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PICTOCHRONIQUES #40
« Le plus important n’est pas de savoir si on est vivant après être mort, mais d’être vivant avant d’être mort »

Quarantième épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci au romancier contemporain Guillaume Musso (né en 1974) pour la citation qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie sa pensée à l’actualité des montres. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…


Nous voici proche de la fin 2023. Pour les nouveautés, nos pages « Repérages » – actuellement quotidiennes, profitez-en …
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