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REPÉRAGES #21-2022 (accès libre)
Sept objets du temps qui ont du cœur et qui ne manquent ni d’air, ni de style

Vingt-et-unième séquence pour bien démarrer cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du point de vue des marques et elles sont commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Briston, Jaeger-LeCoultre, Linde Werdelin, MeisterSinger, Omega, S. Craft et Swatch…


OMEGA Seamaster Planet Ocean Ultra Deep

En 2019, les toutes premières montres Ultra Deep ont marqué l’histoire en atteignant le point le plus profond de la planète. En 2022, la technologie qui a rendu cette plongée possible s’incarne dans une collection révolutionnaire, étanche jusqu’à 6000m et accessible au grand public. Des modèles de 45,5 mm avec des matériaux haute performance et des fonctionnalités en attente de brevet, qui représentent l’apogée de l’héritage des montres de plongée Omega. Marque pionnière dans le domaine maritime, l’histoire océanique d’Omega a commencé avec l’« Omega Marine » en 1932, la première montre de plongée au monde accessible aux plongeurs civils. Caractérisée par son ingénieux double boîtier, l’incroyable étanchéité de ce garde-temps a su séduire les explorateurs les plus ambitieux et ouvrir la voie à l’avenir de la plongée chez Omega. Avec la sortie de la toute première Seamaster en 1948, la passion d’Omega pour la mer a été ravivée, aboutissant au lancement de la Seamaster 300 en 1957, la première montre de plongée professionnelle signée Omega. De nombreuses montres de plongée légendaires ont suivi, notamment la Seamaster 600M « Ploprof » et la Seamaster 1000 pour les grandes explorations, ainsi que la populaire Seamaster Diver 300M, portée par le commandant James Bond depuis 1995. Consolidation de l’impressionnante expérience océanique d’Omega, la première Ultra Deep est née en 2019. Pour survivre aux conditions les plus difficiles, cette montre avant- gardiste présentait des caractéristiques indestructibles, comme un boîtier entièrement usiné en titane forgé grade 5, des cornes « manta » robustes qui constituent un moyen innovant de sécuriser la montre, et un verre saphir avant au design conique, conçu pour résister à la pression et inspiré des hublots d’un submersible. En avril de la même année, trois montres Ultra Deep rejoignent l’explorateur Victor Vescovo pour une mission au fond de la fosse des Mariannes, dans l’océan Pacifique. Mesurée à l’origine à 10 925 m, la profondeur a depuis été actualisée à 10 935 m – la plus profonde jamais atteinte par un humain ou une montre. Deux des montres Ultra Deep étaient fixées au bras robotique du submersible, tandis qu’une autre était attachée à une unité de collecte de données appelée « lander ». Grâce à leur construction et à leur conception ingénieuses, les trois montres ont terminé la plongée de 12 heures sans problème et sont remontées à la surface complètement indemnes. 

L’année 2022 marque le franchissement d’un nouveau cap pour notre collection marine ultra-moderne avec la sortie de sept nouveaux modèles dans la collection Ultra Deep. Étanche jusqu’à 6 000 m, la gamme 45,5 mm est couronnée par un modèle audacieux réalisé en titane grade 5 sablé et forgé. Illustrant sa personnalité unique, la montre présente une lunette en céramique satinée avec une échelle de plongée en LiquidmetalTM, ainsi que les cornes «manta » distinctives et le boîtier asymétrique épuré qui rappellent l’Ultra Deep originale. Elle repose sur un bracelet NATO rayé cyan et noir, provenant de filets de pêche 100% recyclés, fermé par une boucle et un passant en titane grade 5. Sous le verre saphir bombé protubérant, le cadran a été réalisé en titane ceramisé noir avec des chiffres couleur cyan et un dégradé bleuté sur l’aiguille centrale des secondes. Au dos de la montre, on découvre un fond de boîtier en titane grade 5 sur lequel est gravé au laser l’emblème Sonar, avec en son centre l’hippocampe signature d’Omega. La mention « Diver’s watch 6000 m for saturation diving » réaffirme les qualités d’aventurière de cette montre. Six modèles de la collection Ultra Deep ont été façonnés dans un tout nouveau matériau : l’O-megasteel. Cet alliage d’acier inoxydable haute performance prouve une nouvelle fois la suprématie d’Omega dans la production de matériaux novateurs, dotés de qualités qui dépassent la norme. L’O-megasteel se distingue par sa résistance supérieure, sa couleur plus blanche et sa brillance incomparable. Il offre également une résistance exceptionnelle à la corrosion pour une apparence plus durable. Chaque boîtier symétrique en O-megasteel est surmonté d’une lunette en céramique avec échelle de plongée, ainsi que d’un verre saphir bombé protubérant, minutieusement biseauté et conçu pour une résistance maximale à la pression. Un nouveau protège-couronne a également été ajouté, garantie de protection en plongée profonde. 

