WATCH COMEDY CLUB #250
« Les miroirs sont des glaces qui ne fondent pas : ce qui fond, c'est qui s'y mire »
En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au malicieux Paul Morand (1888-1976) pour la citation de « Ouvert la nuit » (1922) qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait le même Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…