REPÉRAGES #91-2024 (accès libre)
Sept montres qui peuvent vous faire comprendre qu’une montre, c’est beaucoup plus qu’une montre

PATEK PHILIPPE Golden Ellipse (réf. 5738/1R-001)

Patek Philippe signe le grand retour des bracelets de style « chaîne » dans la collection Golden Ellipse. La manufacture réinterprète son modèle iconique Golden Ellipse en le dotant d’un tout nouveau bracelet exclusif à la construction moderne et brevetée alliant élégance et confort. Équipée du calibre 240 extra-plat à remontage automatique, cette nouvelle Golden Ellipse référence 5738/1R-001 marie un boîtier et un bracelet en or rose à un cadran noir ébène « soleil » sur lequel se détachent de fins index et aiguilles en or rose. Avec son design immédiatement reconnaissable, à la croisée du cercle et du rectangle, et ses proportions harmonieuses inspirées du fameux Nombre d’Or, la Golden Ellipse s’est imposée comme une icône de style au sein des collections Patek Philippe. Lancée en 1968 dans un boîtier en or jaune, avec cadran en or bleu, elle a été déclinée depuis lors dans différentes nuances d’or et couleurs de cadrans. Pour son 40e anniversaire en 2008, la collection a accueilli un modèle grande taille (34,5 x 39,5 mm) en platine avec cadran bleu « soleil » (5738P-001), rejoint en 2018 par un modèle grande taille en or rose avec cadran noir ébène « soleil » (5738R-001). Aux côtés des bracelets cuir, la collection Golden Ellipse a également été proposée – depuis son lancement et jusqu’au début des années 1980 – sur plusieurs bracelets-chaînes, tel le bracelet de type « milanais » de la référence 3548 (1968) ou le bracelet de type « polonais » de la référence 3605 (1974). À cela se sont ajoutés divers bracelets à maillons aux designs très typés. Cette très grande créativité au niveau des bracelets a contribué à renforcer l’aura de cette montre phare des années 1970, alliance unique d’audace et d’équilibre.

Patek Philippe renoue avec cette grande époque du design horloger en proposant sur la référence 5738 un élégant bracelet de style « chaîne » en or rose épousant confortablement le poignet, tout en soulignant la finesse du boîtier. Fidèle à sa quête constante d’innovation, la manufacture voulait réintroduire des bracelets de style « chaîne », mais en supprimant les inconvénients techniques liés aux anciens bracelets-chaînes, notamment pour la mise à longueur. Fruit de 15 ans de développement, le nouveau bracelet en or rose 18 carats entièrement poli à la main se distingue par sa construction moderne et brevetée ayant permis de recréer le style des bracelets-chaînes classiques. Il se compose de 363 éléments, dont plus de 300 maillons assemblés manuellement un à un. Le nouveau bracelet est présenté en exclusivité sur le modèle Golden Ellipse référence 5738/1R-001. Sa construction moderne offre la possibilité d’effectuer des mises à longueur facilitées, qu’il s’agisse de raccourcir ou rallonger le bracelet. Le fermoir avec décor gravé sur le couvercle (reprenant le motif du bracelet) est doté de trois crans d’ajustement. Le cadran noir ébène « soleil » est rehaussé par des index appliques de type « bâton » en or rose et de fines aiguilles de type « cheveu », également en or rose. Une esthétique intemporelle et épurée résumant parfaitement l’esprit de la Golden Ellipse. Pour compléter l’harmonie, la couronne est sertie d’un cabochon en onyx noir. Au sein de ce modèle bat le calibre 240 à remontage automatique, un mouvement extra-plat avec mini-rotor excentré en or 22 carats permettant de conférer au boîtier un profil d’une grande minceur (5,9 mm) – ce qui fait de la Golden Ellipse référence 5738 la montre la plus fine dans la collection courante Patek Philippe.