Le cadran est proposé en blanc ou en dégradé du gris au noir ou du bleu au noir. Il arbore une finition brillante ainsi que des index et aiguilles en or blanc 18K. Chaque pièce est dotée d’un fond de boîtier en titane grade 5 frappé du même emblème Sonar gravé au laser et de la même mention que le modèle en titane intégral. Chaque modèle est complété par un bracelet en caoutchouc ou en O-megasteel. Les bracelets en caoutchouc présentent une structure de combinaison de plongée technique sur le dessus ainsi qu’une boucle en O-megasteel. Les bracelets en métal sont fermés par une boucle déployante extensible brevetée Omega dotée d’un fermoir à crémaillère, assortie d’une extension supplémentaire pour la plongée, idéal pour porter la montre par-dessus une épaisse combinaison de plongée. Entraînées par le calibre Co-Axial Master Chronometer Calibre 8912, toutes les montres de la collection sont certifiées Master Chronometer, le plus haut standard de précision, performance et résistance magnétique de l’industrie suisse. De plus, l’OMEGA Ultra Deep a été testée à une profondeur de 6 269 mètres dans la fosse des Mariannes en 2021. L’inscription « For Saturation Diving » fait référence à la norme ISO 6425 concernant les montres de plongée en saturation, certifiée par l’organisme de test suisse indépendant METAS – une première dans l’industrie horlogère ! 

BRISTON Clubmaster Elegant

Depuis 2013, Briston a imposé son style en apportant à ses montres une touche « Sport Chic » avec un ADN horloger. Avec ce nouveau modèle, Briston crée une collection à l’esthétique intemporelle, la Clubmaster Elegant présente une silhouette sophistiquée, tout en ligne dynamique et en détails soignées au travers de fins boîtiers dont l’élégance s’inspire des garde-temps des années 1950. Derrière son minimalisme assumé se dissimule un souci pour chaque détail : boîtier de 37mm surmonté d’un lunette cannelée et assemblé avec une couronne cannelée ; cadrans noir ou blanc argenté soulignés par des indexes embossés sur le pourtour ; des aiguilles en forme de glaive qui viennent ajouter du caractère à cette nouveauté. La Clubmaster Elegant, est équipée d’un mouvement quartz ultra fiable d’origine japonaise, le miyota GL22. Pour parfaire son look des année 50 et épouser parfaitement votre poignet, elle est munie d’un boitier extra fin de 2,28 mm d’épaisseur. Tandis que les versions tout acier ou les versions acier & or rose sont directement assemblées sur le bracelet interchangeable en acier Briston ; les versions en acétate sont proposées sur des bracelets interchangeables en suède ultra-doux. Disponible en 8 versions, Briston propose une nouvelle combinaison de deux métaux dont la teinte et l’éclat contrastés créent un jeu d’équilibre : la lunette, la couronne, les aiguilles ainsi que le maillon central du bracelet acier sont traités en PVD or rose, tandis que la carrure et les maillons en H sont en acier poli-miroir. La Clubmaster Elegant viendra sublimer le poignet avec caractère : un nouveau garde-temps adapté à votre poignet... 

