HORLOTAINMENT #55
« Je cherche en même temps l’éternel et l’éphémère »
Une nouvelle séquence « Horlotainment » : c’est notre « horlo-divertissement » organisé en une dizaine de pictofictions, sérieuses sur le fond sans se prendre au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au regretté Georges Perec (1936-1982) pour le magnifique lipogramme monovocalique – une seule voyelle : le « e » ! – qu’il a offert à la langue française et qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…