REPÉRAGES #52-2024 (accès libre)
Sept montres qui frémissent de plaisir alors que s’annonce le printemps horloger 2024

BYRNE Casino Jet Black 

En ce début d’année 2024, Byrne Watch dévoile ses deux dernières créations : des montres qui fusionnent le frisson du jeu avec l'excellence artisanale. Ces garde-temps, inspirés de l'univers scintillant des casinos, sont des merveilles de précision et d'innovation. Avec des cadrans changeants évoquant les lumières et l'ambiance des salles de jeu, chaque montre est une célébration d’une horlogerie contemporaine incluant une dimension ludique, chère aux fondateurs de la marque.Byrne Watch offre une expérience où chaque instant est un jeu de style et d'éclat. Le Gyro Dial, une vision, un mouvement, une animation singulière, ludique, si simple en apparence, et pourtant... compliquée à développer et jamais encore vue en horlogerie. L’équipe de Byrne Watch - avec à sa tête John Byrne, le créateur passionné, et Claire Byrne, CEO de l’entreprise à ses côtés - nourrit une vision long terme, avec en fil conducteur, leur concept unique : une montre qui change tous les jours de cadran. Tous les jours, à minuit ou à midi, fluides et rapides, les quatre index du cadran – sous la forme de petits cubes pivotants à 3H, 6H, 9H et 12H – se transforment et offrent une nouvelle apparence. La Byrne Gyro Dial offre ainsi à son porteur le sentiment d'une montre chaque jour différente, ou même de changer son cadran en un instant. D’où la devise de la marque : « One watch, four faces ».La collection Casino : un hommage au jeu dans chaque détail ! Directement inspirée par l’univers du casino, les deux déclinaisons Midnight Blue et Jet Black que présente aujourd’hui Byrne Watch sont disponibles avec un cadran noir ou bleu irisé. Elles incarnent l'esprit du jeu, l'élégance avec la manière, mais aussi l’excitation qui caractérise l’atmosphère autour de tables de poker ou de roulette. La version avec cadran bleu réplique la même série, mais avec des contrastes plus subtils, toujours avec les incontournables chiffres casino « 7 » jaunes mais sur fond bleu foncé, avec cette fois les cartes à jouer de couleur grise. La troisième face des cubes présente les chiffres arabes ; la quatrième les chiffres ghost. La collection Casino révèle une élégance classique tout en étant joueuse et légère. Elle est une horlogerie haut de gamme et techniquement novatrice, sans se prendre trop au sérieux, illustrant précisément la capacité de Byrne à créer des montres aux multiples facettes alternant une créativité disruptive à un chic discret.Les nouveaux bracelets Rubber grainés, ajoutant une touche de confort et de modernité, sont surpiqués Rouge pour le modèle noir et surpiqués Jaune pour le modèle bleu.

LOUIS ÉRARD Excellence Petite seconde Guilloché (cadran noir)

Louis Erard dévoile deux nouvelles exécutions autour du guillochage complexe en version bicolores. Essence de luxe, mais accessible. Et sans concession : tous les codes de la haute horlogerie s’y retrouvent. On ne présente plus l’Excellence Petite Seconde, pièce d’entrée de la collection Excellence redessinée en 2020. Elle n’a connu qu’une seule évolution depuis, dans l’air du temps, avec l’ajout d’un second tour de boite, le 39mm s’ajoutant au 42mm d’origine. Depuis quatre ans, le modèle vit sa vie, s’imposant comme le classique contemporain par excellence, élégant, fiable, aussi typé qu’indémodable. Plus qu’une tool watch, une montre compagnon. Un must même, tour à tour discret ou iconoclaste, qui a démontré sa versatilité au travers de nombreuses variations, couleurs, matières (pierres fines, émail grand feu), créations capsules — avec Seconde/Seconde/ et The Horophile. Elle revient cette année dans deux variations sur un thème cher à Louis Erard : la finition haute horlogerie. Toujours sur le même motif : rendre les savoir-faire accessibles. Excellence Petite Seconde Guilloché 42mm noir anthracite et Excellence 39 Petite Seconde Guilloché bleu anthracite sont nées sous le signe d’une technique. Une technique ancienne, qui a connu un âge d’or au XVIIIe siècle, avec des pères qui ont donné leur nom à l’histoire, Abraham-Louis Breguet, Urban Jürgensen. Cette technique, c’est le guillochage. La décoration mécanique par essence, au croisement de la dextérité et de l’imagination. Louis Erard a déjà exploré ce champ avec une pièce d’artisanat viscéralement contemporaine — Excellence Guilloché Main, édition limitée, 2021.

