PICTOCHRONIQUES #37
« Si haut qu’on monte, on finit toujours par des cendres »
Trente-septième épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci au grand journaliste et écrivain Henri Rochefort (1831-1913) pour la citation qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie sa pensée à l’actualité des montres. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…