Cette année 2020 et la décennie qui s’est ouverte seront décisives pour l’histoire des montres traditionnelles. Ce sera tragique pour certains, mais sans doute positif pour d’autres si les planètes s’alignent correctement. Dans notre « zéro bullshit zone », nos lecteurs étaient en première ligne pour mieux comprendre ce qui est en jeu alors que l’horlogerie est au point mort. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

87e épisode d’une nouvelle séquence « Horlomania », qui fait suite à notre précédent tour des montres en 80 tests. Classées en cinq disciplines de base, nos cinq questions du jour portent sur le plus célèbre des horlogers suisses, qui a voué un demi-siècle de sa vie aux beaux-arts de la montre. Il s’agit avec ce jeu-test d’explorer les connaissances des primo-accédants à cette culture de la montre – mais cette série vise aussi à retremper les connaissances de tous les amateurs.

Quarante-septième séquence de découverte de l’offre horlogère proposée au dernier trimestre 2020. Après une rentrée ouverte sous la menace d’une chronapocalypse incontrôlable, le millésime 2020 prend forme. Certaines nouveautés méritent le détour : voici les sept montres de la semaine, racontées du point de vue des marques et commentées avec la délicieuse et la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se mitonne sur les marchés. Sept propositions, une par jour de la semaine (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique de marque : Awake, Franck Muller, Frederique Constant, Lip, Mido, TAG Heuer et Versace…

Vue à la FIAC en 2019 et tout récemment sous la verrière du Grand Palais (Paris) et dans une galerie de Berlin, deux de ces horloges folles sont déjà vendues. À la périphérie créative des mécaniques qui expriment le temps, elles explorent une nouvelle dimension des aléas du monde…

Défense de se prendre la tête, ni de tout prendre au pied de la lettre ! Une série de dessins détournés pour commenter une semaine de la vie des montres. Une collection d’images « piratées » pour échapper aux communiqués officiels et pour illustrer, sans se prendre au sérieux, une vision de l’industrie tout ce qu’il y a de plus sérieuse. « Business Montres » vous propose chaque semaine un autre regard sur la vie quotidienne des montres et des marques (certaines de ces illustrations sont récupérés dans nos pages quotidiennes d’actualité horlogère)…

Uwe Ahrendt, qui pilote la manufacture allemande Nomos Glashütte (ci-dessous), répond du tac au tac à nos questions sur la génétique de la marque, la place qu'elle tient sur le marché et les pespectives qu'elle se donne. Et si Nomos Glashütte était en train d'inventer le néo-luxe horloger d'après la covid, en toute modestie, en toute sobriété et en toute expressivité ?

Mais aussi l’horloge complètement folle du temps qu’il fait, le rhinocéros de la bonne cause, l’emphase de la lune et les trois couleurs du courageux dévouement… Images ci-dessous : le syncrétisme culturel d’un pont jeté entre les Aztèques et les Mexicains d’aujourd’hui…

Tolstoï le dit mieux que tout le monde en exergue : « Le monde pense à changer le monde, mais personne ne pense à se changer soi-même ». Après ces lignes, on pourrait presque refermer le livre de la journaliste Elsa Floret, mais ce serait dommage parce cette consœur pétille d’intelligence pour faire accoucher ses interlocuteurs d’idées originales pour le monde d’après…

Si la tradition mexicaine du « jour des morts » est un exercice auquel les horlogers suisses sont maintenant bien rompus, on comprend tout de suite que De Bethune en repousse très loin les frontières créatives…

Les mois passent : l’enfumage continue à propos de cette « reprise horlogère » dont tout le monde parle, mais que personne ne voit venir. Voici les vrais chiffres de septembre pour le groupe Richemont. C’est, comme toujours, du « non officiel » et du « non autorisé ». Comme d’habitude, ces données proviennent directement du cartable de Johann Rupert, qui nous avait semblé très en colère quand il avait pris connaissance de ces résultats…

Avec un jury totalement « helvétisé » (voir nos éditions précédentes), on peut imaginer les contours du palmarès final, mais la décision d’additionner aux voix des jurés physiques trois voix représentatives de la « vox populi » académique relance la partie : le palmarès 2020 s’annonce plus imprévisible que jamais…

Défense de se prendre la tête, ni de tout prendre au pied de la lettre ! Une série de dessins détournés pour commenter une semaine de la vie des montres. Une collection d’images « piratées » pour échapper aux communiqués officiels et pour illustrer, sans se prendre au sérieux, une vision de l’industrie tout ce qu’il y a de plus sérieuse. « Business Montres » vous propose chaque semaine un autre regard sur la vie quotidienne des montres et des marques (certaines de ces illustrations sont récupérés dans nos pages quotidiennes d’actualité horlogère)…

Il aurait été ridicule de se risquer un pronostic un tant un peu sérieux sur le palmarès du GPHG 2020 tant qu’on ne connaissait pas l’identité exacte des jurés. Année covid oblige : le jury ne comprendra en 2020 que des résidents suisses. Ce qui va rebattre toutes les cartes pour la distribution des prix…

Quarante-sixième séquence de découverte de l’offre horlogère proposée au dernier trimestre 2020. Après une rentrée ouverte sous la menace d’une chronapocalypse incontrôlable, le millésime 2020 prend forme. Certaines nouveautés méritent le détour : voici les sept montres de la semaine, racontées du point de vue des marques et commentées avec la délicieuse et la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se mitonne sur les marchés. Sept propositions, une par jour de la semaine (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique de marque : Aquastar, Calypso, Formex, Franck Muller, Omega, Seiko et Swatch…

Il y a peut-être une raison si les « Chinois » (au sens large) n’ont pas inventé la Machine d’Anticythère : leur logiciel culturel les oriente bien davantage vers cette numérisation du monde qui était le rêve éternel de leurs despotes. C’est là qu'ils voudraient nous engluer : c’est à cette nouvelle religion digitale que nous devons échapper…