L’objectif est cette fois d’explorer la face classique du guillochage, en reprenant certains codes de la très haute horlogerie, où le guillochage devient un art très sophistiqué, croisant motifs, couleurs et épargnes. Le duo Excellence Petite Seconde Guilloché se pare ainsi d’un cadran en quatre parties. Le centre capte le regard avec son motif drapé rayonnant, piège à lumière où la planéité du cadran se creuse en vagues, évolutives, grandissant depuis le centre. Un effet classique du guillochage flinqué — traditionnellement réalisé au tour. Ce tableau central est cerclé, une transition classique, elle aussi, qui amène vers le grand tour des heures, couvert d’un motif paniers, finement disposés en quinconce, comme des écailles. Un nouveau cerclage ferme le dessin, suivi d’un tour où le chemin de fer des minutes est décalqué. Le sous-cadran de la petite seconde perce l’ensemble, à cheval entre les vagues du centre et la corole des index. Reprenant à son tour le motif paniers et le cerclage à chemin de fer — des secondes. Aux effets graphiques du guilloché se marient encore les alliances bichromatiques. Deux tons d’anthracite sur le modèle 42 mm. Anthracite et bleu sur le 39 mm. Le reste est comme d’habitude, 100% Louis Erard, soigné sur chaque détail, aiguilles « sapin » signatures, couronne monogramme, calibre Sellita. Et le prix, accessible, en décalage complet avec les autres fabricants sur une telle typologie de montre.

VERSACE Chrono Master

Versace est fière de présenter Versace Chrono Master, un chef-d'œuvre de 44 mm alliant la précision d'un chronographe et un designaudacieux qui marie harmonieusement l'esthétique sportive et l'élégance caractéristique de la marque et crée un accessoire exceptionnel pour l'homme contemporain. Un garde-temps où le style et la fonctionnalité se rejoignent dans tous les détails : le logo Versace sur la lunette, la Méduse à 12 heures, la fenêtre de la date à 4 heures et le mouvement du chronographe. Cette montre est l'accessoire parfait pour les personnes qui exigent un style sans compromis et accueillent pleinement l'ADN de Versace avec une touche d'élégance sportive. Versace Chrono Master sera en vente à partir de février 2024 dans les boutiques sélectionnées et chez les revendeurs agréés.

RALPH LAUREN RL Safari Chronomètre (cadran noir)

La collection Safari de Ralph Lauren mélange l’univers du sport et de l’aventure avec le plus grand raffinement. Cette année, Ralph Lauren lance la montre « Safari Chronomètre » dans un nouveau cadran de 42 mm. Dans un design robuste la montre « Ralph Lauren Safari Chronomètre » est déclinée en trois couleurs de cadran – kaki, camouflage et noir. Le boîtier durable en acier inoxydable patiné protège un cadran verni anthracite azuré mat à chiffres occidentauxluminescents surdimensionnés et trotteuse orange. Ce modèle est accompagné d’un bracelet en toile marron foncé ou en acier inoxydable noir à trois maillons pour un esprit vintage et authentique. Dotée d'un mouvement mécanique à remontage automatique de calibre RL300-1, cette montre en acier ‘vieilli’ dispose d'une réserve de marche de 50 heures et est étanche jusqu'à 100 mètres. Soumise à des normeshorlogères exceptionnelles, elle célèbre le style de vie « safari » de Ralph Lauren et celui des grands voyageurs toujours prêts à l’aventure. Les montres Ralph Lauren 42 mm Safari Chronomètre seront disponibles à l'achat dès février 2024 à partir de 3 600 euros.

OMEGA Speedmaster cadran laqué blanc

Déjà considérée comme le chronographe le plus emblématique de la planète, l’Omega Speedmaster Moonwatch se révèle dans une toute nouvelle version, cette fois avec un cadran laqué blanc inspiré de l’exploration spatiale et de l’histoire illustre de la collection. Ce modèle captivant est attendu avec impatience par les fans de la Moonwatch depuis que la toute première version a été aperçue en novembre 2023 au poignet de l’ambassadeur de la marque, Daniel Craig, lors de l’inauguration de l’exposition Planet Omega à New York. Désormais officiellement dévoilée, cette montre est maintenant disponible. La singularité de cette pièce tient à son cadran blanc rare. Lors de la création de la Speedmaster originelle en 1957, les designers visaient avant tout à produire une montre à la lisibilité remarquable – d’où ses aiguilles et index blancs sur fond noir. Sur cette nouvelle déclinaison, l’inversion des couleurs produit le même effet. Au cadran blanc orné d’index appliqués à la forme revisitée et de détails noirs, les designers ont ajouté en rouge le nom Speedmaster qui se détache sur la surface brillante laquée – une technique de finition jusqu’ici inédite sur le cadran à étage de la Moonwatch. Pourquoi le blanc ? Pour ce nouveau look, Omega s’est inspiré du style noir et blanc des combinaisons des astronautes, en particulier de celles utilisées lors des EVA, ou sorties extravéhiculaires.

