HORLOTAINMENT #65
« Là où finit le ciel / Je veux partir / Pour décrocher le soleil / Avant de mourir »
Voici une nouvelle séquence de nos « horlo-divertissements », dont chaque épisode compte une dizaine de pictofictions aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci aux regrettés Compagnons de chanson pour la citation de leur chanson « Là où finit le ciel » (1963) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…