BVLGARI x Tadao Ando Serpenti

Serpenti Tubogas célèbre la splendeur éphémère de la nature,thème cher à l'architecte japonais Tadao Ando. Aventurine verte, œil de tigre et nacre blanche ou rose : l'iconique reptile se pare de cadrans de marqueterie exprimant les nuances changeantes d'une forêt, au fil des saisons. Bulgari et Tadao Ando se retrouvent pour la première fois autour de Serpenti. Quatre éditions limitées du légendaire serpentpoursuivent le travail tant artistique que conceptuel développé parl'architecte et la Maison romaine autour du thème du temps. En 2020 et 2021, des expressions minimalistes d'Octo Finissimo figuraient la fuitedu temps à travers les lignes épurées d'une spirale et le concept duMikazuki, le croissant de Iune naissant. « Tadao Ando possède unecréativité rare, inspirée par la nature et son caractère transitoire »apprécie Fabrizio Buonamassa Stigliani, directeur exécutif de lacréation des produits. Tadao Ando dévoile, à propos de son approche: « J'essaie de faire intervenir les différentes forces en présence, pour restaurer l'unité de l'architecture avec la nature ». Dans sesconstructions, l'esthétique de la perception ainsi que les principes decircularité ouvrent en symbiose avec la lumière naturelle, dans un rapport direct avec l'environnement, changeant au fil des saisons. Ainsi, pour poursuivre sa collaboration avec Bulgari, « le lien avec Serpentis'imposait de lui-méme. Intimement lié à la nature, le serpent mue etchange de couleur, à son image » explique Fabrizio Buonamassa Stigliani.

Profondément relié aux sources profondes de la nature, Serpentise fait l'écho de cette puissance primitive, tel un talisman. Icôneabsolue du style Bulgari dès les années 1940, Serpenti Tubogas estun véritable reptile-bijou, ou un bijou-serpent, capable de métamorphose et de renaissance, évoquant à la perfection la puissantebeauté transitoire du temps. Comme le serpent fait sa mue, lesœuvres de Tadao Ando se transforment au gré des saisons et de la lumière. Le célèbre architecte a construit son langage architectural autour de la simplicité apparente des formes, de l'épure des matériaux, dans un rapport direct à la nature. Ses constructions en béton — samatière favorite — se fondent dans l'environnement, à l'image duMusée Hyogo Prefectural situé dans un cadre magnifique surplombant les montagnes au nord et la mer intérieure de Seto au sud. Les créations emblématiques de l'architecte Japonais sont construites autour de la lumière naturelle, entrant en interaction avec ses lignes minimalistes. Au printemps, les ouvertures laissent s'écouler un soleil vivifiant dans les espaces intérieurs. Puis le musée se glisse dans ses habits d'été, tout en clair-obscur, grâce à la fraîcheur de couloirs intérieurs. Sous l'impulsion de Tadao Ando, Serpenti, légendaire animal,ose de nouvelles métamorphoses. Plus animal, végétal et esthétiqueque jamais, Serpenti se fait le miroir de la forét, changeante selon lecycle des saisons. « Le serpent représente le mouvement, il changeconstamment de forme. C'est dans cet esprit que j'ai voulu intégrer lescouleurs saisonnières dans les cadrans » explique Tadao Ando. Lereptile vient se lover en anneaux autour du poignet, rehaussé defragments de pierres ou de nacres évoquant, par Ieurs lignesharmonieuses, droites et brutes à la fois, l'inspiration architecturale deTadao Ando. Pour retranscrire les feuillages, Tadao Ando a imaginé desmarqueteries colorées — d'aventurine verte, d'œil de tigre et de nacre rose ou blanche.

