WATCH COMEDY CLUB #244
« Tu avais dû confondre les lumières d'une étoile et d'un réverbère. Mais ça continue (encore et encore) »
En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à l’excellent Francis Cabrel pour la citation de « Encore et encore » (1985) qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait le même Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…