Mais aussi une sportive classique qui fait des vagues, l'art d'écrire le futur de l'horlogerie mécanique, une plongeuse qui revient des années 1960 et trois fuseaux horaires dans un écritoire qui fait tourner la Lune…Images ci-dessous : avec les nouvelles Ice Duo Chic, l'été sera lumineux, mais pas ruineux, mais il sera de toute façon orangé avec Bell & Ross...

À quoi « marche » l’industrie des montres et grâce à quel carburant avance-t-elle, si tant est qu’elle ne pratique pas un sur-place régressif habilement camouflé en « légère accélération de la croissance » ? Les acteurs de l’horlogerie n’échappent pas aux courants dominants de l’air du temps qui, sans verser dans la collapsologie primaire, n’est pas très rassurant…

M. l'actionnaire de référence du Kernault Richewatch Group (leader mondial des maîtres du temps) a une marotte : tenir quotidiennement son journal intime pour y raconter son expérience du monde étrange de l'horlogerie de luxe. Il nous parle aujourd'hui des salons horlogers, qui divisent beaucoup son état-major…

Mais parlons aussi de quelques indices sur les surstocks post-Brexit, de beaucoup de chiffres sur l'horlogerie chinoise, de désescalade pour le Swatch Group et des dessins qui ne se prennent pas au sérieux sur des sujets très sérieux : pas belle, la vie des montres ?

Bienvenue pour ce nouvel épisode de " Sans Filtre ", une chronique horlogère pour se parler entre quatre-z-yeux (parce qu'on sait que ça ne sortira pas d'ici) et, surtout pour se parler cash, parce qu'il faut bien se dire les choses comme elles sont, et non comme on voudrait qu'elles soient…

Les initiés auront reconnu dans ce titre un détournement – sérieux, s’abstenir, comme d’habitude ! – du prologue des différents épisodes de « Star Wars ». On vous épargne le texte en jaune sur fond noir, mais ce prologue a une traduction horlogère très contemporaine. « Le temps du péril a commencé pour la rébellion » (épisode V, « L’Empire contre-attaque », 1980)…

Tant qu’à débouler sur le marché du « sport chic », autant le faire avec une montre sportive capable de calmer les frustrations et d’amorcer une dynamique positive : pourquoi a-t-on joué « petit bras » pour ce tourbillon dénué de vraie logique intérieure ?

Vingtième séquence de découverte de l’offre horlogère de ce début d’année. Avec les premiers jours de mai, voici les sept montres de la semaine, racontées du point de vue des marques et commentées avec la délicieuse et la jamais trop fleurie langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se mitonne sur les marchés. Sept propositions, une par jour de la semaine (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Baume & Mercier, Casio, Citizen, Ebel, Hublot, Junghans et Kerbedanz…

Une compilation de tout ce qui a été repéré ces jours-ci dans notre « zéro bullshit zone » : comme toutes les semaines, tout ce qui compte pour la communauté horlogère, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

Trente-deuxième épisode d’une nouvelle séquence « Horlomania », qui fait suite à notre précédent tour des montres en 80 tests. Classées en cinq disciplines de base, nos cinq questions du jour relèvent de la culture générale sur les objets du temps – avec un coup de loupe sur l’année horlogère 1984. Ce quizz vise à consolider les connaissances horlogères des primo-accédants à cette culture horlogère – mais aussi à retremper les connaissances de tous les amateurs.

Puisque « l’avenir est un lieu commode pour y mettre des songes » (Anatole France) et comme tous les week-ends, « Business Montres » a sélectionné pour vous sept réflexions alternatives (six articles et un podcast) de plus ou moins forte intensité : il s’agit de nourrir nos méditations et de favoriser la fermentation des neurones pendant la pause hebdomadaire. Bonne lecture et, surtout, bonne digestion de toutes ces analyses : cette semaine, on va parler de la fameuse série « Game of Thrones », telle qu’on peut la comprendre avec différents regards et en fonction de l’actualité immédiate.

Depuis plus d’un siècle, les maisons de montres rivalisent de créativité et d’ingéniosité pour promouvoir leurs objets du temps. Il y aurait une thèse à écrire sur l’iconologie horlogère, qui témoigne de hautes pressions graphiques comme de basses pressions conceptuelles (ce qui serait plutôt le cas aujourd’hui) ! Histoire de continuer la discussion, voici une 124e séquence de belles créations d'inspiration horlogère...

Une série de dessins et d’images « piratées » pour commenter une semaine de la vie des montres et pour échapper aux communiqués officiels – histoire d’illustrer, sans se prendre au sérieux, une vision de l’industrie tout ce qu’il y a de plus sérieuse. « Business Montres » vous propose chaque semaine une autre vision de la vie quotidienne des montres et des marques – certains de ces dessins « piratés » sont récupérés dans nos pages quotidiennes d’actualité horlogère.

Mais aussi le bronzage de l’été en mode sage et le même bronze en mode profond, la montre qui repeigne Donal Trump et l’art d’arrêter les Spitfire en plein vol… Images ci-dessous : Une esthétique très contemporaine pour une mécanique d’avant-garde : le temps suspend son vol ! Et le bronze s'invite dans les grandes profondeurs...

Le prix de la montre la plus rigolote du printemps est décerné à la marque… Triwa (Suède), pour son modèle Comb-Over. Il était temps que l’horlogerie rende hommage à ce président américain qui a dopé les ventes de montres aux Etats-Unis, avec une montre passée au peigne fin !