PICTOCHRONIQUES #166
« Les batailles perdues se résument en deux mots : trop tard »
166e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au général américain Douglas MacArthur (1880-1964) pour la citation d’une de ses sentences favorites (1940) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…