Grace à Ieur savoir-faire, les artisans Bulgari ont retranscrit cette composition à l'échelle du cadran. Après le choix minutieux des plus belles parties de la matière, chaque élément est tracé avec précision,puis finement découpé. Enfin, les fragments sont ajustés et assemblésau plus près, se jouant des couleurs et des reflets avec une expressivité organique. Deux rangs de diamants, sertis le Iong de la tête du reptile,illuminent de Ieur éclat ce tableau vivant. Une première Serpenti, révéléeau solstice d'été, natsu, exprime l'intensité luxuriante d'une forét baignéede soleil, grace à la vivacité de la pierre d'aventurine verte, légèrementtranslucide et aux teintes en clair-obscur Ce cadran saisissant estcontrasté avec un boitier et un bracelet en or jaune et en acier Puis lesfeuilles s'enflamment, l'automne. L’œil de tigre réchauffe de ses teintes mordorées l'iconique reptile, entièrement forgé dans l'or rose, faisantécho à une rubellite rose sur la couronne. A ces flamboiements succède l'hiver, aux beautés glacées, figeant la nature, interprété par une marqueterie de nacre blanche. Ses iridescences s'associent à un boitieret bracelet tout en brillante, vêtus d'acier. Complétant le cycle des saisons, le printemps, Paru’, marque la renaissance des forces vitales,symbolisées au Japon par la floraison aussi éphémère que célébrée des sakura, les cerisiers, dont une marqueterie de nacre rosée reprend les nuances délicates. Ces nouvelles mues de Serpenti égrèneront l'année, jusqu'en mars 2025. Ces éditions limitées se présenteront dans un écrindédié, signé par Tadao Ando, tout comme le fond gravé du boitier dechaque montre. Vingt coffrets exclusifs réuniront les quatre créations.

BACKES & STRAUSS The Berkeley W1 D2R

Nous sommes fiers de présenter notre nouvelle collection Berkeley W1. Cette collection, inspirée de la forme classique de la Berkeley, se présente sous la forme d'un boîtier moderne au design élancé qui intègre un bracelet en acier inoxydable brossé avec des maillons en acier poli. Le mouvement mécanique décoré est visible sur le fond ouvert du boîtier. La montre présente également la signature Jewel in the Crown - un diamant serti dans la couronne, qui ajoute un élément d'élégance au garde-temps. « Nous sommes ravis de présenter la W1 à notre clientèle exigeante », a déclaré Levon Knadjian, directeur de la marque Backes & Strauss. « Le nom W1, code postal de Mayfair, célèbre notre origine londonienne et la richesse de notre histoire et de notre patrimoine. Ce garde-temps représente la fusion parfaite du design classique et de la technologie moderne ». La Berkeley W1 est disponible dans une gamme de couleurs de cadran permettant aux clients de choisir celle qui convient le mieux à leur style. Dans un souci de polyvalence, la collection est également proposée en acier brossé et en acier brossé revêtu de PVD (40 mm, mouvement mécanique avec réserve de marche de 48 heures, fond ouvert, mouvement décoré, boîtier en acier inoxydable brossé (128 diamants : 2,94cts), cadran bleu, chiffres romains blancs polis à la main, bracelet acier inoxydable brossé, avec maillons en acier poli).

LOUIS MOINET Tour du monde en huit jours « Kuala Lumpur »

« Imaginez un tour du monde en huit jours seulement pour découvrir l’essence des huit plus belles métropoles au monde. Ayant parcouru le globe, je vous ouvre mon carnet de voyage menant à ces huit escales inoubliables. Une aventure extraordinaire, dont le point de départ est Paris, berceau du génie de Louis Moinet, et qui s’achève à New York, tout en passant par les marchés flottants colorés de Bangkok ou les quartiers avant-gardistes de Kuala Lumpur. À travers ces récits, je vous convie à la découverte de huit métropoles, incarnées par huit œuvres horlogères, chacune célébrant les Métiers d'Art et les matériaux extraordinaires... » (Jean-Marie Schaller, Owner & Creative Director). La splendeur des métropoles capturée en huit œuvres d'art horlogères, soit un « Tour du monde en huit jours », un écho moderne de l'odyssée imaginée par Jules Verne, revu par Jean-Marie Schaller et sublimé par l'art et l'excellence horlogère. Chaque métropole, une toile vivante peinte de mille histoires humaines, se révèle à travers l'énergie débordante de lieux où art, culture, architecture et technologie s'entremêlent. C'est cette alchimie riche et complexe qui fût la source d’inspiration à Jean-Marie Schaller pour ces huit chefs-d'œuvre horlogers. Pour réaliser les cadrans, les Ateliers Louis Moinet ont sollicité l'excellence de la société GVA. Du raffinement de la peinture miniature à la précision de la gravure main, en passant par l'art délicat de la marqueterie et la complexité des cadrans puzzle, ses artisans cadraniers déploient une expertise sans pareil dans l’artisanat des Métiers d’Art. L'originalité des matériaux choisis pour ces cadrans témoigne de leur beauté exceptionnelle : du cristal de roche à l'aventurine, en passant par de véritables fragments d’histoire ou encore des matériaux high-tech, chaque élément est un trésor qui confère à ces œuvres leur caractère unique. Avec le dynamisme des grandes villes pour toile de fond, « Tour du monde en huit jours » est une ode à la contemplation, célébrant la grandeur de notre monde à travers l'art horloger.

