’ouvrir la discussion, voici une quatre-vingtième séquence de belles créations horlogères, juste pour le plaisir des yeux…

Ce n’est pas encore gagné, mais ça va dans le bon sens et tout aura probablement déjà beaucoup changé d’ici à 2020 : c’est la mission que s’est donné le nouveau président du GPHG et il a bien l’intention de la remplir…

Mais aussi la montre jaune qui défie les préjugés bourgeois, les minutes traînantes qui attendent que les heures sautent, l’homme qui rêvait trop des tanks et le grand retour chez nos amies des montres de nos mamies… Image ci-dessous : des petits boîtiers féminins dans le goûts des années cinquante, avec des bracelets dans le style des années trente…

Les deux prix annuels décernés par la Fondation de la haute horlogerie ont été attribués hier, dans une épatante et hautement symbolique ambiance de pensée magique, avec un « mentaliste » que toutes les marques horlogères devraient immédiatement mettre sous contrat pour piloter leur stratégie. En attendant, un sablier attend toujours son propriétaire aux objets trouvés de la Cité du temps de Genève…

En revanche, on pourrait se demander quel pourrait être l’intérêt de certains groupes horlogers à nous enfumer avec des faux vrais chiffres qui camoufleraient avec habileté leurs vraies faiblesses. On pourra aussi se demander s’il n’y a pas de leçons à tirer de la passion des Chinois pour le… mousseux (et non plus pour les grands millésimes) !

Au secours, « TF » revient ! On n’est jamais déçu avec le mirobolant Tom Ford, qui n’a décidément jamais eu la main heureuse en se mêlant d’horlogerie. Il ne lésine pourtant pas dans l’art du copié-collé, de la citation et de la compilation récapitulative. Sa première collection sous sa propre griffe est un coûteux et questionnable pastiche.

Née à l’orée de la crise de 2008, la joint-venture entre les montres Ralph Lauren et le groupe Richemont aura duré dix ans. Un divorce à l’amiable et sans drame met fin à cette vie commune, mais l’aventure aura coûté une bonne grosse centaine de millions. C’est parti pour un second chapitre, avec une approche beaucoup plus réaliste du marché – et surtout beaucoup moins dépendante de la machine et de la culture Richemont…

N’est-il pas un peu ridicule que Genève, « capitale (autoproclamée) de l’horlogerie mondiale », n’ait pas un seul professionnel de l’horlogerie dans les cent députés auxquels les électeurs viennent de confier les clés du canton ? Comment les dossiers les plus importants pour l’industrie des montres et les plus urgents à traiter seront-ils pris en compte par une assemblée qui n’en comprendra pas les enjeux ?

C’était publié cette semaine, dans les pages d’actualité suivie de votre « Quotidien des Montres » – ici et nulle part ailleurs, en mode « zéro bullshit zone ». Le meilleur de l’information horlogère, le plus exclusif, le plus percutant et le plus original, bref le plus indépendant et le plus utile pour tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres. Une rétrospective rapide, en accès libre, pour relire tout ce qui a été publié en vrac, en bref et en toute originalité, comme en toute liberté de parole et de pensée !

Dernière saison de notre tour des montres en 80 tests (nous dépassons largement les trois-quarts du parcours), avec la soixante-septième séquence de notre jeu inédit pour tester vos connaissances en haute horlogerie. À vous de trouver les six bonnes réponses qui s’imposent pour prouver votre niveau de culture en belles montres…

Depuis plus d’un siècle, les maisons de montres rivalisent de créativité et d’ingéniosité pour promouvoir leurs objets du temps. Il y aurait une thèse à écrire sur l’iconologie horlogère, qui témoigne de hautes pressions graphiques comme de basses pressions conceptuelles (ce qui serait plutôt le cas aujourd’hui) ! Histoire d’ouvrir la discussion, voici une soixante-dix-neuvième séquence de belles créations horlogères, juste pour le plaisir des yeux…

Histoire de détendre un peu l’atmosphère et de se décontracter entre deux rendez-vous à Bâle, amusons-nous avec quelques dessins détournés pour illustrer l’actualité horlogère. « Business Montres » vous propose chaque semaine une autre vision de la vie quotidienne des montres, en compagnie de ceux qui les font. Avec un autre regard sur la vie ordinaire des marques et de ceux qui les défont. À l’occasion, proposez-nous quelques images qui vous paraîtraient illustrer cette actualité…