JAEGER-LECOULTRE L’histoire de la pendule Atmos

Née en 1928, Atmos est une pendule unique en son genre. Une invention qui semble défier les lois de la physique en étant capable de fonctionner sur plusieurs siècles sans nécessiter de source d’énergie conventionnelle ou d’être remontée. Au contraire, son mécanisme est alimenté par les simples variations de température de l’air au quotidien : un changement d’un simple degré Celsius est suffisant pour garantir un fonctionnement de deux jours. Depuis les années 1930, Jaeger-LeCoultre a mis à profit le savoir-faire horloger de la Manufacture afin d’effectuer continuellement des améliorations techniques, et ses talents créatifs pour sublimer ce qui est devenu un objet d’art prisé. Alors que le cube en verre basé sur le design Art déco de l’Atmos II est devenu un classique immédiatement reconnaissable, Jaeger-LeCoultre a également collaboré avec des créateurs et des maîtres artisans renommés afin de créer des éditions spéciales de la pendule Atmos.Depuis qu’elle a vu le jour en 1928, la pendule Atmos est restée un objet de fascination grâce à un mécanisme dont la beauté n’a d’égale que la magie. L’humanité est depuis longtemps fascinée par le principe des machines à mouvement perpétuel, ces dispositifs qui fonctionnent en autonomie, à l’infini, sans aucun apport d’énergie externe. Un exploit auquel personne n’est jamais parvenu pour la simple et bonne raison que les lois de la physique le rendent impossible. Mais Jaeger-LeCoultre a tout de même réussi à concevoir un instrument qui se rapproche du fonctionnement perpétuel plus qu’aucun autre mécanisme jamais inventé : la pendule Atmos. En 1928, Reutter, un ingénieur en radiologie originaire de Neuchâtel, lance un prototype de pendule – aujourd’hui connu sous le nom de « Atmos 0 » – qui semble défier les lois de la physique : sans pile, ni électricité, ni remontage régulier, il peut fonctionner pendant des siècles sans s’épuiser ni nécessiter d’intervention externe. Le principe mécanique de l’Atmos est simple, mais extrêmement difficile à mettre en œuvre : l’énergie requise pour entraîner l’horloge est fournie par les fluctuations normales et quotidiennes de la température de l’air. L’énergie thermique est transformée en énergie mécanique, qui entraîne le mouvement du balancier. Le secret ? Une capsule hermétique remplie de gaz et connectée au ressort- moteur de l’horloge par une membrane. La moindre variation de la température modifie le volume du gaz et provoque la dilatation ou la contraction de la membrane – qui « respire » comme le soufflet d’un accordéon – permettant ainsi de remonter le ressort. Une variation d’un degré Celsius seulement suffit à entraîner la pendule pendant 48 heures. Ce système remarquable ne produisant qu’une petite quantité d’énergie, le mouvement doit en consommer le moins possible. Et de fait, sa consommation est si faible que l’énergie utilisée par une unique ampoule à filament de 15 watts équivaut à celle utilisée par 60 millions de pendules Atmos. Le mécanisme est doté d’un pendule de torsion pour réguler l’heure et d’un balancier en métal en forme d’anneau, suspendu à un fin fil d’élinvar, un alliage de nickel. Comme ce balancier annulaire met une minute pour effectuer une oscillation complète, il n’exige qu’un quarantième de l’énergie utilisée par une montre-bracelet classique. 