Kuala Lumpur : les tours Petronas sculptées sur matériau de pointe.« Les tours Petronas sont les tours jumelles les plus hautes du monde. Elles continuent de dominer majestueusement le panorama de Kuala Lumpur depuis plus d'un quart de siècle. Leur arrière-plan rappelle l'importance technologique de la Malaisie, en tant que grand producteur, notamment de circuits microélectroniques » (Jean-Marie Schaller, Owner & Creative Director). Sculptée dans l’argent, les Tours Petronas se dressent fièrement sur un cadran en silicium, gravé de circuits microélectroniques. Les artisans, maîtres dans l'art de la gravure, ont recréé avec minutie l'architecture imposante de ces deux tours de 88 étages et leur silhouette emblématique en forme de « M ». C’est au centre du cadran que trône le célèbre Skybridge, pont entre ces deux icônes architecturales. En arrière-plan, le cadran en plaquette de silicium révèle un décor technologique complexe dessiné par les circuits microélectroniques gravés. Ce choix audacieux d'utiliser le silicium pour le cadran de cette montre Kuala Lumpur souligne l'importance cruciale de la technologie pour la ville. Ces motifs offrent un kaléidoscope de lumières et de reflets dynamiques, reflétant ainsi l'innovation et le dynamisme de la cité en tant que véritable pôle technologique en plein essor. En mariant Métiers d’Art et matériaux de pointe, cette œuvre de Louis Moinet célèbre l'harmonie unique d'une ville qui honore ses traditions tout en embrassant l'avenir technologique. Les Tours Petronas, symboles de cette symbiose, incarnent la dynamique d'une métropole toujours en mouvement.

Ces huit œuvres sont dotés d’un tourbillon volant avec cage décentrée, défiant la gravité d’une manière saisissante et captivante. Leur mécanisme à remontage manuel est équipé d’un double barillet. Ce système, appelé « volte-face », permet aux deux barillets d'être disposés en tête-bêche et de se décharger simultanément, offrant ainsi une réserve de marche de 96 heures. En or rouge 18 carats, ces huit créations arborent un boîtier de 40 mm aux courbes fluides et tendues. Le dôme en saphir, véritable prouesse de haute technicité, révèle les détails fascinants du cadran. Les cornes ajourées, quant à elles, soulignent parfaitement l’intégration du bracelet cuir. « La malle évoque la fascination de la découverte que procurent les voyages. Datant de 1786, année de naissance de Louis Moinet, la carte du monde nous convie à un voyage dans le temps » (Jean-Marie Schaller, Owner & Creative Director). Ces huit créations exceptionnelles sont présentées dans une luxueuse malle en bois gainé de cuir, où chaque détail témoigne du savoir-faire exceptionnel des artisans. A l'extérieur, tout d'abord, le monogramme de la fleur de lys, délicatement réalisé au pochoir, évoque l'héritage et l'histoire de Louis Moinet. Ouvrir cette malle, c'est débuter une aventure unique, un tour du monde artistique en huit jours. À l'intérieur, les huit garde-temps sont disposés avec élégance, jalonnant cette expédition de Paris à New York. Ils sont accompagnés d'une ancienne carte du monde, réalisée par Thomas Jefferys, le célèbre Géographe du Roi George III. Cette carte, datant de 1786, année de naissance de Louis Moinet, rappelle que les créations de ce pionnier horloger ont également traversé le globe, pour rejoindre les personnalités éminentes de son époque.

