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  • HORLOTAINMENT #47 (accès libre)
    « Il faut savoir faire les sottises que nous demande notre caractère »

    Trente-huitième séquence « Horlotainment » de l’année : c’est notre « horlodivertissement » organisé en une dizaine de pictofictions, sérieuses sur le fond sans se prendre au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au toujours définitif moraliste Nicolas Chamfort (1741-1794) pour la citation de ses « Maximes » qui compose le titre de cette trente-huitième chronique de 2023. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité des salons horlogers, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • REPÉRAGES #59-2023 (accès libre)
    Sept montres qui s’annoncent en pleine forme pour affronter les épreuves les plus extrêmes du quotidien

    Cinquante-neuvième épisode de notre présentation des nouveautés d’un millésime 2023 qui s’annonce agité et compliqué : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie (vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres). Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Une proposition par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Hublot, Maurice de Mauriac, Reservoir, Rolex, Sinn, Speake Marin et Studio Underd0g…

  • 2023, ANNÉE DE TOUS LES DANGERS #1
    Le Swatch Group peut-il survivre encore longtemps ?

    La disparition de Marianne Hayek, l’épouse du fondateur du Swatch Group, fait peser de lourdes menaces sur l’avenir du groupe autour duquel toute l’horlogerie suisse semblait axée. Ce n’est plus seulement une affaire de famille – ou, plutôt, c’est désormais toute la famille horlogère qui est concernée 'en prime : un florilège de nos meilleurs dessins sur Nick Hayek)…

  • BUSINESS MONTRES x ATLANTICO
    Quand les jours discourent et quand les ancres marinent : c’est l’actualité des montres en mode floréal

    Mais aussi une tête au carré tropézienne, un peu de douceur dans la rigueur Bauhaus, une vocation nautique très saumonée, une plongeuse bronzée et une tyrannomontre qui s’en sort bien… Ci-dessous : des messages quotidiens pour une nouvelle symbolique du bonheur (Rolex)

  • REPÉRAGES #58-2023 (accès libre)
    Sept montres qui n’ont pas peur de se mouiller, ni de s’envoler et encore moins de se distinguer

    Cinquante-huitième épisode de notre présentation des nouveautés d’un millésime 2023 qui s’annonce agité et compliqué : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie (vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres). Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Une proposition par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Certina, Christopher Ward, Chronoswiss, Franck Muller, Panerai, Seiko et Sinn…

  • HORLOTAINMENT #46 (accès libre)
    « Notre chute collective est gluante. Le salut viendra de quelques individus prêts à s’extraire de la glu »

    Trente-septième séquence « Horlotainment » de l’année : c’est notre « horlodivertissement » organisé en une dizaine de pictofictions, sérieuses sur le fond sans se prendre au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à la toujours pertinente philosophe contemporaine Cynthia Fleury (née en 1974) pour la citation de sa « Fin du courage » (2010) qui compose le titre de cette trente-septième chronique de 2023. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité des salons horlogers, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • REPÉRAGES #57-2023 (accès libre)
    Sept montres qui font preuve de beaucoup de bonne humeur avant de débarquer sur le marché

    Cinquante-septième épisode de notre présentation des nouveautés d’un millésime 2023 qui s’annonce agité et compliqué : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie (vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres). Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Une proposition par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : H. Moser & Cie, Hublot, March LA.B, MeisterSinger, REC Watches, SevenFriday et Sinn…

  • LE SNIPER DU MERCREDI (bloc-notes en accès provisoirement libre)
    Mais qu’est-ce qu’ils ont tous, chez Richemont, à quitter leur radeau de la Méduse commercial ?

    Retour du Sniper pour une nouvelle intervention en toute liberté : on va donc vous parler, entre autres, d’une inquiétante absence de nouvelles, d’un exfiltration qui risque de faire du bruit, d’un candidat isolé dans sa défense de l’horlogerie, de chaises musicales en mode comemrcial et d’une bonne nouvelle pour nos abonnés – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. En vous rappelant ce que l’excellent Sylvain Tesson nous dit d’un bloc-notes de ce genre : « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde ». Nous n’avons donc plus qu’à bloc-noter dans le chatoyant foutoir de l’horlogerie…

  • REPÉRAGES #56-2023 (accès libre)
    Sept montres qui n’ont pas renoncé à explorer de nouvelles voies pour raconter le temps qui passe

    Cinquante-sixième épisode de notre présentation des nouveautés d’un millésime 2023 qui s’annonce agité et compliqué : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie (vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres). Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Une proposition par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Baume & Mercier, Ferragamo, Franck Muller, Herbelin, Junghans, Maurice Lacroix et Sinn…

  • REPÉRAGES #55-2023 (accès libre)
    Sept montres qui tiennent à marquer ce printemps du sceau de leur identité esthétique

    Cinquante-cinquième épisode de notre présentation des nouveautés d’un millésime 2023 qui s’annonce agité et compliqué : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie (vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres). Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Une proposition par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Delbana, F.P. Journe, Gérald Charles, Grand Seiko, Hublot, IWC et Jaeger-LeCoultre…

  • HORLOTAINMENT #45 (accès libre)
    « Guides aveugles que vous êtes ! Vous filtrez vos boissons pour éliminer le moindre moucheron, mais vous avalez le chameau tout entier »

    Trente-sixième séquence « Horlotainment » de l’année : c’est notre « horlodivertissement » organisé en une dizaine de pictofictions, sérieuses sur le fond sans se prendre au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à l’évangéliste Matthieu (23.24) pour la citation biblique qui compose le titre de cette trente-sixième chronique de 2023. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité des salons horlogers, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • REPÉRAGES #54-2023 (accès libre)
    Sept montres qui jouent leur avenir sur la nouveauté de leurs formes, de leurs couleurs et de leurs matériaux

    Cinquante-quatrième épisode de notre présentation des nouveautés d’un millésime 2023 qui s’annonce agité et compliqué : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie (vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres). Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Une proposition par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Breguet, Elka Watch CO., Ferragamo, FOB Paris, Franck Muller, Hermès et Panerai…

  • REPÉRAGES #53-2023 (accès libre)
    Sept montres qui brûlent d’impatience à l’idée de conquérir de nouveaux poignets

    Cinquante-troisième épisode de notre présentation des nouveautés d’un millésime 2023 qui s’annonce agité et compliqué : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie (vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres). Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Une proposition par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Azimuth Ferragamo, Monbrey, Rolex, Tissot, Vortic et Zenith…

  • HORLOTAINMENT #44 (accès libre)
    « L’indépendance n’est pas un état de choses : c’est un devoir »

    Choses vues, lues et entendues dans les salons horlogers de ce printemps : trente-cinquième séquence « Horlotainment » de l’année : c’est notre « horlodivertissement » organisé en une dizaine de pictofictions, sérieuses sur le fond sans se prendre au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand dramaturge et homme politique tchèque Vaclav Havel (1936-2011) pour la citation de ses « Méditations d’été » (1991) qui compose le titre de cette trente-cinquième chronique de 2023. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité des salons horlogers, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • REPÉRAGES #52-2023 (accès libre)
    Sept montres qui ont décidé de vous changer les idées en matière de temps qui passe

    Cinquante-deuxième épisode de notre présentation des nouveautés d’un millésime 2023 qui s’annonce agité et compliqué : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie (vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres). Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Une proposition par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Akrone, Charriol, Cuervo y Sobrinos, Eberhard & Co., Isotope, Louis Moinet et Rolex…

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