En 1930, deux ans après la présentation du prototype par Reutter, les premiers exemplaires de l’Atmos I sont mis en vente. Mais les nombreux problèmes techniques provoquent l’arrêt de la commercialisation et de la production. Lorsqu’il trouve par hasard une Atmos dans une boutique parisienne, Jacques-David LeCoultre, fasciné par son fonctionnement unique, l’achète immédiatement. Il comprend rapidement que, malgré l’ingéniosité de l’idée de Reutter, le mécanisme n’est pas viable et que les problèmes rencontrés ne peuvent, pense-t-il, être résolus qu’avec un niveau exceptionnel de savoir-faire horloger. La Manufacture contacte Reutter, qui se prend immédiatement au jeu et vient travailler au Sentier sous la direction de Jacques-David LeCoultre sur un projet de « nouvelle Atmos ». Tout en continuant à commercialiser une version améliorée de l’Atmos I, les deux hommes cherchent à poursuivre le perfectionnement du mécanisme et à commercialiser entièrement la production. Les améliorations essentielles apportées incluaient : l’amélioration de l’étanchéité à l’air nécessaire au bon fonctionnement du mouvement ; le remplacement du mercure utilisé par Reutter par du chlorure éthylique, plus stable ; et la modification de composants clés du mécanisme pour le rendre plus simple, plus robuste et plus adapté à la production en série. Enfin, en 1939, Jaeger-LeCoultre est suffisamment satisfait du nouveau Calibre 519 et prêt à lancer la commercialisation de l’Atmos II. Elle remporte rapidement un franc succès et accède au statut très prisé d’objet culte. En 1950, elle est choisie comme cadeau officiel de la Confédération suisse. En 1951, la production atteint 10 000 unités par an et, en 1979, la 500 000e pendule quitte la Manufacture du Sentier. Malgré tout, le mécanisme de l’Atmos a ses limites : parce qu’il ne produit qu’une très faible quantité d’énergie, elle n’est pas suffisante pour ajouter d’autres fonctions. Jaeger-LeCoultre résout ce problème en 1982 avec un nouveau mouvement, le Calibre 540, qui rend possible l’adjonction de fonctions supplémentaires avec une augmentation infime de la consommation d’énergie. Les ingénieurs de la Manufacture développent la première Atmos à phases de Lune à la fin des années 1990 et ont depuis ajouté d’autres complications : cartes du ciel, compteurs, affichage de l’équation du temps, et même une « pendule mystérieuse » à remontoir d’égalité, ou mécanisme à force constante. 

Bien plus qu’une simple prouesse technique, l’Atmos est une œuvre d’art. L’Atmos I originale, avec son dôme de verre, est une expression précoce et exceptionnellement pure du style « paquebot », ou « Streamline Moderne ». Elle est aujourd’hui très recherchée par les collectionneurs. Les lignes Art déco intemporelles et l’équilibre idéal du design rectiligne du cabinet de l’Atmos II ont fait de ce « boîtier de verre » la silhouette classique de la pendule. Alliance parfaite de fonctionnalité et de style, il a ancré l’identité esthétique forte de l’Atmos au fil de ses nombreuses décennies d’évolution. Le cabinet de l’Atmos s’est naturellement prêté à différentes interprétations artistiques. Depuis les années 1970, Jaeger-LeCoultre a collaboré avec plusieurs designers de talent et artisans spécialisés pour produire des éditions spéciales de l’Atmos, notamment celles intégrant des complications astronomiques. Parmi les plus beaux exemples se trouvent la futuriste Atmos du Millénaire Atlantis, créée en 1999 pour célébrer le nouveau millénaire et inspirée d’un modèle unique conçu par le studio de design parisien Kohler et Rekow en 1988 ; l’Atmos 566 by Marc Newson, enfermée dans un cube en cristal de Baccarat façonné à la main dans lequel le mécanisme semble flotter ; et la somptueuse Atmos Marqueterie « Le Baiser » de 2012, avec son cabinet en bois rares orné d’une reproduction du tableau éponyme de Gustav Klimt en marqueterie de bois superbement détaillée. Les arts décoratifs ancestraux, comme la marqueterie de bois, la marqueterie de paille, l’émaillage, le sertissage et les diverses techniques de fabrication du cristal, ont habillé l’Atmos avec la même créativité et le même savoir-faire artisanal méticuleux auxquels la Grande Maison fait appel pour façonner ses plus belles montres-bracelets. Tous les mouvements Atmos sont entièrement développés, produits et assemblés au sein de la Manufacture, à la main, dans un atelier Atmos spécialisé. En plus des cinq semaines de tests et d’ajustements que subissent tous les mécanismes Atmos, la production d’une unique pendule peut nécessiter huit à dix mois de travail. Plus de neuf décennies après son invention, la pendule Atmos reste un garde-temps unique, empreint d’émotions fortes – un hommage splendide au design, à la virtuosité technique et à la tradition, qui captive par la beauté de sa forme, le mouvement imperturbable de sa roue de balancier et la magie de ses rouages. En 2022, Jaeger-LeCoultre rendra hommage à l’Atmos lors de l’Homo Faber, un événement extraordinaire qui présentera le meilleur de l’artisanat européen à travers 15 expositions mettant en valeur d’exceptionnels maîtres artisans. Choisi pour son savoir-faire remarquable en matière d’horlogerie, Jaeger-LeCoultre participera à l’exposition « Genealogies of Ornament » qui célébrera les savoir-faire artisanaux sophistiqués et l’expertise cumulée de ses experts en horlogerie et arts décoratifs. L’Atmos, à la fois pendule et objet d’art, est reconnue dans le monde entier comme symbole de l’artisanat et de l’ingéniosité suisses. 

