Sans langue de bois, ni langue de coton, dix questions à brûle-pourpoint (voire plus) que « Business Montres » a voulu poser à Xavier Dietlin, le « vitriniste le plus déjanté de sa génération ». C’est le premier épisode de notre voyage estival en compagnie de ces acteurs de l’horlogerie qui parviennent à faire du buzz sans acheter des publicités dans les médias et qui savent faire parler d’eux sans ne parler que d’eux. C’est parti (remerciements à la graphiste Malika Favre pour les illustrations de ces articles)…

Le torchon brûle entre la Fondation de la haute horlogerie et le Grand Prix d’Horlogerie de Genève. Avec des coups de griffe enrobés d’une onction diplomatique de de haute culture vaticane, « Monsignore » Cologni règle ses comptes avec une institution concurrente dont il a pourtant été le « deus ex machina ». Une intervention passionnante à décoder…

Les records récents de juin 2019 sur Kickstarter sont les arbres qui cachent la forêt d’une baisse sensible du rendement des campagnes depuis le début de l’année : le sociofinancement est désormais un sport de haut niveau, qui réclame entraînement intensif et professionnalisme…

Pour une fois que Nick Hayek a raison, applaudissons ! Pour une fois qu’on peut faire rigoler Georges Kern, ne nous en privons pas ! Pour une fois qu’une publication horlogère est un puits de connaissances et une mine d’intelligence, ne passons pas à côté ! Pas belle, la vie des montres ?

Vingt-neuvième séquence de découverte de l’offre horlogère de ce premier semestre. Avec les premiers jours de juillet, voici les sept montres de la semaine, racontées du point de vue des marques et commentées avec la délicieuse et la jamais trop fleurie langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se mitonne sur les marchés. Sept propositions, une par jour de la semaine (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Citizen, Émile Chouriet, Frederique Constant, Hermès, March LA.B, MB&F et Tudor…

Une compilation de ce qu’il ne fallait pas manquer ces jours-ci dans notre « zéro bullshit zone » : comme toutes les semaines, tout ce qui compte pour la communauté horlogère, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

Quarante-et-unième épisode d’une nouvelle séquence « Horlomania », qui fait suite à notre précédent tour des montres en 80 tests. Classées en cinq disciplines de base, nos cinq questions du jour relèvent de la culture générale sur les objets du temps. Ce questionnaire à réponses multiples (quiz) vise à consolider les connaissances horlogères des primo-accédants à cette culture horlogère – mais aussi à retremper les connaissances de tous les amateurs.

Depuis plus d’un siècle, les maisons de montres rivalisent de créativité et d’ingéniosité pour promouvoir leurs objets du temps. Il y aurait une thèse à écrire sur l’iconologie horlogère, qui témoigne de hautes pressions graphiques comme de basses pressions conceptuelles (ce qui serait plutôt le cas aujourd’hui) ! Histoire de continuer la discussion, voici une 133e séquence de belles créations d'inspiration horlogère – centrée cette fois sur la marque indépendante Ice-Watch (première séquence)...

Histoire d’illustrer, sans se prendre au sérieux, une vision de l’industrie tout ce qu’il y a de plus sérieuse, découvrez une série de dessins et d’images « piratées » pour commenter une semaine de la vie des montres et pour échapper aux communiqués officiels. « Business Montres » vous propose chaque week-end une autre vision de la vie quotidienne des montres et des marques – certains de ces dessins « piratés » sont récupérés dans nos pages d’actualité horlogère.

Il ne faut pas confondre un concept horloger réussi et une marque assurée de sa survie. Le plus difficile, ce n’est pas d’épater, c’est de durer. On pourra ainsi méditer sur l’exemple du récent défi de haute couture Chanel pou, plus prosaïquement, sur les dernières chaises musicales chez Richemont, où le groupe purge plus vite que son ombre…

Mais aussi une bannière tricolore qui en dit long, des arabesques baroques laquées d’or, un serpent paré des baguettes et un jardin à la française exilé place de la Concorde… Images ci-dessous : les dix carats d’un saphir cinghalais pour couronner le plus précieux des serpents romains…

Pas de bon album des aventures de Lucky Luke sans l’inquiétant croque-mort qui prend par avance les mesures des corps qu’il lui faudra bientôt enfermer dans un cercueil. Au loin, les vautours sarcastiques commencent à rigoler. Quand Klokers trébuche, les croque-morts médiatiques sortent leur mètre-ruban et les vautours claquent du bec. Alors que la partie est loin d’être finie : ne croyez ce qu’en disent les médias...

Désembarquement immédiat ? Comme c’est bizarre, cette histoire de « patrouille Breitling » : quand les pilotes de la Breitling Jet Team nous annoncent que tout est fini avec Breitling et qu’ils cherchent un autre partenaire, Breitling nous jure que tout n’est pas fini entre la marque et la patrouille Apache. Quel vaudeville !

Loin de nous l’idée de vouloir limiter le nombre des projets horlogers qui se lancent sur les réseaux de sociofinancement, mais on se demande parfois quel est l’intérêt de certaines campagnes à succès, quand des propositions plus originales se plantent allègrement. La souscription est moins que jamais une arme de construction massive…

Les clignotants d’alerte sont passés au rouge : il devient plus difficile de séparer le bon grain de l’ivraie, y compris chez les revendeurs autorisés des marques les plus copiés. Le savoir-faire des faussaires tient du génie, alors que la naïveté des acheteurs tient du prodige. C’est toute la chaîne de confiance entre les marques et les amateurs qui se trouve ébranlée…