WATCH COMEDY CLUB #188
« Ah ! Monsieur, on ne se méfiera jamais assez de la poésie »
Des images détournées et des photos piratées dans cette séquence de pictofiction, qui est réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au regretté Marcel Aymé (1902-1967) pour la citation qui compose le titre de notre chronique. C’est fou le relief que ça prend quand on la transpose dans l’actualité horlogère. Non ? Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet (« Le jardin imaginaire »)…