Trente-quatrième séquence de découverte de l’offre horlogère en prélude au second semestre 2020. Avec une rentrée qui s’ouvre sous la menace d’une chronapocalypse incontrôlable, les nouveautés 2020 commencent à circuler. Certaines méritent le détour : voici les sept montres de la semaine, racontées du point de vue des marques et commentées avec la délicieuse et la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se mitonne sur les marchés. Sept propositions, une par jour de la semaine (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Bernhard Lederer, Chanel, Charriol, Czapek & Cie, De Bethune, Schwarz Etienne et Ulysse Nardin…

Nous voici au seuil de la semaine qui va sauver l’honneur de l’horlogerie suisse : une bonne quarantaine de marques vont profiter des Geneva Watch Days pour tenir ce qui sera le seul salon horloger de la saison 2020, avec la présentation physique aux invités présents d’une ou deux centaines de « nouveautés ». Enfin une bonne nouvelle ! Parce que, par ailleurs, ce n’est pas forcément réjouissant…

On ne va pas se prendre la tête, ni tout prendre au pied de la lettre ! Une série de dessins et d’images « piratées » ici ou là pour commenter une semaine de la vie des montres, histoire d’échapper aux communiqués officiels. Il s’agit d’illustrer, sans se prendre au sérieux, une vision de l’industrie tout ce qu’il y a de plus sérieuse. « Business Montres » vous propose chaque semaine un autre regard sur la vie quotidienne des montres et des marques – certains de ces dessins « piratés » sont récupérés dans nos pages quotidiennes d’actualité horlogère…

Le champion de tennis Gaël Monfils, par ailleurs grand amateur de montres, a « servi » contre une GMT à près de 200 km/heure. Même pas mal ! La sportive chic de Greubel Forsey s’en est imperturbablement tirée…

Mais aussi un squelette de saison sur trois axes, des « tubes » qui nous arrivent de Tchéquie et un saphir bleu tombé de l’espace… Images ci-dessous : des ampoules qui affichent des chiffres capables d’indiquer l’heure, les minutes et les secondes sur différents fuseaux horaires…

Confrontés à la pire crise de leur jeune histoire, face à des marchés à la dérive et des collectionneurs dans l’expectative, Robert Greubel et Stephen Forsey ont décidé de prendre le taureau par les cornes. Ou plutôt de confier cette mission à un des plus fameux matadors de l’arène horlogère – Antonio Calce, spécialiste du sauvetage des monuments en péril…

Trente-troisième séquence de découverte de l’offre horlogère en prélude au second semestre 2020. Avec l’annonce d’une rentrée qui s’ouvre sous la menace d’une chronapocalypse incontrôlable, les nouveautés 2020 sont de retour. Certaines méritent le détour : voici les sept montres de la semaine, racontées du point de vue des marques et commentées avec la délicieuse et la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se mitonne sur les marchés. Sept propositions, une par jour de la semaine (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Citizen, Edox, Ferdinand Berthoud, Greubel Forsey, Mido, Oris et Schwarz Etienne…

Le génial dessinateur Kiraz (celui des « Parisiennes ») vient de nous quitter. Rendons-lui l’hommage qu’il mérite ! On ne va pas se prendre la tête, ni tout prendre au pied de la lettre ! Une série de dessins et d’images « piratées » ici ou là pour commenter une semaine de la vie des montres, histoire d’échapper aux communiqués officiels. Il s’agit d’illustrer, sans se prendre au sérieux, une vision de l’industrie tout ce qu’il y a de plus sérieuse. « Business Montres » vous propose chaque semaine un autre regard sur la vie quotidienne des montres et des marques – certains de ces dessins « piratés » sont récupérés dans nos pages quotidiennes d’actualité horlogère…

On ne va pas se prendre la tête, ni tout prendre au pied de la lettre ! Une série de dessins et d’images « piratées » ici ou là pour commenter une semaine de la vie des montres, histoire d’échapper aux communiqués officiels. Il s’agit d’illustrer, sans se prendre au sérieux, une vision de l’industrie tout ce qu’il y a de plus sérieuse. « Business Montres » vous propose chaque semaine un autre regard sur la vie quotidienne des montres et des marques – certains de ces dessins « piratés » sont récupérés dans nos pages quotidiennes d’actualité horlogère…

Mais aussi la profonde intégrité d’une jeune marque, le chef-d’œuvre néo-classique de l’été et le retour inattendu de la montre-calculette… Images ci-dessous : une précieux cadran aux index baguette, avec une non moins précieuse pampille, semée de 242 diamants pour illuminer le regard de Mademoiselle...

Dix coups de projecteur sur les grandes tendances climatologiques de l’horlogerie pour le mois de juillet 2020, avec un regard curieux sur ce que pourraient être les tendances de l’année. Notre Baromontres exclusif évalue les hautes pressions et les dépressions de la barométrie pour tout ce qui concerne l’industrie des montres. Un bulletin météo en toute liberté et sans la moindre révérence, avec le seul souci d’apporter un peu de lumière au milieu de l’automne : après un premier semestre des années 2020 passé dans les fracas de la coronapocalypse et les incertitudes du post-déconfinement, voici que s’annonce un millésime 2020 brinquebalant et pas du tout enthousiasmant…

Trente-deuxième séquence de découverte de l’offre horlogère en prélude au second semestre 2020. Avec la fin d’un premier semestre qui s’est ouvert sous la menace d’une chronapocalypse incontrôlable, les nouveautés 2020 sont de retour. Certaines méritent le détour : voici les sept montres de la semaine, racontées du point de vue des marques et commentées avec la délicieuse et la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se mitonne sur les marchés. Sept propositions, une par jour de la semaine (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Casio, Chanel, Glashütte Original, Girard-Perregaux, Norqain, Swatch et TAG Heuer…

On ne va pas se prendre la tête, ni tout prendre au pied de la lettre ! Une série de dessins et d’images « piratées » ici ou là pour commenter une semaine de la vie des montres, histoire d’échapper aux communiqués officiels. Il s’agit d’illustrer, sans se prendre au sérieux, une vision de l’industrie tout ce qu’il y a de plus sérieuse. « Business Montres » vous propose chaque semaine un autre regard sur la vie quotidienne des montres et des marques – certains de ces dessins « piratés » sont récupérés dans nos pages quotidiennes d’actualité horlogère…

Mais aussi un festival de bonnes publicités horlogères, une montagnarde qui ne perd pas le nord et des anneaux en huit pour attacher les chevaux… Images ci-dessous : un cadran-bulle en verre de Murano et des aiguilles en étamines pour le T-Rex collaboratif…

On ne va pas se prendre la tête, ni tout prendre au pied de la lettre ! Une série de dessins et d’images « piratées » ici ou là pour commenter une semaine de la vie des montres, histoire d’échapper aux communiqués officiels. Il s’agit d’illustrer, sans se prendre au sérieux, une vision de l’industrie tout ce qu’il y a de plus sérieuse. « Business Montres » vous propose chaque semaine un autre regard sur la vie quotidienne des montres et des marques – certains de ces dessins « piratés » sont récupérés dans nos pages quotidiennes d’actualité horlogère…