PICTOCHRONIQUES #48
« J’admirais les cavillations de ses réponses et la pertinacité de son attachement à introduire ces horreurs »
Quarante-huitième épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci à l’irremplaçable écrivain, courtisan et mémorialiste duc de Saint-Simon (1675-1755) pour la citation de ses « Mémoires » (1829) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité des montres. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…