HORLOTAINMENT #58
« Parce que la forme est contraignante, l’idée jaillit plus intense »
Voici une nouvelle séquence de nos « horlo-divertissements » organisés en une dizaine de pictofictions, sérieuses sur le fond sans se prendre au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand Charles Baudelaire (1821-1867) pour la citation de sa correspondance qui compose le titre de cette pictochronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…