Quoi de plus naturel pour la Speedmaster Moonwatch, choisie par la NASA depuis 1965, qui a la particularité d’être devenue la première montre portée sur la Lune ? En outre, depuis la mission Apollo 13 en 1970, on retrouve également la couleur rouge sur cet équipement, sous forme de lignes qui distinguent la tenue des commandants. Le choix du blanc est aussi justifié par une autre raison un peu particulière. En 1969,dans le cadre de son projet secret pour concevoir une montre adaptée à l’espace pour la NASA, Omega a créé le prototype Alaska I. Après plusieurs mois de tests, la marque a finalement opté pour un cadran blanc, qui présentait un coefficient de réflexion thermique optimal. La mention Speedmaster en rouge sur le nouveau modèle est par ailleurs un clin d’œil au couvercle rouge qui protégeait l’Alaska I. Hormis son cadran blanc, cette montre présente d’autres particularités. Son boîtier de 42 mm en acier inoxydable repose sur un confortable bracelet assorti d’inspiration vintage, composé de rangs de cinq maillons bombés. Un look classique associant surfaces brossées et polies. Deux autres versions sont proposées : une sur un bracelet en cuir noir microperforé avec surpiqûre blanche et rouge, et une autre sur un bracelet encaoutchouc antibactérien dont la doublure est décorée d’un motif représentant la surface de la Lune en relief positif pour plus de confort et d’esthétique. Pour les fans de la Moonwatch, la lunette en aluminium anodisé noir de chaque montre affiche bien le célèbre point au-dessus du chiffre 90 sur l’échelle tachymétrique. Enfin, la montre est entraînée par le calibre Co-Axial Master Chronometer 3861, la version la plus récente du légendaire calibre 321 qui a accompagné les astronautes sur la Lune.

CUERVO Y SOBRINOS Historiador Nino Farina II

Cuervo y Sobrinos rend hommage au premier champion du monde officiel de Formule 1, « Nino » Farina, qui a remporté le titre en 1950. L'Historiador Nino Farina II fait suite à la première série limitée, très appréciée et épuisée en très peu de temps. Il s'agit d'un nouveau chronographe, limité à 158 pièces, qui s'inspire de la course historique et reprend les couleurs de l'emblématique Alfa Romeo, mais qui s'adresse à un public moderne. « Nino Farina était l'homme du courage à la limite de l'improbable. Capable de cascades audacieuses qui étaient souvent son coup gagnant. Un grand pilote, mais dont il fallait toujours se méfier » : tel est l'incipit par lequel Enzo Ferrari décrivait Emilio Giuseppe Farina, dit Nino. Nino est né à Turin le 30 octobre 1906, dans une famille de carrossiers ; son père Giovanni avait fondé la « Carrozzeria Farina », tandis que son oncle Battista l'avait rejoint très jeune dans ce qui deviendrait plus tard une marque unique et inimitable de style made in Italy : la célèbre « Pininfarina ». La course automobile est le sport qu'il a pratiqué des années 1920 aux années 1950, avec pour couronnement la victoire du premier championnat du monde de Formule 1. Il devient champion du monde sur le circuit de Monza en remportant le 21e GP d'Italie le 3 septembre 1950, au terme d'un galop de 504 kilomètres au volant de l'Alfa Romeo 158. La fameuse « Alfetta » avec le numéro 10. Ce 3 septembre 1950 reste dans les annales de la course automobile : non seulement parce que Nino Farina est le premier pilote italien à se prévaloir du titre de champion du monde, mais aussi parce qu'il est le premier à avoir signé la pole position et le premier à avoir réalisé le tour le plus rapide de la course.

En 1930, Nino participe à la classique « Aosta - Gran S. Bernardo » au volant d'une Alfa Romeo 6C, où il subit la première des nombreuses fractures qui marqueront sa vie de coureur. Malgré les accidents et les blessures, en 22 saisons de course, Nino a continué à concourir, toujours dans des voitures italiennes : Alfa Romeo, Maserati, Lancia et enfin Ferrari. Il fut champion absolu d'Italie de 1936 à 1939 avec l'Alfa Romeo dont il était le 1er pilote depuis 1938. Il a également remporté le dernier Grand Prix de Tripoli en Libye en 1940. En 1936, il termine 2e de la 10e Coupe des Mille Miglia, puis 2e en 1937 avec Stefano Meazza et encore 2e en 1940 avec Paride Mambelli. Peu importe la cylindrée ou la catégorie, pour Nino, l'important est de maîtriser le plaisir de la vitesse à fond. Après la guerre, Nino a recommencé à gagner avec Maserati et Alfa Romeo. En 1949, il atterrit chez Ferrari et remporte le GP de Rosario en Argentine, le premier succès historique à l'étranger d'une monoplace de la firme de Maranello. Il retourne chez Alfa en 1950 et célèbre un triomphe mondial à l'âge de 44 ans. Par la suite, l'entreprise publique Alfa décide de se retirer de la compétition et Nino retourne chez Ferrari où il reste jusqu'en 1955, remportant les 1000 km du Nurburgring, le GP d'Allemagne (1953) ainsi que les 1000 km de Buenos Aires (1954), en plus de nombreuses places d'honneur. Il quitte le monde de la course à la fin de l'année 1950. Lorsqu'il décède le 30 juin 1966 des suites d'un accident de la route sur la Nationale 6 à Aiguebelle, il se rendait à Genève pour rendre visite à son filleul. Ce jour-là, sur une route mouillée, Nino ne conduisait pas une voiture italienne mais une Ford Cortina Lotus qui a dérapé contre un arbre. Le compteur de vitesse du tableau de bord s'est arrêté à 180 km.