CHANEL Sautoir Buste Couture

Le Studio de Création Horlogerie de Chanel nous plonge dans l’univers graphique noir et blanc des ateliers de la rue Cambon : aiguilles, dés à coudre, ciseaux, épingles et bobines de fil rencontrent les créations horlogères de Chanel. Le buste de couture emprunte les codes du sautoir et se pare d’or jaune 18 carats serti neige. Le cadran laqué noir est dissimulé dans sa taille (édition limitée à 20 pièces, buste de couture en or jaune 18 carats en serti neige doté de 1610 diamants taille brillant (~21,29 carats) et ganses laquées noires)…

ROLEX GMT-Master II (nouveau modèle 2024)

L’aiguille 24 heures de l’Oyster Perpetual GMT-Master II indique bien plus qu’un autre fuseau horaire. Elle pointe vers un ailleurs qui entre en résonance avec la vie du porteur et fait ainsi écho aux émotions qui accompagnent chaque voyageur. Rolex dévoile deux nouvelles déclinaisons en acier Oystersteel de l’Oyster Perpetual GMT-Master II. Celles-ci arborent un disque de lunette Cerachrom gradué 24 heures bicolore en céramique grise et noire – dévoilé l’an dernier – sur lequel la graduation est mise en évidence par dépôt de platine selon une technique PVD (Physical Vapour Deposition). La première déclinaison est dotée d’un bracelet Oyster, tandis que la seconde est munie d’un bra- celet Jubilee. Sur leur cadran laqué noir, la mention « GMT-Master II » est inscrite en vert et fait écho par sa couleur à celle de l’aiguille 24 heures – laquelle est, avec sa pointe en forme de triangle, un élément majeur du design du modèle. La GMT-Master II est équipée du calibre 3285, un mouvement à l’avant-garde de la technologie horlogère, qui lui permet d’afficher la date ainsi qu’un second fuseau horaire au format 24 heures en plus des heures, des minutes et des secondes. Comme toutes les montres Rolex, l’Oyster Perpetual GMT-Master II bénéficie de la certification Chronomètre Superlatif, qui garantit ses excellentes performances au poignet. Conçue à l’origine comme un instrument d’aide à la navigation pour les professionnels appelés à sillonner le monde, la GMT-Master est devenue au fil du temps une référence parmi les montres pour voyageurs. Elle arbore un design unique et immédiatement reconnaissable avec sa lunette tournante bidirectionnelle munie d’un disque gradué 24 heures. Celui-ci a été décliné en version bicolore avec différentes combinaisons de teintes – la moitié inférieure symbolisant les heures diurnes et l’autre, les heures nocturnes – ou en version unie. Véritable montre-outil, la GMT-Master n’a cessé d’évoluer pour offrir des performances techniques toujours plus pointues. En 1982, Rolex a dévoilé la GMT-Master II, dotée d’un calibre permettant de régler l’aiguille des heures indépendamment de celle des minutes et de l’aiguille 24 heures.

