PICTOCHRONIQUES #36
« On a peine à haïr ce qu'on a bien aimé / Et le feu mal éteint est bientôt rallumé »
Trente-sixième épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci au grand Pierre Corneille (1606-1684) pour la citation de sa tragédie « Sartorius » (1662, acte I, scène 3) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie sa pensée à l’actualité des montres. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…