ATLANTIC-TAC #69 (accès libre) : Le swing de l’araignée brésilienne, l’apesanteur en transparence et le petit coussin qui regarde passer la Lune
Le 20 / 12 / 2013 à 09:45 Par Le sniper de Business Montres - 1455 mots
Et aussi le perroquet nourri aux pétales de rose, la céramique dopée aux micro-arcs électriques et le plastique qui rend les robots paresseux… C'est toute l'actualité des montres telle comme vous avez toujours rêvé qu'on vous la raconte sans jamais oser le demander à vos chroniqueurs horlogers...
◉◉◉◉ ATLANTIC-TAC, c'est la chronique horlogère du vendredi sur Atlantico, le portail d'informations horlogères en liberté (un pure player de l'information, avec 2,7 millions de visiteurs mensuels). …
Et aussi le perroquet nourri aux pétales de rose, la céramique dopée aux micro-arcs électriques et le plastique qui rend les robots paresseux… C'est toute l'actualité des montres telle comme vous avez toujours rêvé qu'on vous la raconte sans jamais oser le demander à vos chroniqueurs horlogers...
◉◉◉◉ ATLANTIC-TAC, c'est la chronique horlogère du vendredi sur Atlantico, le portail d'informations horlogères en liberté (un pure player de l'information, avec 2,7 millions de visiteurs mensuels). Une chronique en toute curiosité éditoriale, en collaboration avec Business Montres, pour parler des marques, des montres et de ceux qui les font. Cette semaine, au sommaire de ce trente-cinquième épisode d'Atlantic-tac (résumé ci-dessous) : ►►► CARTIER : Une marqueterie florale psittacique pour la Ballon bleu… Le réalisme animalier de ce perroquet exécuté en (vrais) pétales de fleurs – colorés, découpés et apposés sur une plaque de bois n– n’est finalement qu’un prétexte pour mettre en valeur une composition aussi abstraite que sensuelle et d’autant plus précieuse qu’on en devine la frémissante fragilité : cette Ballon bleu en marqueterie florale permet à Cartier de démontrer sa virtuosité dans les métiers d’art qui ont été intégrés dans les ateliers de... ►►► HUBLOT : Les uppercuts de l’araignée brésilienne… Il faut de tout pour faire une montre. Sachant que le Brésil est un marché stratégique pour 2014 (pour cause de Mondial de football, d’ailleurs officiellement chronométré par Hublot) et sachant que la marque Hublot adore les séries limitées dédiées à des champions sportifs, il devenait inévitable que la manufacture suisse pense à créer une série de onze King Power Spider Bang au boxeur brésilien Anderson Silva, dit « The Spider », onze fois vainqueur en championnat UFC. Une araignée écarlate... ►►► CORUM : La débanalisation d’un tourbillon qui sait se faire oublier… Le tourbillon, c’est ce dispositif mécanique qui permet théoriquement à la montre de compenser les effets de la gravitation terrestre : le problème a perdu de son importance avec les montres-bracelets chahutées par les mouvements de nos poignets, mais la giration du tourbillon sur le cadran de la montre (une « cage » qui tourne sur elle-même pendant soixante secondes) reste un objet de fascination visuelle, qui prouve par ailleurs la maîtrise technique de la marque – surtout quand cette mécanique subtile est associée à un chronographe. Cette Corum Admiral’s Cup Seafender 47 (pour les 47 mm du boîtier) se veut cependant portable au quotidien, avec un étonnant matériau qui souligne d’un gris anthracite très... ►►► RJ-ROMAIN JEROME : Une montre en apesanteur pour les 40 ans de Skylab… La première station spatiale de la NASA, baptisée Skylab voici quatre décennies, méritait bien un hommage horloger, qui lui est offert par la jeune marque indépendante RJ-Romain Jerome, qu’on avait quitté quelque part dans l’espace, au-delà de la Lune. La montre semble elle aussi en apesanteur sur un orbite subspatiale, avec un mouvement épuré (« squeletté ») qui dévoile ses composants essentiels sur cinq niveaux ouverts à la lumière. Un bel exercice de transparence pour un boîtier de 44 mm qui semble lui aussi... ►►► SWATCH : L’apparition du Sistem51 en semaine 51 de l’année… Les retards dans la production industrielle de ce mouvement mécanique révolutionnaire (51 composants montés sur une chaîne d’usinage entièrement automatisée) ayant pris du retard, Swatch a tenu parole en le présentant avant la fin de cette année (en semaine 51, tout un symbole !), mais en réservant la première série aux seules boutiques Swatch de la Suisse et à la boutique éphémère montée pour l’occasion à Zurich. Inutile de chercher : les stocks des modèles les plus séduisants (boîtier bleu, boîtier rouge) étaient épuisés avant même la fin de la première journée de commercialisation. Comme quoi l’effet Swatch joue toujours, même si la magie opère un peu moins qu’il y a trente ans. On admirera au passage le système de rotor semi-transparent du mouvement automatique... ►►► MARVIN : Les étoiles dans les yeux avec la Lune au poignet… Attention, cette montre est une des plus jolies propositions féminines de cette fin d’année : rien d’extraordinaire, mais un concentré d’élégance. La forme « coussin » devient encore plus distinguée en 30 mm, le bracelet en acier se chargeant d’apporter une touche sportive. Pour le côté urbain, chic et précieux, on peut compter sur quelques cadrans de nacre blanche, sur le guillochage du cadran mis en valeur par la touche bleue des chiffres et sur le guichet où les phases de la lune défilent sur un ciel bleu assorti... CETTE SEMAINE,POUR UNE NOUVELLE SÉQUENCEATLANTIC-TAC EN TEXTE INTÉGRAL,IL FAUT CLIQUER SUR L'OEIL D'ÉMERAUDE DU PERROQUET (ci-dessous)... D'AUTRES SÉQUENCES ATLANTIC-TAC...