PICTOCHRONIQUES #22
« On peut tromper une personne mille fois. On peut tromper mille personnes une fois. Mais on ne peut pas tromper mille personnes mille fois »
Vingt-deuxième épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci à l’inoubliable Émile Gravier, héros du non moins inoubliable film « La cité de la peur » (1994) pour la citation qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie sa pensée à l’actualité des montres, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…