WATCH COMEDY CLUB #184
« Quand je vois ce que je vois et que j'entends ce que j'entends, je suis bien content de penser ce que je pense »
Des images détournées et des photos piratées dans cette séquence de pictofiction, qui est réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à l’inoubliable Fernand Raynaud (1926-1973) pour la citation qui compose le titre de cette chronique. C’est fou le relief que ça prend quand on l’applique à l’actualité horlogère. Non ? Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet (« Le jardin imaginaire »)…