Depuis plus d’un siècle, les maisons de montres rivalisent de créativité et d’ingéniosité pour promouvoir leurs objets du temps. Il y aurait une thèse à écrire sur l’iconologie horlogère, qui témoigne de hautes pressions graphiques comme de basses pressions conceptuelles (ce qui serait plutôt le cas aujourd’hui) ! Histoire de continuer la discussion, voici une 105e séquence de belles créations horlogères, juste pour le plaisir des yeux…

Détournons, détournons, il en restera toujours quelque chose : pour illustrer sans se prendre au sérieux une actualité horlogère tout ce qu’il y a de plus sérieuse, « Business Montres » vous propose chaque semaine une autre vision de la vie quotidienne des montres et des marques. Certains de ces dessins détournés sont récupérés dans les pages quotidiennes de « Business Montres » – pourquoi ne pas les reproposer en accès libre ?

Impossible de ne pas glisser le torpillage de Baselworld – par la direction même de Baselworld autant que par ses propres clients – parmi les vingt séquences qu’il faudra retenir ou regretter de l’année 2018…

Mais aussi le pavillon d’un Brexit horloger, l’esprit néo-renaissant des armures post-féodales, les rouages mécaniques de la faune sauvage et la pendulette qui renverse l’initiale de sa marque… Images ci-dessous : « Time is fluid », la preuve par la progression des heures teintées de rouge dans le tunnel du temps…

En vingt séquences, ce qu’il faudra retenir ou regretter de l’année 2018, en commençant par les dix mots qui ont marqué la sémantique générale de l’industrie horlogère (il y en avait beaucoup d'autres à sélectionner).

Pourquoi Donald Trump a-t-il une telle passion pour les marques de luxe ? Faut-il sauver l’autocrate Nick Hayek ? Par quoi remplacer Kickstarter comme « nurserie » 2.0 pour les marques qui reformatent créativement l’offre horlogère ? Et autres interrogations de saison…

On peut se demander si les horlogers ne surtarifient pas leurs montres serties, au moment même où le prix des « petits diamants » est nettement orienté à la baisse. On peut aussi se demander s’il ne serait pas temps, pour l’horlogerie, de renoncer définitivement à ses bracelets en peaux exotiques…

M. l’actionnaire de référence du Kernault Richewatch Group (leader mondial des maîtres du temps) a une marotte : tenir quotidiennement son journal intime pour y raconter son expérience du monde horloger. Il nous parle aujourd’hui de cette fabuleuse exhumation de 30 000 montres neuves de nos marques dans un entrepôt du Proche-Orient…

C’est reparti pour une intéressante fin d’année horlogère. Avec les derniers jours de l’automne 2018, voici les sept montres de la semaine, racontées du point de vue des marques et commentées avec la délicieuse et la jamais trop fleurie langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se mitonne sur les marchés. Sept propositions, une par jour de la semaine (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Anonimo, Cartier, Ebel, Frederique Constant, H. Moser & Cie., HYT, MeisterSinger…

Dans le périscope de « Business Montres », comme toutes les semaines, toutes les informations qui comptent dans la communauté horlogère, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées dans notre « zéro bullshit zone », pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres. C’était ici et nulle part ailleurs : une rétrospective rapide, en accès libre, pour relire tout ce qui a été publié en vrac, en bref et en toute originalité !

Un film publicitaire très réussi, mais un message assez désastreux ! Même si elle a été considérée comme un des meilleurs films touristiques en 2014, cette publicité officielle de MySwitzerland, bras armé de la Confédération pour la promotion touristique, était pour l’horlogerie suisse un sacré coup de poignard dans le dos. D’où l’indignation de « Business Montres »…

Douze coups de projecteur sur les tendances climatologiques de l’horlogerie pour novembre 2018 : notre Baromontres exclusif évalue les hautes pressions et les dépressions de la barométrie pour tout ce qui concerne l’industrie des montres. Un bulletin météo en toute liberté et sans la moindre révérence, avec le seul souci d’y voir plus clair au cœur de l’automne. C'est parti : on va parler de Richemont, du GPHG, de Reservoir, de Tokr, du Swatch Group; de Roger Dubuis, de Sotheby's, du Massena Lab, de RJ et de Kicxkstarter...

Douzième épisode d’une nouvelle séquence « Horlomania », qui fait suite à notre précédent tour des montres en 80 tests. Classées en cinq disciplines de base, nos cinq questions du jour relèvent de la culture générale sur les objets du temps. Ces questions visent à retremper les connaissances horlogères des primo-accédants à la culture horlogère – mais aussi de tous les amateurs…

On vit une époque formidable : comme tous les week-ends, six doses de « business intelligence » pour favoriser la fermentation des neurones pendant la pause hebdomadaire. Bonne lecture et, surtout, bonne digestion de toutes ces analyses : cette semaine, on va parler d’un scandale fiscal en Chine, de contenus sans contenus, de paiement des influenceurs, d’écriture manuelle et de communication en « silos ».

Depuis plus d’un siècle, les maisons de montres rivalisent de créativité et d’ingéniosité pour promouvoir leurs objets du temps. Il y aurait une thèse à écrire sur l’iconologie horlogère, qui témoigne de hautes pressions graphiques comme de basses pressions conceptuelles (ce qui serait plutôt le cas aujourd’hui) ! Histoire de continuer la discussion, voici une 104e séquence de belles créations horlogères, juste pour le plaisir des yeux…