Avec son affichage traditionnel par aiguilles des heures, minutes et secondes, son aiguille 24 heures qui se termine par un triangle et sa lunette tournante bidirec- tionnelle avec disque Cerachrom gradué 24 heures, la GMT-Master II permet la lec- ture simultanée de l’heure de deux fuseaux horaires: soit l’heure locale et une heure de référence, soit l’heure locale et celle d’un autre fuseau horaire. La date est syn- chronisée avec l’affichage de l’heure locale. Rolex a joué un rôle pionnier dans le développement de céramiques spéciales pour la fabrication de lunettes monoblocs et de disques de lunette monoblocs. Particulièrement résistants aux rayures, ces matériaux présentent des couleurs inaltérables et d’une intensité rare. De plus, par la nature de leur composition chimique, ces céramiques de haute technologie sont inertes et ne peuvent pas se corroder. La marque a développé des savoir-faire et mis au point des méthodes de fabrication exclusives et innovantes lui permettant de produire ces composants en céramique en toute indépendance. Sur les nouvelles déclinaisons de la GMT-Master II, la lunette tournante bidirectionnelle est munie d’un disque Cerachrom gradué 24 heures bicolore en céramique grise et noire. Les graduations et les chiffres, moulés en creux, sont mis en couleur par dépôt de platine selon une tech- nique PVD (Physical Vapour Deposition, dépôt physique en phase vapeur). Grâce à son pourtour cranté qui offre une excel-lente prise, la lunette peut être manipulée confortablement. Exemple de robustesse et de fiabilité, le boîtier Oyster de la GMT-Master II, d’un diamètre de 40 mm, est garanti étanche jusqu’à 100 mètres de profondeur. La carrure des déclinaisons présentées est travaillée dans un bloc massif d’acier Oystersteel. Le fond, bordé de fines can- nelures, est hermétiquement vissé à l’aide d’un outil spécial; seuls les horlogers habilités par Rolex peuvent ainsi accéder au mouvement. La couronne de remontoir Triplock, munie d’un système de triple étanchéité et protégée par un épaulement taillé dans la carrure, se visse solidement sur le boîtier. Quant à la glace, surmontée de la loupe Cyclope à 3 h pour une meil- leure lecture de la date, elle est en saphir pratiquement inrayable et bénéficie d’un traitement antireflet. Totalement étanche, le boîtier Oyster protège de manière opti- male le mouvement qu’il abrite.

RAYMOND WEIL Millésime automatique Phases de lune

A l’occasion de sa première participation cette année au salon Watches & Wonders, la marque horlogère genevoise a dévoilé 11 nouvelles références pour ancrer dans le temps cette collection au look néo vintage élégamment aboutie et résolument contemporaine. Ce grand cru 2024 élaboré avec le plus grand soin est le symbole d’un luxe discret mêlant caractère, sobriété, tradition horlogère, modernité, finitions raffinées et qualité suisse. Résolument ac- cessible, la gamme de prix se situe entre 1 575 CHF et 3 500 CHF. Chacune des montres de la collection arbore un cadran aux finitions délicates et texturées, protégé par un verre saphir de type « Glassbox » renforçant le style vintage de l’ensemble. Le modèle primé, avec son affichage des petites secondes à 6 heures rappelle subtilement une boussole. Les aiguilles argentées des heures et des minutes sont habillées de Super-LumiNova, pour une meilleure lisibilité dans l’obscurité. De même que le cadran sectoriel qui présente visuellement les heures, les minutes et les secondes sur des repères discrets, là-aussi améliorant la parfaite lisibilité de l’heure. Si la collection est esthétiquement immédiatement reconnaissable, elle démontre également tout le savoir-faire exceptionnel de la marque dans son segment, de la bienfaçon du bracelet en cuir gris avec le détail d’une couture en forme de W, à la fiabilité et la précision du mouvement mécanique à remontage automatique bénéficiant de finitions soignées et exclusives à Raymond Weil. Chaque détail révèle le soin apporté à chaque montre, comme le contraste entre le tour lisse des heures, la minuterie avec une finition en colimaçon et le centre du cadran brossé vertical. Tout est pensé pour séduire les amateurs de belles montres, tout en restant accessible et facile à porter.

Alors que la phase de lune est souvent associée à des montres classiques et intemporelles, Raymond Weil dévoile une Millesimephase de lune insufflant une nouvelle vie à cette fonction horlogère emblématique. Ce modèle au cadran visuellement sectorisé, très graphique, signature de la collection, associé à cette poétique complication horlogère, offre une lecture des phases lunaires à la fois dynamique et intuitive. 2945 est la référence source de cette nouvelle millesime phase de lune équipée du mouvement automatique RW4280, offrant une confortable réserve de marche de 38 heures. Phase de lune déclinée sur deux ca- drans aux caractères distincts. La première saluée par l’emphase graphique et moderne émanant du ton sur ton métallique de son boitier en acier coiffé d’un cadran argent. Tandis que la seconde épouse des codes horlogers plus affirmés, marqués par un effet bi-matière de sa boîte en acier PVD or rose et d’un cadran bleu nuit profond. Cette référence sera disponible à partir d’octobre 2024 dans les points de vente de la marque à travers le monde et en ligne.

COORDINATION ÉDITORIALE : JACQUES PONS