WATCH COMEDY CLUB #298
« L’orgueil, l’éternel orgueil, le besoin de briller et d’étonner le monde par des mérites que l’on n’a pas ! »
Une dizaine d’images détournées et de photos piratées : cette page de pictofictions est commise dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand Georges Courteline (1958-1929) pour la citation de son « Boubouroche » (1918) qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…