PICTOCHRONIQUES #137
« L'imprécision du langage est désormais utile aux journalistes, et cela tombe bien, puisqu'ils seraient tous incapables d'écrire mieux »
137e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au subtil essayiste situationniste français Guy Debord (1931-1994) pour la citation de sa « Mauvaise réputation » (1993) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…