LINDE WERDELIN 3 Timer Ukraine

Nous sommes choqués par la barbarie et l'inhumanité de ce que le gouvernement et l'armée russes (probablement une seule et même entité) font subir au peuple ukrainien, et par la menace qu'ils représentent pour la vie pacifique et démocratique à laquelle nous sommes habitués en Europe et dans d'autres parties du monde. Nous sommes résolument en faveur de la démocratie, de la paix, de la liberté d'expression et de la liberté de choix. Tout État dictatorial autocratique et ses dirigeants devraient être exclus des avantages des sociétés démocratiques libres, en particulier ceux qui, comme la Russie, tentent activement de détruire les valeurs qui nous animent - et dont ils veulent faire profiter leurs élites. Excluez-les de nos systèmes financiers, culturels, éducatifs et autres - comme c'est le cas actuellement. On ne peut qu'espérer (bien que ce soit difficile à croire) que le gouvernement russe retrouvera son humanité et mettra fin à ces atrocités pendant qu'il est encore temps. Même si Linde Werdelin ne peut rien faire pour changer la situation, nous ne pouvons pas l'ignorer et faire comme si elle ne nous concernait pas. Pour montrer notre soutien à la détresse ukrainienne, nous produisons une série de notre 3 Timer classique avec les couleurs du drapeau ukrainien sur le cadran, la lunette et le bracelet. Tous les bénéfices seront versés directement à l'appel de la Croix-Rouge britannique contre la crise ukrainienne. La 3 Timer Ukraine sera fabriquée sur commande en une série limitée et numérotée de 33 pièces, chacune coûtant 5 500 £ HT.

S.CRAFT Ukraine Forever

Horrifié, dégoûté et choqué par ce qui se passe en Ukraine depuis deux semaines, notre équipe a proposé de créer le modèle S. Craft appelé « Ukraine Forever » reprenant les couleurs du drapeau ukrainien et « Ukraine Forever » gravé au dos de la montre en soutien à l'État ukrainien et à son peuple. 100% des bénéfices de la vente de ce modèle seront reversés à des associations caritatives ukrainiennes. Les caractéristiques techniques de ce modèle sont identiques à celles de la S. Craft « Transparency N°1 » que vous pouvez consulter en suivant ce lien. La garantie mondiale sera également de 5 ans. La S. Craft « Ukraine Forever » peut être commandée en ligne avec le lien ci-dessous au prix de CHF 8'995.00, frais de port et assurance compris. En portant cette montre, non seulement nous apporterons un peu de baume aux souffrances du peuple ukrainien, mais nous montrerons haut et fort notre soutien à l'État ukrainien et à sa population !

