Ce n’est pas une séquence « Rock’N’Horl », mais le laboratoire créatif MB&F x L’Épée viennent d’inventer le trike à chenilles, en donnant à cette horloge squelettée qui se prend pour tricycle une mécanique de haute manufacture à huit jours de réserve de marche...

Qu’on soit ou non d’accord avec leur contenu, cinq articles pour ne pas mourir idiot, pour le plaisir des neurones, pour mieux comprendre le monde qui nous entoure et pour nous aider à penser « out of the box » sur les chemins de la liberté intellectuelle...

SOS nouvelles idées ! C’est Patek Philippe que les hip-hopeurs préfèrent, mais la marque n’ose pas leur (nous) proposer l’équivalent des SUV de grand luxe lancés par les grandes marques automobiles : si elle ne redevient pas un objet-plaisir, la montre traditionnelle va vite mourir d’être plus qu’un accessoire formel d'avant la société liquide...

Alors que l’industrie suisse reste, bon an mal an, un des leaders mondiaux de l’innovation, le dernier rapport de l’Académie suisse des sciences techniques (SATW) pointe du doigt une tendance au déclin dans ce domaine, notamment pour l’industrie des montres. La preuve en deux graphiques !

En pleine trentaine, l’actuel CEO de la manufacture de joaillerie ne prend pas sa retraite, mais du recul. Il est relayé par une remplaçante venue de la haute joaillerie Richemont.

Ce n’est pas qu’il y ait trop de nouvelles marques, c’est tout simplement qu’elles ne sont pas très nouvelles. Le « lissage » des nouvelles offres n’est pas un enrichissement, mais un bégaiement stylistique sur quelques poncifs à la mode (le minimalisme, le militaire, la plongée, l’interchangeable, etc.). Vivement quelques nouveaux grands vents de disruption en profondeur !

Ce n’est pas encore la rentrée, mais les vacances horlogères se terminent : le panier des nouveautés nées au cours des huit premiers mois de l’année est presque vide. Voici cependant quelques idées supplémentaires pour la fin de cet été 2018. Avec des montres commentées du point de vue des marques, racontées avec la délicieuse et jamais trop fleurie langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se prépare sur les marchés. Sept propositions cette semaine, une par jour (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Andersen Genève + Konstantin Chaykin, De Grisogono, Dior, Greubel Forsey, Longines, Rado et Speake-Marin…

À travers le périscope de « Business Montres », en mode post-estival, les montres, les marques et la communauté horlogère au cours la semaine écoulée : des informations publiées cette semaine, dans notre « zéro bullshit zone », ici et nulle part ailleurs, avec le meilleur de l’information horlogère, le plus exclusif, le plus indépendant et le plus utile pour mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres. Une rétrospective rapide, en accès libre, pour relire tout ce qui a été publié en vrac, en bref et en toute originalité !

Il y avait Ali Baba et les 40 voleurs. On parlera maintenant d’Olivier Reza et les 40 millions. Voici treize mois, le fils du grand joaillier français Alexandre Reza avait pris les commandes d’Eleven James, une plateforme américaine de « location » de montres de luxe. On vient d’en tirer la prise : quarante millions de dollars ont été flambés. On se demande comment...

Les nouvelles marques horlogères tricolores croissent et se multiplient, avec, tous les mois, deux ou trois lancements de nouvelle marques « françaises ». Pour explorer les coulisses de ce baby-boom horloger un peu inattendu, parlons aujourd’hui de Cresus, le numéro un français de la montre de seconde main, qui n’en accomplit pas moins (avec l’autre main ?) un impeccable salut militaire...

À la périphérie créative des objets du temps, il y a forcément les pierres précieuses. Pour ce qui est des diamants, il y a celles qui en rêvent et celles qui passent à l’acte. La braqueuse de la semaine n’a pas pu résister à un diamant presque aussi gros que son Ritz...

Pour se donner un peu de bon temps avant le grand rush de la rentrée, amusons-nous avec quelques dessins détournés pour illustrer l’actualité horlogère. « Business Montres » vous propose chaque semaine une autre vision de la vie quotidienne des montres, en compagnie de ceux qui les font. C’est un autre regard sur la vie ordinaire des marques et de ceux qui les défont. Certains de ces dessins détournés sont d’ailleurs récupérés dans les pages quotidiennes de « Business Montres ». À l’occasion, proposez-nous quelques images qui vous paraîtraient illustrer cette actualité…

Mais aussi une nouvelle preuve du génie tricolore français, des montres de pilote à l’âge du bronze et un tonneau élégamment galbé... Images ci-dessous : signée Bucherer + Harley-Davidson, la moto la plus chère et la plus horlogère du monde vous sera facturée 1,888 millions d’euros...

Un an, c’est long et c’est loin : mesurez-vous le bonheur de vos vacances d’été 2018 à celui de vos vacances d’été 2017 ? C’est pourtant ce que fait une industrie horlogère décidément plus accro à son rétroviseur qu’à son radar d’approche. Sinon, il est question de vers à soie, de platine, de ramoneur, de boutons de manchette et d’humour horloger : rien que du bonheur !

De plus en plus d’amateurs d’horlogerie choisissent d’effectuer leur achat d’une montre en ligne. Comment expliquer cette tendance vers la digitalisation de l’horlogerie ? (texte initialement publié sur le site de Code41 et repris ici en tribune libre)