Au musée Alfa Romeo (Arese, Milan), on trouve des photos, des films et des affiches célébrant le champion, ainsi qu'une « Alfetta » 158 bien exposée. Une autre version, l'Alfa Romeo 159, avec laquelle Farina a remporté le Daily Graphic Trophy à Goodwood le 29 septembre 1951 et Fangio le championnat du monde 1951, peut être admirée au Musée national de l'automobile de Turin. Cuervo y Sobrinos Maison a voulu apporter quelques modifications à la série précédente, en changeant les couleurs et en réduisant la taille du boîtier pour une utilisation encore plus sportive sans sacrifier l'élégance. D'un diamètre de 40 mm, la Cuervo y Sobrinos Historiador Nino Farina II est logée dans un boîtier en acier inoxydable. Le cadran est placé sous un verre saphir doublement bombé avec traitement antireflet. La montre est livrée avec un bracelet « racing style » en veau brun mat avec des surpiqûres bleu clair. Il présente de nombreuses perforations, un détail inspiré des gants de course d'autrefois. Le fond du boîtier est orné d'une dédicace au champion du monde (« El primer Campeon del mundo » - le premier champion du monde de F1) et de sa signature. L'Historiador Nino Farina est une édition limitée à 158 pièces, certainement inspirée par la légendaire Alfa Romeo 158. En effet, les couleurs le rappellent : les aiguilles des compteurs des minutes et des heures du chronographe sont rouges comme la couleur de l'extérieur de la voiture, tandis que l'aiguille centrale des secondes et une partie du tachymètre dans le coin supérieur droit sont vertes comme le trèfle à quatre feuilles : le symbole historique de la société Alfa Romeo. Au cœur du garde-temps se trouve un mouvement automatique suisse, le calibre CyS 8129. Basé sur l'ETA 2894, le mouvement est doté d'une masse oscillante gravée et d'une réserve de marche de 42 heures.

F.P. JOURNE Élégante 48 mm Titalyt (pièce unique pour la Breast Cancer Research Foundation)

F.P.Journe, avec l’aide de Phillips, a organisé une vente aux enchères au sein de la Maison F.P.Journe Miami au profit de la Breast Cancer Research Foundation (BCRF). Fondée en 1993 par Evelyn H. Lauder, la BCRF est le plus grand financeur privé de la recherche sur le cancer du sein dans le monde. La fondation investit dans un large éventail de recherches - y compris la prévention, le diagnostic, le traitement, la survie et les métastases - parce que chaque domaine d'investigation en nourrit un autre, nous conduisant vers les solutions dont nous avons besoin de toute urgence. Le cancer du sein ne fait pas de discrimination : aujourd'hui, il est le cancer le plus répandu dans le monde, dépassant le cancer du poumon pour la première fois en 2020. On s'attend à ce qu'environ 1 homme sur 833 soit diagnostiqué aux États-Unis chaque année. Bien que le cancer du sein chez l'homme soit rare, il est généralement plus agressif et plus susceptible d'être fatal. Cette élégante 48 mm Titalyt pièce unique est dotée d’un cadran blanc entièrement luminescent avec le chiffre « 1 » rose et associée à un bracelet en caoutchouc rose assorti. L’élégante est animée par le calibre 1210, un mouvement électromécanique novateur, fruit de plus de huit années de recherche et de développement, qui fête en 2024 son 10e anniversaire. Sous le marteau d’Isabella Proia, Head of Sale and International Specialist de Phillips Watches à New York, la vente a attiré de nombreux passionnés d’horlogerie, venus en personne à la Maison F.P.Journe Miami, ainsi que des enchérisseurs au téléphone depuis l'Asie et l'Europe. À la suite d’une véritable bataille entre plusieurs collectionneurs, reflétant l'engagement et la générosité de la communauté F.P.Journe, l’élégante a finalement été adjugée pour la somme remarquable de USD 420 000, qui sera intégralement reversée à la BCRF.

COORDINATION ÉDITORIALE : JACQUES PONS