MEISTERSINGER Singularis

Présentant une lecture alternative du temps par ses montres à mono-aiguille, MeisterSinger introduit, aujourd’hui, une nouvelle collection : la Singularis. Deuxième génération de montres à embarquer le mouvement automatique MSA01, élaboré en interne, ce garde-temps bénéficie d’une réserve de marche de 120 heures et permet l’affichage de la date, en sus de l’heure par le biais d’une aiguille unique. Autre signe distinctif ? Une double lecture du temps. Explications... Reprenant le boîtier iconique de la MeisterSinger Classic N03, la Singularis reflète les codes classiques de l’horlogerie. Proposée en acier inoxydable poli dans un diamètre de 43 mm, elle arbore un cadran bleu à la finition soleillée miroitant sous l’effet de la lumière. Longue et effilée, l’aiguille unique d’un blanc immaculé ponctue la journée sous un format de 24 heures, divisé en deux fois 12 heures. Signature MeisterSinger, les chiffres de 01 à 12 appliqués en blanc indiquent les deux premières heures de la journée. Les douze suivantes, positionnées quant à elles sur le rehaut, sont écrites également en chiffres arabes mais plus discrètement. Précis dans les moindres détails, l’ensemble est subdivisé en 144 segments de 5 minutes avec des index de taille différente pour distinguer le quart d’heure de la demi-heure. Complété par une date, placée dans une ouverture circulaire à 6 heures, la Singularis impose un rituel de la lecture du temps aussi fiable que celui des cadrans solaires antiques. La Singularis est animée par le mouvement automatique MSA01, dévoilé par la marque horlogère allemande en 2016. Equipé de deux barillets qui alimentent le mécanisme avec suffisamment d’énergie, il permet une réserve de marche exceptionnellement importante, allant jusqu’à 120 heures. Grâce à leur montage en série, l’énergie transmise aux rouages est plus homogène qu’avec un seul barillet, ce qui permet d’obtenir une marche d’une précision extrême : un point capital pour les montres MeisterSinger. En complément, une roue de minuterie, dotée d’un pignon à ressort, a été intégrée afin d’éliminer pour ainsi dire le jeu de l’aiguille. A cela a été ajouté un rotor, comportant du tungstène, capable d’alimenter les deux barillets en énergie. Délicatement squeletté à l’image du logo MeisterSinger, il offre une vision claire du design de ce mouvement automatique MSA01. Les férus d’horlogerie apprécieront ses finitions très soignées, visibles à travers le fond transparent du boîtier : phases anglées et polies à effet miroir, gravures ornées d’or sans oublier le pont de rouage dont la géométrie inhabituelle donne au mouvement son aspect unique.

SWATCH x Centre Pompidou Piet Mondrian

Depuis toujours, Swatch entretient des liens privilégiés avec le monde de l'art. Cette année, nous poursuivons notre voyage à travers les musées avec le célèbre Centre Pompidou à Paris. Découvre les six modèles de la collection disponibles en ligne et en boutique dès le 10 mars. Laisse-toi emporter par l'énergie de Delaunay, la poésie de Kandinsky, la mélancolie de Modigliani ou l'abstraction de Mondrian. À l’occasion de la Journée internationale des femmes, célèbre la créativité de Frida Kahlo ! Cette New Gent de la collaboration Swatch X Centre Pompidou s'inspire de l'oeuvre la plus célèbre de Piet Mondrian, « Composition en Rouge, Bleu et Blanc II ». Son bracelet en silicone noir mat imprimé blanc privilégie la ligne noire et les plans rectangulaires de couleurs primaires. Un cadran noir sert de toile de fond aux aiguilles pop blanches et rouges qui complètent le look de cette montre arty.


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