HORLOTAINMENT #57
« Nous vivons avec quelques arpents de passé, les gais mensonges du présent et la cascade furieuse de l'avenir »
Voici une nouvelle séquence de nos « horlo-divertissements » organisé en une dizaine de pictofictions, sérieuses sur le fond sans se prendre au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand poète René Char (1907-1988) pour la citation de son « Frenêtres dormantes et porte sur le toit » (1979) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…