PICTOCHRONIQUES #108
« L'esclavage prend de graves proportions lorsqu'on lui accorde de ressembler à la liberté »
108e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au grand écrivain allemand Ernst Jünger (1895-1998) pour la citation de ses « Suppléments épigrammatiques » (« La Délirante », n° 7, automne 1979) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…